Commentaires sur les propos du maire de Beauregard-l'Évêque
1. La République était maltraitée, mais encore plus depuis l’arrivée de François Le Normal , et sa clique de sectaires , avec une loi du 19 mars « journée de la victoire » et une visite honteuse le 20 décembre 2012 à Alger pour aller s’incliner au nom de la réconciliation franco-algérienne, devant la plaque située au bas du Bd Camille Saint Saens du militant indépendantiste Maurice Audin dont une place porte le nom à Alger (comme à Paris). Jeune prof de maths de 25 ans, marié père de trois enfants, Audin était membre du Parti communiste algérien (PCA) qui soutenait et aidait les poseurs de bombes qui tuèrent, mutilèrent des dizaines de nos compatriotes civils, hommes, femmes et enfants pendant la bataille d’Alger en 1957. Arrêté à son domicile par les paras à Alger le 11 juin de cette même année, Maurice Audin ne fut jamais retrouvé.
Le François Hollande continue sa visite d’Alger à quelques mètres de la place Maurice Audin , dans la rue Michelet, il passe devant la Brasserie de l’OTOMATIC, mais il ne s’incline pas devant la victime Française de la terroriste du FLN Danièle MINNE , encore quelques mètres il continue son chemin pour boire un petit coup à la Brasserie des facultés, un endroit de sa jeunesse pendant son stage de L’ENA , un autre lieu public où une autre FLN a déposé une bombe, il s’agit brasserie des Facultés, le 27 septembre 1959, la poseuse de bombe Djamila Boupacha.
Ouf le pèlerinage FLN de François Le Normal (FLN) d’Alger s’achève.
2. les retraites
Les maigres retraites ce n’est pas pour lui, comme j’aimerai avoir ses retraites :
Pour le donneur de leçon il cumule :
- Sénateur du Puy-de-Dôme,
- Membre du Conseil général du Puy-de-Dôme,
- Retraité de l'éducation nationale spécialisée,
- Ancien député,
- Conseiller général (canton de Vertaizon)
- Maire : Beauregard-l'Évêque (Puy-de-Dôme)
3. Un cumulard obscène
Le Parti socialiste s’est engagé à aller plus loin que la loi en vigueur... et plus vite que François Hollande et le gouvernement.
C’est Lionel Jospin qui avait fait voter l’actuelle loi sur le cumul des mandats, en avril 2000. L’objectif n’était pas d’interdire la pratique, mais de la limiter : un parlementaire ne peut exercer qu’un seul mandat local – au choix, conseiller régional, général ou municipal ; le texte prévoit deux exceptions : la règle ne s’applique pas aux conseillers municipaux des villes de moins de 3 500 habitants, ni aux élus des structures intercommunales (les communautés d’agglomération, par exemple).
C'est ce que je souhaite à chacun d'entre vous et à vos familles. »
Pour les familles des victimes de l'après cessez le feu du 19 mars , Harkis et Français d'Algérie c'est la loi scélerate du 19 mars 1962.
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