Agnès Rampal assiste à Nice au début novembre 2015 à une cérémonie au Consulat d’Algérie à Nice pour l'anniversaire de la Révolution Algérienne du 1er Novembre 1954.

Il s'agit d'une adjointe au Maire de Nice Christian Estrosi, Française d'Algérie elle est déléguée aux Rapatriés d'Algérie (!) , elle est candidate aux élections régionales sur la liste UMP-LR


Agnès Rampal et Dominique Estrosi-Sassone assistent à Nice cérémonie pour l'anniversaire
de la Révolution Algérienne du 1er Novembre 1954.


Le 1er novembre 1954 est commémoré comme une fête nationale en Algérie

Le Consul a reçu  des messages de vœux à l'occasion de la commémoration du 1er novembre 1954 de plusieurs personnalités présentes et des élus de Nice  et des  témoignages et des cadeaux à l'occasion de la commémoration du 61e anniversaire du déclenchement de la glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954.
« L'Algérie doit concrétiser l'idéal espéré par les martyrs du 1er Novembre 1954, qui l'ont libérée du joug colonial, et demeurer à jamais  une Algérie digne et forte dans laquelle sont consacrées les hautes valeurs de démocratie et de développement au service du citoyen ».

Pour une personne dans l’assistance il faut rendre hommage au peuple algérien, « héros qui a triomphé du colonisateur durant la Guerre de Libération »

Pour une autre personne dans l’assistance : «Il ne faut pas oublier l’ouverture du musée Mostefa Ben Boulaïd, à Arris et héros de la guerre de Libération nationale. En effet dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954, c’est le regroupement des premiers combattants qui allaient allumer la première étincelle de Novembre par le Lion d’Algérie »

Et encore « une Révolution qui a besoin », dit-il, d’être « étudiée et débattue de manière approfondie, pour comprendre ses dimensions et ses exploits ».


De son côté, pour une participante Algérienne : « les moyens de répression utilisés par l’administration coloniale, en particulier depuis 1956, » année où la « torture et les peines de mort ont été devenues une institution officielle, exécutées par des professionnels ». Elle rappelle que, depuis juin 1956, date d’exécution du martyre Ahmed Zabana par guillotine, 210 peines de mort ont été exécutées à Alger, Oran, Constantine et même en France, parmi plus de 2.000 peines de mort décidé à l’encontre des militants algériens en Algérie et en France. »

Pour une participante Algérienne Oranaise : « il ne faut oublier le fait d’armes contre le colonisateur Français à la Grande Poste d’Oran implantée au boulevard Mohamed-Khemisti. Cette bâtisse fut le théâtre d'une action historique, le 4 avril 1949, entreprise par un groupe de moudjahidines héros de la cause nationale, dont Ahmed Ben bella, Hocine Aït Ahmed, Hamou Boutlélis et Belhadj Bouchaib. »
Abondant dans le même sens, une personne  originaire de Tébessa : « estime qu’il faudrait un musée en France pour valoriser et conserver jalousement pour permettre aux jeunes de s’imprégner des principes et valeurs de la révolution du  Premier novembre 1954 ».

S’agissant des manifestations sanglantes du 8 mai 1945 à Sétif, à Guelma et à Kherrata, et l’ampleur des représailles françaises, un participant confie qu’il " ne suffit pas de dénoncer les atrocités commises" mais aussi d'"identifier avec précision les tortionnaires, quels que fussent leur grade ou leur fonction, auteurs des représailles ".

Il y eut, de non-dits… : «  Les Bel-Abbessiens durent s’organiser tous seuls sous l’égide des commissaires politiques du FLN. Face aux atrocités de la soldatesque coloniale et son fer de lance l’O.A.S et des ultras, les Bel-Abbessiens, résidant dans la partie sud de la ville, ont rejoint la «ville arabe» où ils étaient bien accueillis et logés malgré le cantonnement qui leur était imposé, et dans l’ambiance pesante, se multiplièrent assassinats, attentats, lynchage et massacres collectifs… Plasticages et autres actes de sabotage d’infrastructures. »

Et encore pour un Algérien : « Vive l'Algérie pour nos frères qui se sont battus comme des guerriers et des Chouadas, il y a 61 ans en Algérie, le 1er novembre 1954, commençait ce que l'on a appelé « La Toussaint Rouge » : une série d'attentats à l'explosif perpétrés par le FLN dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954, devant différents immeubles, dépôts de carburants ou postes de gendarmerie.
C'était le déclenchement de la guerre de Libération Nationale pour les Algériens, qui mènera à l’indépendance de l'Algérie le 5 Juillet 1962, au terme de 8 années de guerre qui auront couté la vie au bas mot à plus de 500 000 personnes, dont au moins 400 000 musulmans, 4 000 pieds-noirs, 30 000 soldats français et 15 à 30 000 harkis.


Le 1er novembre 1954 est commémoré comme une fête nationale en Algérie.


Elle présente aussi la particularité singulière que toutes les victimes connues de cette première journée (9 morts et 4 blessés) sont tombées du côté français.


La proclamation du FLN et l’appel de l’ALN, diffusés à l’occasion du 1er novembre 1954, contenaient à la fois une déclaration de guerre adressée à la France au nom du peuple algérien d’une part, mais aussi un ordre de mobilisation générale et une proclamation de loi martiale adressés au même peuple algérien d’autre part .


Cela ne pouvait se faire que dans le sang, par la terreur, le sectarisme, l’intimidation religieuse. Il fallait transformer en traîtres tous ceux qui n’étaient pas pour l’indépendance ou qui n’y songeaient pas (...). Il fallait inventer le concept de trahison et faire de tous les incertains et les tièdes, comme de tous les passifs, des renégats, des apostats et des collaborateurs »

Comme l’a constaté Mouloud Feraoun, enseignant à Fort National, au cœur d’une région réputée pour son nationalisme très précoce, le maquis avait « gagné la confiance et l’estime de la population kabyle », et lui avait imposé ses propres lois et sentences, particulièrement terribles (égorgement, décapitation, mutilations faciales et sexuelles) avec son consentement initial : « Personne ne condamne les exécuteurs, hormis les parents et les enfants, qui pleurent le mort et tremblent pour eux-mêmes ».
Ce n’était apparemment pas prévu par les consignes données pour le 1er novembre 1954, même si déjà plusieurs victimes civiles étaient tombées ce jour-là, comme l’instituteur Monnerot.

Un rapport du colonel Schoen, chef du Service des liaisons nord-africaines (SLNA), signalait en novembre 1954, à propos des « actes odieux » : « Les conseils pratiques « interdisent » : « Viols, massacres de femmes, enfants, vieillards. Ne pas profaner les lieux à caractère religieux. Un homme désarmé ne doit pas mourir mais être fait prisonnier. Respecter les étrangers » Mais ces règles ont été de moins en moins respectées à partir de mai 1955 et surtout du 20 août 1955 dans le Nord Constantinois, où la dernière date fut marquée par des massacres systématiques de la population civile européenne sans distinction de sexe ni d’âge à la cité minière d’El Halia et dans les fermes de Aïn Abid.

C’est ce que d’anciens officiers de l’ALN ont appelé la « stratégie race contre race » 


Dans la nuit du 1er novembre 1954, des attentats secouaient le territoire algérien, en premier lieu l’Est du pays : attaques de poste de police ou de gendarmerie, lignes téléphoniques coupées, incendies. L’épicentre des attentats était la montagne des Aurès. Il n’y avait pas de dommages considérables, les bombes de fabrication artisanale n’ont même pas souvent explosées. Par contre, il y avait 8 tués et 12 blessés. Le fait le plus stupéfiant pour les autorités et surtout pour les Européens fut l’assassinat de l’instituteur Guy Monnerot.

Le jeune homme de 23 ans d’esprit jules ferryste s’engagea pour aller enseigner en Algérie. Il était en train de se rendre avec sa femme à Arris, son premier lieu de travail, quand les insurgés armés arrêtèrent leur autocar lequel se déplaçait toujours à heures fixes. Hadj Sadok, l’un des passagers fut forcé de descendre et comme c’était un fidèle serviteur du pouvoir colonial, il fut tué sur le champ. Ensuite, l’un des insurgés mis le feu au couple européen.

Les rafales de balles tuèrent Guy Monnerot tandis que sa femme était grièvement blessée. L’assassinat de ce jeune instituteur avait des conséquences très lourdes au détriment de la cause du mouvement de libération national algérien. Toute la durée du conflit les autorités et les partisans de l’Algérie française et une large partie de l’opinion publique pouvaient stigmatiser d’une manière très efficace les patriotes algériens comme des bandits, des barbares, des terroristes, des aventuriers d’hors-la-loi. Cela fut un argument devant l’opinion française et internationale [


1er novembre 1954 : le début de la guerre d'Algérie


1er novembre 1954. Un peu après minuit, des bombes explosent à Alger. Dans l'Aurès, l'instituteur Monnerot et un caïd local sont abattus par des fellagas. Il ne s'agit pas d'une simple flambée de banditisme. Même si elle ne fait «que» sept morts, la «Toussaint rouge» marque le début d'une longue et douloureuse épreuve pour la France: la guerre d'Algérie.

Qu'on se rappelle les prémices: la répression sanglante de Sétif en 1945; le statut voté par le Parlement français en 1947; les élections «arrangées» par le gouverneur Naegelen en 1948; et l'aveuglement dont ont fait preuve les autorités face aux premières velléités de lutte armée exprimées par les nationalistes algériens en 1953 et 1954.

1er novembre 1954. Un peu après minuit, des bombes explosent à Alger. Dans l'Aurès, l'instituteur Monnerot et un caïd local sont abattus par des fellagas. Il ne s'agit pas d'une simple flambée de banditisme. Même si elle ne fait «que» sept morts, la «Toussaint rouge» marque le début d'une longue et douloureuse épreuve pour la France: la guerre d'Algérie.

Qu'on se rappelle les prémices: la répression sanglante de Sétif en 1945; le statut voté par le Parlement français en 1947; les élections «arrangées» par le gouverneur Naegelen en 1948; et l'aveuglement dont ont fait preuve les autorités face aux premières velléités de lutte armée exprimées par les nationalistes algériens en 1953 et 1954.


Le 1er novembre 1954, en Algérie, des indépendantistes commettent plusieurs dizaines d'attentats, dont certains meurtriers. C'est la « Toussaint rouge ».


Divisés en plusieurs partis, dont le MTLD de Messali Hadj et l'UDMA de Ferhat Abbas, ils forment au printemps 1954 un Comité révolutionnaire d'union et d'action (CRUA). Celui-ci choisit la date du 1er novembre pour déclencher l'insurrection. Une trentaine d'attentats plus ou moins désordonnés ont lieu en ce jour de la Toussaint : récoltes incendiées, gendarmerie bombardée...

On compte au total dix morts (*). Les deux premières victimes, assassinées la veille de la Toussaint, sont deux Français d'Algérie : un chauffeur de taxi de confession juive, Georges-Samuel Azoulay et Laurent François, libéré depuis 6 mois du service militaire.

Les autres victimes sont l'agent forestier François Braun, l'agent de police Haroun Ahmed Ben Amar et quatre appelés : le soldat Pierre Audat et le brigadier-chef Eugène Cochet, tués en pleine nuit dans le poste de Batna, dans le massif des Aurès, ainsi qu'André Marquet et le lieutenant Darneaud.
Sont également tués le caïd Ben Hadj Sadok et Guy Monnerot,
qui voyageaient ensemble.


C'est Boudiaf qui a fourni l'explication, un jour de 1962, dans une interview au "Monde".

Le démarrage de l'insurrection avait d'abord été fixé au 15 octobre, mais rien n'était prêt. Les chefs de secteur devaient se revoir le 22. Par peur des fuites, ils n'étaient que quatre ou cinq à ce rendez-vous, où fut fixée la date définitive (le 1er novembre, à 0 heure), qui devait être transmise aux chefs de commando seulement six heures avant le moment fatidique. Je n'ai donc pas prévu la date précise.
Mais, le 1er novembre, quand on m'a annoncé, à 0 h 50, que les premières bombes venaient d'éclater à Radio-Alger, sur le port, à Baba Ali……………..

Agnès Rampal, née Lebon le 22 août 1955 à Alger

Pied-Noir elle est docteur en médecine, spécialiste en anatomopathologie. Praticienne au CHU de Nice, elle est mariée au professeur Patrick Rampal, président du Conseil scientifique monégasque et ancien doyen de la faculté de médecine.
Le couple a deux filles et une petite fille.

Élue à la Ville de Nice depuis 2001, adjointe à l'Enseignement supérieur et aux rapatriés d’Algérie depuis 2008, la dixième colistière de Christian Estrosi à la dernière élection municipale.
- Candidate aux élections européennes et échec en avril 2014 sur la liste l’UMP
- Candidate aux élections régionales en décembre 2015 sur la liste LR

Echec souhaité d’Agnès Rampal par les Français d’Algérie, aux élections régionales  personne à Nice n’a encore claqué le beignet de la rampale... ?

Il s'agit d'une adjointe au Maire de Nice Christian Estrosi, PN elle est déléguée à l’Euro méditerranée, au CUM et aux Rapatriés, elle est candidate aux élections régionales sur la liste UMP-LR

- Les fayots de Français d'Algérie qui soutiennent Christian Estrosi

Agnès Rampal, Enrico Macias, Jean-Pierre Foucault, Alexandre Arcady, Emile Serna, Hervé Pasqua, William Tapia Lopez, William Tapia , Dimeck Marie-Pierre, Philippe Tabarot .


| Lire la suite |

 
 

- Agnès Rampal assiste à Nice au début novembre 2015 à une cérémonie au Consulat d’Algérie à Nice pour célébrer l'anniversaire de la Révolution Algérienne du 1er Novembre 1954.
Il s'agit d'une adjointe au Maire de Nice Christian Estrosi, Française d'Algérie elle est déléguée aux Rapatriés elle est candidate aux élections régionales sur la liste LR. | lire la suite |

- Les dix « conseillers thématiques » de renom qui soutiennent Christian Estrosi dans sa candidature aux Régionales parmi eux Antoine Sfeir. | lire la suite |

- Le candidat des Républicains Christian Estrosi a décliné son programme, pour le Régionales en PACA un projet tourné vers la proximité et l’excellence, du pragmatisme et de l'espérance | lire la suite |

- Christian Estrosi, tête de liste des Républicains pour les élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur, a présenté son comité de soutien, présidé par Bernadette Chirac et Jean-Claude Gaudin, Sénateur-Maire de Marseille.
Quelques Maghrébins ont exprimé leur désir de voir le candidat élu à la présidence de la Région en décembre 2015. | lire la suite |

- La repentance : ce grand mal français Christian Estrosi s’y met. Il expédie sa colistière aux Régionales 2015 en PACA Agnès Rampal qui est aussi son adjointe aux Rapatriés d’Algérie à Nice. Le choix de la date de visite d’Agnès Rampal avec le FLN pour fêter le massacre des Français du 1er novembre 1954 est particulièrement odieux pour les victimes et les familles des victimes Françaises. Cette stratégie de culpabilisation qui amène à dire que la France est malade de son histoire et de sa culture, honte aux deux mabouls. | lire la suite |

- Les promesses de la campagne des Régionales du candidat Christian Estrosi (LRump) aux Français d’Algérie dans une lettre aux Rapatriés d’Algérie avec la distribution des prébendes aux amis un oubli un seul oubli, une statue de De Gaulle dans chaque village de PACA. | lire la suite |