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A PROPOS
DU "TRAITÉ D’AMITIÉ" FRANCO-ALGERIEN
- De nombreux courriers, s’insurgeant contre
le projet de traité "d’amitié" entre
la France et l’Algérie ont été écrits
au Président de la République et nous ont été
communiqués :
Du général Gillis au nom de l’Association
de Soutien à l’Armée Française (ASAF)
et du Cercle pour la Défense des Combattants d’Afrique
du Nord.
Du général Maurice Faivre : Secours de France.
De monsieur Philippe de Villiers, Président du MPF.
- Sarkozy, pour se concilier les voix des Pieds-noirs
et des Antillais (Outre-mer et esclavage) a nommé l’avocat
Serge Klarsfeld pour un projet de modification du texte de la
loi de février 2005. Klarsfeld a donc déclaré
qu’il envisageait de faire mettre dans les livres scolaires
la « reconnaissance des méfaits de la colonisation
sans en cacher les bienfaits ». De la belle langue de bois
!
Malgré cela, les responsables de SOS racisme sont montés
au créneau contre cette décision : en effet l’avocat
est accusé de colonialisme car il s’est engagé
dans l’armée israélienne pour aller se battre
contre les Palestiniens !
Tout ces gens vont avoir du mal à trouver un terrain d’entente
pour démolir l’histoire de la France et trouver un
terrain d’entente anti-colonisation. Dur, dur, d’essayer
d’être politiquement correct.
On peut donc en conclure que c’est tout un art que d’essayer
de se faire bien élire en 2007. Mais il ne faudrait peut-être
pas prendre les rapatriés pour des imbéciles. Il
ne sera pas le seul candidat, et nous saurons choisir celui qui
affichera la volonté de respecter l’Histoire.
Fidèle
à son passé…..Le PS sur la ligne du FLN
Les chiens ne font pas des chats. Et les anciens
porteurs de valises et leurs héritiers ne se sont pas transformés
en patriotes.
C’est ainsi que les députés PS ont déposé
une proposition de loi pour supprimer la disposition de la loi
du 23 février 2005 sur la reconnaissance du rôle
positif de la présence française outre-mer, notamment
en Afrique du nord.
Cette disposition, avalisée tout au long du parcours parlementaire
d’un texte mendé par le député UMP
Christian Kert, n’avait suscité aucune réprobation
–et tout au contraire – à l’époque.
Jusqu’à la promulgation de la loi et sa condamnation
haineuse par Bouteflika qui en appelait à ses « amis
français » pour la faire supprimer. Bouteflika a
été reçu cinq sur cinq. Et ses « amis
français » - c’est-à-dire les amis des
fellouzes par voie de conséquence – se sont mobilisés.
Avec, raisin sec sur le couscous, la décision des députés
socialistes de se mettre en conformité avec le satrape
algérien. Au point de vouloir supprimer une loi française,
adoptée par la représentation populaire française.
Au motif qu’elle déplaît à un tyranneau
FLN…
Un malheur ne venant jamais seul, le groupe socialiste de la Région
Ile-de-France a décidé de débattre –
il n’y a certainement rien de plus urgent à faire
en France en ce moment…- de la date commémorative
de la fin de la guerre d’Algérie. La date du 5 décembre
fixée par le gouvernement Raffarin défrise ces messieurs-dames.
Leur date à eux, c’est le 19 mars1962. A savoir la
date choisie par le FLN, la FNACA et les communistes.
En séance plénière du Conseil régional
d’Ile-de-France, le 8 et 9 novembre derniers, Roger Holeindre
est donc monté au créneau pour dire, avec la fougue,
la foi et la passion qu’on lui connaît pourquoi cette
date du 19 mars 1962, date prétendue du « cessez-le-feu
» (il y a plus de morts entre le 19 mars et le 1er juillet
1962 que pendant toute la guerre d’Algérie), est
un crachat post mortem sur les cadavres de nos martyrs. Ceux de
la rue d’Isly, ceux des centaines de jeunes soldats enlevés
par les fellaghas, ceux des 3000 « disparus » d’Oran,
ceux des dizaines de milliers de harkis assassinés dans
des conditions d’horreur qui dépassent l’imagination.
Obéir aux diktats de Bouteflika, militer pour une date
commémorée par le FLN, la FNACA et le PC, relève
de la trahison simple. Mais cela confine à la trahison
criminelle au moment où des « jeunes » - en
très grande majorité d’origine maghrébine
– mettent le pays à feu et à sang. C’est
leur dire que la présence française n’a apporté
en Algérie que la misère et la terreur, que la France
doit se repentir, qu’elle doit baisser saroual (et plus
si affinités). C’est leur dire qu’ils ont raison
de nous haïr. Et Dieu sait pourtant qu’ils n’ont
pas besoin qu’on le leur confirme en cédant aux exigences
du tyranneau d’Alger…
Alain SANDERS (in Présent)
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• Jacques Chirac, qui mange dans la main de Bouteflika,
a déclaré que les députés UMP, qui
ont voté l’article 4 de la loi du 23 février
sur la nécessité d’enseigner les aspects positifs
de la colonisation, ont fait « une grosse connerie ».
Les députés UMP, les patriotes et les rapatriés
apprécieront…
• Toujours à propos de cette loi, M Rochebloine
député de l’Ardèche, hostile à
la reconnaissance de l’œuvre de la France outre-mer,
déclare à l’assemblée nationale : «
que l’on doit permettre aux historiens d’agir avec
objectivité , et que la colonisation a eu des effets ambigus,
qu’elle s’inscrit dans un processus global condamné
par l’histoire…et que Assia Djebar, nouvelle élue
à l’Académie française a rappelé
que la langue du colonisateur s’est avancée autrefois
sur des chemins de sang, de carnage et de viols »….
Encore deux intellectuels qui méritent la reconnaissance
de l’histoire !
• A Paris et à Nice, on envoie les forces de l’ordre
pour interdire que des associations distribuent à des SDF
de la soupe au cochon. Eh oui, dans la France d’aujourd’hui
un bon SDF ne peut pas manger de porc, il ne peut-être qu’allogène
et musulman, et gare aux chrétiens et à ceux qui
ont simplement faim qui oseraient vivre dans la rue : ils peuvent
mourir sur les trottoirs, cela ne dérangera pas certains
élus.
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LE MYTHE
DE L’ALGÉRIE ALGÉRIENNE
Tous les secteurs du globe n’ont pas
eu la chance de se constituer très tôt en nations,
devenant ainsi facteurs de stabilité et d’ordre.
Les temps préhistoriques se confondent avec le nomadisme
et les invasions. Il est rare que l’on puisse y déterminer
une possession légitime du sol.
La Chine, l’Egypte et quelques vieilles civilisations telles
que les Incas, constituent d’heureuses exceptions. L’Afrique
du nord Berbère, demeura longtemps à l’état
tribal. L’Algérie, qui ne portait pas encore son
nom, était « le pays de nulle part » !
Un premier pôle d’organisation se forma autour des
Phéniciens – non Berbères – de Carthage,
sur le territoire actuel de la Tunisie.
Tout au long de l’histoire du Maghreb, on constatera la
naissance de la nation Marocaine ou Tunisienne, mais Ni Massinissa,
ni Jugurtha ne purent créer un état viable.
L’Afrique du Nord, un siècle et demi avant notre
ère, abrita des protectorats romains et en 40 après
Jésus-Christ, passa au rang de province romaine. Les Carthaginois
avaient développé l’agriculture et selon S.
Gsell, « les Romains n’eurent qu’à développer
un corps vigoureux et non ressusciter un cadavre, comme se fut
le cas pour les Français en 1830 ».
Des travaux hydrauliques fertilisèrent le pays et le niveau
de vie des habitants atteignit celui qu’on connaissait dans
les autres régions de l’Empire.
La population se sentait si bien intégrée, qu’il
y eut non seulement des hauts fonctionnaires, mais encore des
Empereurs originaires d’Afrique du nord.
La Tunisie portait le nom de « Proconsulaire », le
Maroc de « Maurétanie tingitane », tandis que
le reste, se partageait entre la Numidie et la « Maurétanie
Césarienne ».
Le Maghreb accepta tous les avantages de la civilisation romaine
et participa à sa défense. Lors du passage de l’Empire
au Christianisme, il fut un foyer particulièrement vivace
de Chrétiens.
Sainte Perpétue et Sainte Félicité, l’évêque
Saint Cyprien, l’écrivain Tertullien et l’évêque
Saint Augustin, père de l’église, qui périt
en défendant sa cité d’Hippone contre les
Vandales, illustrent indiscutablement cette période où
l’Afrique du Nord était devenue la région
de nombreux évêchés.
Les grandes invasions amenèrent en Afrique du Nord les
Vandales, mais l’Empire romain d’Orient et la Chrétienté
d’Afrique du Nord reprirent le dessus jusqu’à
la mort de la reine Kahena, en 702.
Les envahisseurs arabes imposèrent par le sabre, leur langue
et leur religion islamique, bien que l’apport de sang arabe
ne fût pas supérieur à 5%.
Puis ils envahirent l’Espagne chrétienne dont l’Histoire
au Moyen Age se confond avec la « reconquista », la
reconquête, la croisade permanente.
De nombreux pouvoirs se partagèrent alors le Maghreb :
les Idrissides, les Aghlabides et les Hilaliens ravageurs. Les
royaumes de Tunis et de Fès, imposèrent leur influence
sur la future Algérie. Mais celle-ci n’eut d’existence
propre, qu’à partir de la « Régence
» exercée par les frères Barberousse.
Ces renégats grecs, convertis à l’Islam, donnèrent
à Alger sa vocation de capitale de la piraterie. Aroug
Barberousse étrangla le cheikh d’Alger et pendit
le roi de Tlemcen.
Tout cela se déroulait dans une ambiance « mérovingienne
», au temps où Charles Quint régnait sur le
Saint Empire et où François 1er patronnait la renaissance.
Dans le monde civilisé, l’indignation fut grande
contre cette truanderie érigée en raison d’Etat.
Le Chevalier de Malte Pons de Balagar, planta prophétiquement
son poignard sur la porte de la casbah d’Alger, en s’écriant
: « nous reviendrons ! »
Alger était un peu comme une « Ile de la Tortue »,
revendiquant un alibi politique. Barberousse obtint cet alibi
en se plaçant sous la protection du Sultan des Turcs. La
classe dirigeante était composée de Janissaires
Turcs, renégats chrétiens d’Anatolie et de
la « taïfa » des « Raïs », pirates
permanents. La guerre sainte, « djihad », qui permet
d’acquérir le paradis d’Allah, en tuant les
« roumis », fit des ravages.
Le trafic des blancs et surtout des blanches, vendus comme esclaves
en Alger – comme Cervantès – faisait la prospérité
du pays et l’administration turque se souciait peu de mettre
en valeur l’arrière-pays, dont la situation avait
dramatiquement régressé depuis l’époque
romaine.
Cette situation ne verra son épilogue que beaucoup plus
tard, en 1830, au moment du débarquement des troupes françaises
sur les plages de Sidi Ferruch et d’Aïn-el-Turck.
Pendant plus de 130 années, l’Algérie va enfin,
non sans erreurs, se transformer sur tous les plans : politique,
social et économique, cela non sans une résistance
sporadique des féodaux et des fanatiques arabes, puis celles
des « Oulémas », écoles coraniques qui
furent les ferments permanents de la subversion et de la haine
anti-chrétienne.
En effet, Abdelkader, Bou-Maza, Bou-Baghla, El Mokrani Bouamama
et tous ceux qui au siècle dernier, fomentèrent
des révoltes contre la France et les juifs, n’ont
jamais combattu que pour l’Islam.
A aucun moment, pas une seule fois, ces guerres ne furent autre
chose que des guerres religieuses.
En 1871, l’erreur consistant à accorder la nationalité
française aux Juifs d’Algérie, mais pas aux
Arabes, fit dire à El Mokrani : « Je préfère
tuer mon cheval, que d’obéir à un juif. »
Cette phrase historique en dit long sur les futurs affrontements
entre les deux communautés.
Aucun sentiment « national » n’animera jamais
les « combattants de Dieu », pour la bonne raison
que la « nation » n’existait pas.
Dans sa lutte contre la France, Abdelkader ne dira jamais «
les Français », mais les chrétiens ou les
infidèles.
Plus tard, dans les années douloureuses de 1954 à
1962, Ferrat Abbas lui-même, déclarera : «
J’ai cherché partout, dans les livres et les bibliothèques
la nation algérienne et je ne l’ai jamais rencontrée.
»
Il fallut l’appui inespéré que lui apporta
De Gaulle, pour que cette tendance finisse par l’emporter.
Aujourd’hui quand on examine l’évolution de
l’Algérie algérienne, on ne peut que déplorer
un retour aux erreurs historiques dues à la domination
arabe : abandon de l’agriculture, régression sociale,
pénurie et misère des populations dont se soucient
bien peu les oligarchies nouvelles issues de la Révolution
», bénéficiaires de privilèges monstrueux.
Par ailleurs, se dessinent déjà des rivalités
dangereuses qui réveillent les haines séculaires
qui opposèrent de tous les temps, les Berbères aux
envahisseurs Arabes et qui se traduiront fatalement par de nouveaux
bains de sang, ce qui finalement ne fera que ressusciter les tendances
guerrières et sanguinaires de ces peuples qui n’ont
cessé au cours des siècles – la période
romaine et celle dite « coloniale – exceptées,
de s’entre-déchirer.
En exploitant cet antagonisme, on peut se demander –pure
hypothèse- : « est-ce que la France en 1958, en proposant
l’autonomie interne à la seule Kabylie, n’aurait
pas pu trouver une issue française, plus avantageuse et
plus rapide à cette guerre d’Algérie ? »
Philippe MARTEL
* Mythe : représentation de faits ou de
personnages, déformée ou amplifiée par l’imagination
collective. (Le Petit Robert page 1465)
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Le
Prix Algérianiste décerné à Pierre
Dimech
Quand est paru l’essai magistral de Pierre Dimech, "Pieds-Noirs
et Cous-Rouges" (sous-titré « Il était
deux fois l’Amérique »), nous avions dit que
ce livre ferait date. C’est le cas. Après avoir été
remarqué par différentes universités américaines,
"Pieds-noirs et Cous-Rouges" a été distingué
par le Prix algérianiste 2005.
Au début et pendant longtemps, les pionniers de l’Algérie
française ont affronté les mêmes rudes conditions
de vie -voire de simple survie - que les pionniers américains.
Plus tard, les populations du Sud eurent à subir, de la
part des Yankees, des épreuves et des persécutions
que subiront les Pieds-noirs de la part des patos métropolitains.
En faisant se rencontrer ces Pieds-noirs et ces cous-rouges (rednecks
: nom donné aux paysans sudistes parce qu’ils avaient
le cou brûlé par le soleil dans les champs qu’ils
travaillaient), Pierre Dimech - qui est le premier à avoir
exploré cette « correspondance » entre deux
mondes éloignés par la seule géographie en
fait – aura ouvert la porte à d’autres chercheurs
qui, nous en sommes sûrs, vont s’emparer du sujet
et lui donner une dimension universelle.
Le Prix Algérianiste vient donc distinguer, avec un discernement
qui fait honneur à son jury, une œuvre majeure pour
notre Histoire.
Alain SANDERS
*Ed. de Paris, coll., « Le Nouveau Monde », 13 rue
Saint-, 78000 Versailles.
Prix : 24 euros.
"PIK
un siècle, Roger Rosso raconte ses souvenirs de Bône"
Roger Rosso raconte ses souvenirs de Bône. Suite à
une rencontre en septembre 2000, ses explications venaient rendre
vie à tant de documents collectionnés depuis bien
des années sur Bône en Algérie par les plus
jeunes : plans, livres, cartes postales, photographies, journaux…Roger
Rosso architecte, a eu une connaissance toute particulière
de sa ville de par sa profession et ses relations. Il s’est
beaucoup intéressé à l’histoire de
la conquête de Bône, cette belle ville qu’il
a aimé, comme beaucoup savent aimer leur ville natale,
et dont il a suivi les transformations, y participant. Passionné
de tout, tout lui réussit. Très jeune, son don pour
le dessein se révélera, il aurait aimé en
vivre, mais « pas question d’avoir un artiste dans
la famille ! » lui déclara un jour son père.
Enfant, les jeux de son âge lui apportèrent l’expérience
que peu d’entre-nous ont su acquérir. Le sport chez
lui était une seconde nature, mer et montagne lui offrirent
d’innombrables possibilités, il a pratiqué
jusqu’à 90 ans, la natation jusqu’à
94…Le water-polo, la plongée, la pêche au harpon
complétée par l’archéologie sous-marine
le comblaient. La musique ne lui tendait aucun piège et
il jouait sans contrainte, elle était son amie. Quant à
la poésie vous découvrirez la sienne dans ces pages,
sachez cependant qu’avant de les retranscrire il nous a
toujours récité ses vers par coeur ! Revenons à
ce don fabuleux du dessin dont Pik a usé il n’y a
pas si longtemps encore. Dès 1930 il fit parti des «
Dix d’Alger » où son talent de caricaturiste
trouva une place de choix. Pour lui, aucune difficulté…c’est
comme cela ! Sa main trace ce qu’il voit et ce que son humour
transforme au gré de sa fantaisie ! Egalement très
sensible à la couleur et à la lumière, il
nous entraîne dans son monde. Pik aujourd’hui centenaire,
semblait nous attendre avec une patience infinie et toute sa mémoire,
nous livrant au cours de nos rencontres tous ses trésors.
Puis les anecdotes se réveillaient dans sa mémoire,
ne nous refusant jamais de les illustrer. Un grand merci Pik,
pour votre gentillesse, votre pertinence, pour ces longues heures
passées à nous raconter : « Bône la
coquette ».
Format : 28cm x 26 cm – 256 pages – Illustrations
originales de l’auteur, 320 documents couleur, noir et blanc
– Couverture reliée cartonnée – Sortie
prévue fin février 2006.
BON DE SOUSCRIPTION
(Offre valable jusqu’au 28 février 2006)
NOM :
Adresse :
Désire souscrire pour …..Exemplaire(s) du livre
de Roger Rosso :
"PIK un siècle, Roger Rosso raconte ses souvenirs
de Bône"
Au prix préférentiel de 30 € par livre (+
port et emballage 8 €)
Merci de joindre un chèque bancaire ou postal à
l’ordre de :
Catherine MARTHOT – 475 route du Puy Sainte Réparade
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