- Musée de l’histoire de la France en Algérie,
c'était un musée qui voulait imposer une histoire officielle
d' extrémistes de gauche.

 
   
- Montpellier - Musée de l'Algérie en France-
 
Du Musée de l’histoire
de la France en Algérie
au
Musée de l'Algérie en France
 

Le Musée de l’histoire de la France en Algérie, un projet porté par la communauté d’agglomération de Montpellier. Il est situé a dans l’Hôtel Montcalm, Il est situé près de la gare de Montpellier. Peu après le lancement du projet, qui remonte à 2003, des groupes politiques locaux s’étaient élevés contre ce lieu, y voyant « un éloge » ou une « réhabilitation » du colonialisme.
La socialiste SECTAIRE Hélène Mandroux, successeur depuis 2004 de Georges Frêche à l’hôtel de ville, refuse d’endosser le projet de son prédécesseur.
A leur tour, les historiens s’en mêlent.

scénariste euro méditerranéen
Pétitionnaire

Conférencier à Alger pour les 50ans de l'indépendance
le 5 juillet 2012

Spécialiste de l'étude des violences en situation coloniale
" la torture ".
Spécialiste de la guerre d'indépendance algérienne.
- Historien officiel - Depuis 11 septembre 2013 Inspecteur général
de l’éducation nationale félicitations
(par tour extérieur)
et
copinage.
   
 
Des universitaires devant former le conseil scientifique se cabrent à l’idée de cautionner la mémoire coloniale. Professeur d’histoire à l’université Paris-VIII, Daniel Lefeuvre claque la porte en novembre 2005. " Nous ne sommes pas là pour servir la soupe aux politiques ni aux rapatriés." Réaction qui exaspère Frêche, lui-même universitaire et historien. "Je n’en ai rien à foutre des universitaires trous du cul", lâche-t-il dans son style fleuri.

Loin du souci de vérité historique
Un musée qui fasse leur place aux lumières comme aux ombres de cette période passionnelle. Cette volonté d’équilibre désole Alain Jamet, le patron régional du Front national : "On est passé de la mémoire de l’Algérie française à une vision du FLN.
« L’objectif est de créer un musée d’histoire et de société qui traitera de l’approche historique classique et des peuples européens et musulmans », selon l’Agglo. Peintures, sculptures, cartes, plans, dessins d’architecture, affiches, photos, maquettes… Une bibliothèque sera également créée et le musée servira aussi de Centre iconographique du Maghreb, pour chercheurs et étudiants.
L’objectif est de créer un musée d’histoire et de sociétés, qui traitera de l’approche historique classique et des peuples et musulmans . Ce musée sera pensé et présenté pour présenter la guerre d'Indépendance de l'Algérie. Ainsi, le musée de l’Histoire de la France en Algérie présentera un fonds patrimonial riche composé de peintures, sculptures, cartes, plans, dessins d’architecture, affiches, photographies du FLN et maquettes. Il abritera également un Centre de recherche, intitulé « Centre iconographique du Maghreb », consacré en particulier à l’histoire de la photographie en Algérie.
       
 
Un exemple d'un historien très proche du FLN
       
 

On s’écarte du nécessaire travail historique et bascule dans une instrumentalisation partisane et caricaturale de l’histoire


ANNEE 2012

- le 29 février, au Centre culturel algérien, intitulé « Les résistances françaises à la guerre d’Algérie». A cette occasion sera présenté Résister à la guerre d’Algérie
par les textes de l’époque, un livre coordonné par Tramor Quemeneur, historien, et Niels - Andersson, éditeur et politologue.

- Samedi 31 Mars 2012 L'indépendance de l'Algérie, 50 ans après... à La Maison des Passages à Lyon.
Combats anticolonialistes et solidarités franco-algérienne 1954-1962 avec l'historien spécialiste de la presse et des éditions) et Tramor Quemeneur ( historien, auteur de la thèse Dire non à la guerre coloniale dans l'armée française en Algérie 1954-1962).

- 1er mars 2012 - La Guerre d'Algérie.

Les historiens Tramor Quemeneur et Benjamin Stora, spécialistes de l’Histoire du Magreb contemporain et de l’Algérie coloniale, reviennent en six chapitres sur cette « guerre sans nom» et tentent d’émettre des réponses claires et précises à toutes les questions qui se posent encore sur ce conflit : Comment en est-on arrivé là ? Quels sont les différents temps qui ont structuré cette guerre ? Quelles traces a-t-elle laissé dans nos mémoires ?

- 13 mars 2012

Biographie Tramor Quemeneur

Tramor Quemeneur est un jeune historien, qui a soutenu en 2007 la thèse Une guerre sans 'non' ? Insoumissions, refus d'obéissance et désertions de soldats français pendant la guerre d'Algérie (1954-1962), sous la direction du spécialiste de l'Algérie, Benjamin Stora. Pour ce sujet encore trop peu traité, il a sillonné les quatre coins de la France à la recherche de tous les acteurs - célèbres ou anonymes - qui ont refusé tout engagement dans l'aventure coloniale. Il publie en 2011 L'Algérie en couleurs, 1954-1962 : Photographies d'appelés pendant la guerre, avec Slimane Zeghidour.

- 15 mars 2012
- lettre de protestation à ElKabbach après un entretien avec un ancien fellagha historien algérien Mohamed Harbi Fédération de France du FLN.

- Lundi 19 mars 2012

La mémoire de la guerre d'indépendance nationale a été portée lundi à la connaissance de collégiens et lycéens parisiens à travers une sortie en métro organisée par la Maire de Montreuil en partenariat avec le Forum France Algérie, à l’occasion du cinquantenaire des Accords d’Evian et de la proclamation du cessez-le-feu, le 19 mars 1962.
Baptisée «Un métro pour la mémoire », cette visite guidée de la Porte de Montreuil au Pont de Sèvres et retour sur la Mairie de Montreuil, vise à traverser toute l'histoire de la guerre d'Algérie à travers la vision parisienne des principales étapes qui ont jalonné le combat dans l’Hexagone pour l'indépendance de l’Algérie.
De la station Charonne où une répression policière avait avait fait le 8 février 1962 neuf morts. Selon l’historien Tramor Quemeneur, l'histoire de la guerre d'Algérie est «succinctement » traitée dans l'école française.

     

- 2 avril 2012 -

L'initiative d'un homme, Maître Mourad Serhane, pourrait néanmoins relancer les débats. Avocat réputé en Seine-Saint-Denis (93), ce spécialiste des questions d'immigration, s'est emparé d'une question fondamentale et polémique : la responsabilité, juridique, de l'Etat français, dans les crimes commis par les services de l'Etat français, pendant la guerre, qui fit près d'un million de morts dans les rangs algériens. Il s'appuie sur le travail d'historiens Tramor Quemeneur, chercheur et enseignant à l'Université de Paris 8, auteur d'une thèse sur La guerre d'Algérie et la question du droit – dont la publication est programmée aux éditions La Découverte.

- 19 juin 2012

Le film documentaire «Nos guerres d’Algérie : Est-ce que mon grand-père était dans l’OAS ? » porte sur le témoignage de Gabrielle face à l’historien Tramor Quémeneur et raconte comment cette Française a appris que son grand-père a adhéré à l’organisation criminelle de l’OAS.
Occasion pour l’historien Tramor Quémeneur de revenir sur ces soldats partisans de l’Algérie française. Enquête faite, le grand-père de Gabrielle n’a pas rejoint ces déserteurs activistes d’extrême-droite, adeptes de la terreur et des attentats aveugles. Il partageait cependant leurs idées.


Et pour 5 juillet 2012 le pompon une conference pour l'independance de l'Algerie
le 5 juillet 2012 à Alger pour les 50 ans !


Tramor Quemeneur : Le refus de la guerre d’Algérie parmi les Français était important. Pour lui, « nombreux parmi eux ont risqué leur vie à cause de leur position », précisant encore que « parmi 12 000 français ayant refusé la guerre contre l’Algérie, 900 étaient des déserteurs.
Comment parler des soldats français déserteurs sans évoquer le Chahid Maurice Audin ? Lui que l’administration et la presse coloniales avaient surnommé « l’officier félon » a été mobilisé avec le grade d’aspirant en 1956 et c’est en avril de la même année qu’il désertera à Meliana avec un camion d’armes qui ira sans détour vers les maquis de l’ALN.

- 21 juillet 2012

Autant de témoignages brûlants ou poignants, éclairés par l’analyse de l’historien Tramor Quemeneur et par le regard de l’éditeur Nils Andersson, témoin engagé de l’opposition au conflit. À l’heure où l’on célèbre le 50° anniversaire de l’indépendance algérienne, cette mémoire anticoloniale, nous dit l’association Sortir du colonialisme, qui a coordonné cet ouvrage, peut contribuer aux combats d’aujourd’hui.
L’auteur : L’association Sortir du colonialisme organise chaque année la Semaine anticoloniale : un ensemble d’actions et de manifestations pour contester la réhabilitation rampante de l’idée coloniale, concrétisée par la loi du 23 février2005 évoquant "le rôle positif" de la colonisation.

- 6 aout 2012

Des appelés français publient leurs photos .L’Algérie en couleurs, un recueil de photographies sur le quotidien des Algériens durant la guerre de Libération “est un ouvrage témoignant du dénuement total que vivait la nationale, population colonisée”.

- 9 novembre 2012

La guerre La guerre de libération nationale revisitée par les jeunes historiens

Les 9 et 10 novembre derniers, s’est tenu à l’université Paris VIII un colloque international intitulé : «Entre continuités et ruptures générationnelles. Les recherches sur la guerre d’indépendance algérienne cinquante ans après», organisé par le professeur Aïssa Kadri et les jeunes historiens, Moula Bouaziz et Tramor Quemeneur.

Tramor Quemeneur s’est intéressé à la question des mouvements de jeunes qui se sont progressivement affirmés pendant la guerre d’Algérie contre leurs aînés, notamment à propos de la question de la désobéissance.

4 mars 2013

Algérie : Histoire d’une guerre de décolonisation

Djoudi ATTOUMI, ancien officier de l'ALN dans wilaya 3 (Kabylie) et auteur de "Avoir 20 ans dans les maquis", Les appelés du contingent, ces soldats qui ont dit non à la guerre", "Le colonel Amirouche entre légende et histoire", "Chronique des années de guerre en wilaya 3"... Tramor QUEMENEUR, historien, thèse sur "Une guerre sans nom, Insoumissions, refus d'obéissance et désertions de soldats français pendant la guerre d'Algérie" sous la direction de Benjamin Stora.
Abdelmadjid AZZI, ancien combattant, puis syndicaliste de l'indépendance, auteur de" Parcours d'un combatant de l'ALN" et de "Le mouvement syndical de l'Algérie à l'épreuve de l'indépendance".

25 juillet 2013

Les refractaires en Algérie
Comptes rendus du voyage Mémoires et Fraternité dans l’Est de l’Algérie

Il est difficile de résumer en quelques lignes l’intensité et la qualité de nos échanges. Je souligne simplement quelques rencontres avec des personnages comme le professeur A. Merdaci, membre du jury de thèse de Tramor Quemeneur, l’historienne O. Siari Tengour, Mohamed Mechati, seul survivant des 22 « historiques », Louisette Ighilahriz, affreusement torturée par Bigeard et Graziani, Ali Haroun, ancien ministre, mais aussi le Père Denis Gonzalès, avec Djamila et Nacer de Boumerdès, Smain Izarouken et Houria, de Bordj, militant pour la résolution non-violente des conflits de leur communauté villageoise.

Une très bonne idée que l' arrêt du musée de la " Repentance "
 
   
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