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RECHERCHE
FILMS SUR L’ALGÉRIE FRANÇAISE AVANT 1962
Je suis journaliste à la chaîne
de télévision M6. . Je prépare un documentaire
de 90 minutes sur l’Algérie au temps des Français.
Je cherche à restituer le climat de l’époque
en expliquant la vie des pieds-noirs, des musulmans, des harkis…au
travers de films en couleur d’époque.
Si vous possédez des films personnels en couleur, et que
le projet vous intéresse, n’hésitez pas à
me contacter.
Serge de SAMPIGNY Journaliste à M6
Serge de SAMPIGNY
Journaliste à M6
06 63 57 29 43 ou 01 41 92 67 71
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Camp
de Sainte-Livrade où sont regroupés depuis 50 ans
des réfugiés d’Indochine.
Faisant suite à notre article
sur le camp de Sainte-Livrade où sont regroupés depuis
50 ans des réfugiés d’Indochine, l’Association
de Soutien à l’Armée Française (ASAF)
nous communique les coordonnées de l’Association
VIETNAM-ESPERANCE
27 quai de Tilsitt
69002 LYON
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Louis Martin, plus connu chez les légionnaires
parachutistes sous le pseudo de « Loulou », nous a quittés
le 19 septembre à l’age de 81 ans.
Pierre Sergent en avait beaucoup parlé dans son livre : «
Je ne regrette rien ».
Le lieutenant puis capitaine Louis Martin s’était illustré
au sein du 1er BEP en Indochine et plus particulièrement
à Dien Bien Phu. Puis ce fut l’Algérie où
la "bande à Loulou" faisait toujours merveille.
Après le putsch, il quitta l’armée et se retrouva
au Gabon pour devenir le chef de la sécurité du président
Bongo. |
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A
PROPOS DU MEMORIAL NATIONAL DE LA FRANCE D’OUTRE-MER
Intervention de monsieur Yvon CLAIRE,
conseiller municipal de Marseille, le 21 mars dernier.
Monsieur le Maire,
Je voudrais en préambule citer le grand poète français
Jean Cocteau :
"L’histoire est du vrai qui se déforme, la légende
est du faux qui s’incarne"
Aussi, permettez-moi, Monsieur le Maire, de revenir sur ce dossier
dit du « Mémorial National d’Outre-mer »
où vous englobez à la fois l’outre-mer français
et étranger (hollandais, belge, espagnol, portugais, anglais…et
autres). Vous oubliez volontairement de dire que l’Algérie
était constituée de 10 départements français.
Vous passez également sous silence l’œuvre médicale
ainsi que l’enseignement français présenté
comme une action contre les écoles coraniques.
Quant à l’agriculture, c’était des milliers
de petits colons et non pas de gros colons disposant de grosses
fortunes. Or, vous prenez pour exemple, comme par hasard, l’un
d’entre eux, propriétaire dans la plaine de Mitidja
de milliers d’hectares, l’Algérie était
le grenier de l’Afrique grâce aux petits colons.
On voit quelle magnifique leçon d’histoire ce sera
pour les écoliers et lycéens qui visiteront les
salles du mémorial ; Mémorial ne signifiant pas
musée, mais symbole. Dans ce Mémorial on y soufflera
sur les braises en traitant par ailleurs les Harkis et les Pieds-noirs
de pyromanes.
Et justement, Monsieur le Maire, la communauté Pieds-noirs
s’est exprimée par l’intermédiaire de
Madame Evelyne Joyaux du Cercle Algérianiste pour dénoncer
son ras le bol. Je ne m’étendrai pas sur le nom du
président du comité de ce Mémorial qui a
été nommé, et sur lequel il y aurait beaucoup
à dire.
Nous sommes, nous les rapatriés d’Algérie,
scandalisés, humiliés par le non respect fait à
nos morts, par la destruction programmée des cimetières
et le pseudo regroupement de quelques uns d’entre eux. Ce
sont les derniers vestiges de la présence française
que l’on va faire disparaître pour y édifier
des immeubles. Alors que la CAF finance le rapatriement des corps
d’immigrés dans leurs pays d’origine, il serait
souhaitable que la ville de Marseille se montre solidaire de la
communauté Pieds-noirs marseillaise en participant, comme
envisage de la faire le conseil général des Alpes-Maritimes,
au financement du rapatriement des corps de ceux et celles qui
ont participé à l’œuvre et la grandeur
de la France dans les ex-départements français d’Algérie.
Vous envisagez de mettre à disposition des carrés
pour accueillir des cendres, ce n’est qu’une première
étape que nous approuvons.
Le devoir de mémoire ne devant pas être sélectif.
"Il n’est pas de destin qui ne se surmonte par le mépris"
Albert Camus.
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