Ces archives remises sans l’accord des personnes qui s’y trouvent, militaires, militaires de contingent, fonctionnaires, Français d’Algérie, Religieux, personnels etc.
Il très facile de transformer, de déformer, de modifier les archives films, et radio, pour des raisons politiques, et de poursuites de la France devant les tribunaux, comme le propose le secrétaire général de la Coordination nationale des enfants de chouhadas, Khaled Bounedjma, a révélé que le dossier, préparé actuellement par la famille révolutionnaire dans le cadre de la plainte contre les crimes perpétrés par le colonisateur français contre les Algériens, sera déposé auprès de la cour internationale de justice, avant le 5 juillet prochain.
Bounedjma a indiqué, lors d’une conférence régionale, tenue jeudi 28 février 2008 dans la wilaya de Jijel, que le dossier est actuellement à la phase de collecte de documents et de films et d’archives de l’INA, montrant les crimes de la colonisation.
Voila l’irresponsabilité de Nicolas Sarkozy, de la ministre de la culture et du patrimoine, le travail de sape contre la France par ceux qui sont chargés de défendre l’image et le passé des Français ayant séjournés en Algérie.
Il est temps que les nombreuses associations de Rapatriés d’Algérie, se mettent au travail pour contrer cet accord honteux, pour l’image de personnes qui sont encore vivantes.
Cet accord abject, ignore totalement le droit Français.
Le droit à l'image est la prérogative reconnue à toute personne de s'opposer, à ce que des tiers non autorisés reproduisent et, a fortiori, diffusent son image. Les juges considèrent que « toute personne à, sur son image et sur l'utilisation qui en est faite, un droit exclusif qui lui permet de s'opposer à sa reproduction sans son autorisation expresse et spéciale »
Autorisation expresse.
Le recueil d'une autorisation est la règle. Son absence engage la responsabilité de celui qui reproduit et diffuse l'image sans autorisation. Ainsi, commettent une faute ceux qui reproduisent l'image. L'autorisation doit être expresse et suffisamment précise quant aux modalités de diffusion. De même, l'autorisation donnée pour être filmé n'implique pas l'accord pour la diffusion et il importe peu que ce film ait, par ailleurs, été diffusé dans des émissions de télévision, et de radiodiffusion.
Nos deux fonctionnaires débiles, Renaud Bachy et le gardien de musée Emmanuel Hoog nous proposent, d’examiner les archives et d’empêcher leur diffusion dans le cas où une personne s’y reconnaît.
Ces deux là nous prennent pour des cons, le gardien de musée Emmanuel Hoog dans son envoi des archives sans aucun respect du droit, et voila l’autre clampin qui demande de s’opposer, dans des archives qui sont inaccessibles, payantes et protégées, par un mot de passe.
Voila le sérieux d’une réponse d'un fonctionnaire peu sérieux, et malhonnête.
Les associations de regroupement de Rapatriés d’Algérie, du genre CLAN+CLAIR+CNFA feraient bien de s’occuper sérieusement de ce problème.
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