Reconnaissance de la nation pour les Rapatriés d'Algérie, première séance du vendredi 11 juin 2004;discussions du projet de loi le vendredi 14 juin 2004 1ere séance et deuxième séance.
 
 

RECONNAISSANCE DE LA NATION POUR LES RAPATRIÉS
Discussion d'un projet de loi,
Première séance et deuxieme séance du vendredi 11 juin 2004.
Discussion d'un projet de loi.

RECONNAISSANCE DE LA NATION POUR LES RAPATRIÉS, Première séance du vendredi 11 juin 2004, 253e séance de la session ordinaire 2003-2004 PRÉSIDENCE DE MME HÉLÈNE MIGNON,(La séance est ouverte à neuf heures trente.) | en savoir plus |

Discussions Assemblée Nationale sur l'Algérie Michel Diefenbacher: "A Évian, tout avait été prévu. Sur le terrain, rien n'a été respecté". | en savoir plus |

Algérie les massacres perpétrés, en violation des accords d'Évian, et le déracinement de dizaines de milliers de Français ont injecté à jamais leur venin et causé un traumatisme et des souffrances toujours présents, dont il nous incombe, aujourd'hui encore, de panser les plaies. | en savoir plus |

Le Bachaga Boualem, qui fut vice-président de cette assemblée, avait écrit : « Dans mon pays, la France, nous étions des sujets. Nous voulions être des citoyens. » | en savoir plus |

Algérie 42 députes assistent le 14 juin 2004 aux débats sur la reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français Rapatriés lamentable.| en savoir plus |

"La France reconnaît qu'elle n'a pas pu sauver tous ses enfants, particulièrement en Algérie après le 19 mars 1962." » M. Christian Kert, rapporteur. La commission n'ayant pas été consultée, je donne mon avis à titre personnel. Je suis défavorable à cette proposition débat 14 juin 2004 Assemblée Nationale. | en savoir plus |

Concernant les Harkis. « Toute allégation injurieuse commise envers une personne à raison de sa qualité vraie ou supposée d'ancien supplétif de l'armée française en Algérie ou assimilé est interdite.
« L'État assure le respect de ce principe dans le cadre des lois en vigueur. » | en savoir plus |

Amendement n° 64 est important, bien que la mesure qu'il propose n'ait pas nécessairement à être inscrite dans un projet de loi. Mon but est plutôt d'alerter le Gouvernement et l' Assemblée sur la nécessité de faciliter les voyages des harkis en Algérie.| en savoir plus |

Quand l'unité nationale est en jeu, ce qui est le cas pour le problème des rapatriés et des harkis, le groupe socialiste ne ménage pas son soutien. Il l'a apporté aujourd'hui par mon intermédiaire. Pragmatique, j'ai voté toutes les avancées mais je les estime aujourd'hui insuffisantes. Même si je me réjouis de celles qui ont été obtenues, je ne peux accepter de voter le texte en l'état. À ce stade de la première lecture, le groupe socialiste votera contre. | en savoir plus |