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Dalil BOUBAKEUR
 
 
 

M. Boubakeur devant le Tribunal Correctionnel de Nice
pour pour diffamation ethnique et provocation à la haine à raison de leurs origines en jetant l'anathème sur les Français d'Algérie.

 
       
   
M. Dalil BOUBAKEUR, Docteur en Médecine, Vice-président du Conseil de l'Ordre des médecins, et aussi Président du Conseil Français du Culte
Musulman, a écrit, dans « Paris-Match » du 28 juillet 2005, un article
autobiographique intitulé : « Le, jour où la France m'a adopté ». Cet écrit, publié avec complaisance par l'hebdomadaire parisien, constitue un réquisitoire ethnique contre la communauté Pied Noir accusée, sans fard, non seulement d'intolérance, mais aussi d'avoir « tout fait pour éliminer l'identité musulmane ». Ni plus, ni moins.
Dieu sait, pourtant, que, depuis des décennies, notre communauté n'a pas manqué d'être attaquée de toutes parts par les plus hautes autorités politiques, administratives ou autres !
Mais jamais personne, ni aucune autorité religieuse, comme celle incarnée par M. Boubakeur, n'a proféré à notre encontre ce mensonge diffamatoire qui consiste à nous accuser d'avoir tout fait pour supprimer l'identité musulmane, c'est-à-dire pourfendre les croyants de confession islamique.
Selon une jurisprudence solidement établie, et qui s'applique aux Pieds-Noirs comme à toute autre communauté bien définie et ciblée, toute attaque généralisée contre un groupe de personnes en raison de leur origine, atteint, en même temps et personnellement, chacun d'entre eux et légitime une riposte judiciaire individuelle.
C'est pourquoi, à l'initiative de VERITAS, un groupe de personnalités Pieds-Noirs, connues et moins connues, mais justifiant toutes d'authentiques « quartiers de noblesse Pied-Noir » a décidé de citer M. Boubakeur devant le Tribunal Correctionnel de Nice pour pour diffamation ethnique et provocation à la haine à raison de leurs origines en jetant l'anathème sur les Français d'Algérie.
D'ores et déjà, la procédure, mise en route par Maître Courbis, a reçu fixation au 8 décembre 2005 à 13 heures 30 au Tribunal Correctionnel de Nice, date à laquelle elle sera renvoyée, pour plaidoiries, à une autre audience.
Maître René Blanchot VERITAS