Marc Gricourt, maire de Blois a tenu, dans un communiqué, à se souvenir « des victimes de la répression sanglante orchestrée par la police française, le 17 octobre 1961 ».

Pour le gros déguelasse de Blois
il réserve ses crachats pour la Police Française et oublie volontairement les fonctionnaires victimes du FLN .
En janvier 1961 la Police Française enregistre le vingt-cinquième policier tué par le F.L.N. dans la région parisienne ; il est abattu à Saint-Denis. En février et mars 1961, les chiffres de la presse annoncent trois tués et douze blessés chez les policiers ; un car de police a été mitraillé boulevard Arago, deux passants ont été tués par des balles perdues.


Marc Gricourt
 
Marc Gricourt écrit ?: « Si, pendant des décennies, cet événement est occulté de l'histoire française, le procès de Maurice Papon en 1997 permet de remettre en lumière cet événement tragique […]

Pour le satrape de Blois les victimes Françaises d'Oran attentent depuis 55 ans un signe de " souvenir et son attention ..de gauchiste
."

Le sectaire de Blois Marc Gricourt préfère les victimes du FLN
aux victimes Françaises du FLN à ORAN

De tous les événements liés à la guerre d’Algérie, aucun n’a subi une occultation aussi complète que le massacre subi à Oran, le 5 juillet 1962, soit quelques mois après les accords d’Évian, par une partie de la population européenne de la ville. C’est pourtant celui dont le bilan est, de très loin, le plus lourd : en quelques heures, près de 700 personnes ont été tuées ou ont disparu sans laisser de traces.

ORAN 5 juillet 1962 : http://babelouedstory.com/thema_les/disparus/2064/2064.html
 
Le lien vers le "Rapport sur les archives de la Préfecture de police relatives à la manifestation organisée par le FLN le 17 octobre 1961" est ici :
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/984000823/0000.pdf