Élections Municipales 2014 à Aix-en-Provence : Pieds-Noirs en colère contre la gauche qui sans cesse vote des lois et provoque les Rapatriés d'Algérie.

       
 
 

Elections municipales d’Aix en Provence 2014, le candidat du Parti Socialiste c'est Edouard Baldo né à Alger en 1947.
Pour l’Algérie et ses compatriotes c’est tout, il a pour ami Jean-David Ciot député d’Aix  qui vient de voter une loi nauséabonde contre les Pieds Noirs et les harkis le vendredi 29 novembre 2013 à l’Assemblée Nationale et qui donne aussi des subventions pour une pièce de théâtre pro FLN.
Le candidat à la Mairie d’Aix veut promouvoir son ami Jean-David Ciot pour la présidence la communauté du pays d'Aix pour peut-être la distribution des prébendes.
Le 3 février le candidat Baldo du PS recevait Aurélie Filippetti, qui donne des subventions qu’a ses amis d’extrême gauche comme Benjamin Stora, pas aux autres pour le centenaire de la naissance de notre compatriote Albert Camus. Peut-être un trafic d’influence ?
Il est vrai que la sectaire Ministre de la Culture est venue se recueillir à Lourmarin. Mais pas de manifestation officielle, pas de partage culturel national autour du centenaire de la naissance d’Albert Camus (1913-1960), l’auteur de L’Etranger, Le Mythe de Sisyphe ou d’Actuelles. Mais en  France et de par le monde, une myriade d’initiatives.
Pour récompenser cette visite de soutien sur la liste Baldo, poussée en dernière position Laurent Jacquin, ingénieur informaticien... qui n'est autre que le frère de la ministre.

Pour revenir à la copine d’Edouard Baldo, Aurélie Filippetti, elle visite la Cité Nationale de l'Histoire et des Cultures de l'Immigration, nous retrouvons le 3 mars 2014 les images sur le site du ministère de la culture.

Cinquante ans après la fin du conflit, l'exposition Vies d'exil 1954-1962 des Algériens en France pendant la guerre d'Algérie offre une plongée inédite dans le quotidien des travailleurs algériens à cette époque tragique. Objets, œuvres d'art, documents et de saisissantes photos éclairent leur vie au fil de cinq chapitres : vie sociale, rapport à la société française, passion politique, événements tragiques du 17 octobre 1961 et indépendance.
Une production de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration, sur une proposition de Benjamin Stora et Linda Amiri, commissaires scientifiques, assistés par Hedia Yelles-Chaouche.
Tous les copains et les coquins se retrouvent.

     
 
 
Gauche à droite - Jean David Ciot - Harlem Désir -
Edouard Baldo futur maire d'Aix en Provence?

- Harlem Désir -
De novembre 1986 à octobre 1987, il occupe la présidence de SOS Racisme tout en étant salarié par l'« Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants », basée à Lille en tant que « formateur permanent » et il perçoit pour cet emploi fictif, un salaire mensuel net de 8 900 francs. Cela lui vaut d'être condamné, le 17 décembre 1998, à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour recel d'abus de biens sociaux.
Harlem Désir aurait également bénéficié d'une amnistie de François Mitterrand concernant une dette de 80 000 francs au Trésor public, relative à des amendes de stationnement (décision de justice du 9 mai 1992) alors qu'il était président de SOS Racisme

 

Discours de la Ministre des amis, Aurélie Filippetti

Madame la Présidente, chère Mercedes Erra, Monsieur le Président, cher Jacques Toubon,
Cher Benjamin Stora, chère Linda Amiri,


« Forte de son expérience, et d’une vocation à objectiver les pages les plus complexes de l’histoire de l’immigration, la Cité ne pouvait passer à côté d’un sujet, qui, 50 ans plus tard, ne cesse de susciter silence ou au contraire violence : celui de l’immigration algérienne en France, immigration ancienne que traverse une guerre coloniale longue et meurtrière, qui aboutit en 1962 à l’indépendance de l’Algérie. Cette immigration, dans les décennies récentes, a contribué à la grandeur de notre pays, et créé des liens indélébiles entre nos deux nations.
Il est essentiel d’aborder, en 2012, cette thématique importante de l’immigration algérienne en l’observant avec pour référent la guerre d’Algérie, et, inversement, d’aborder en ce lieu, non la guerre d’Algérie en soi, mais la vie des Algériens en France pendant la guerre. Je suis heureuse de pouvoir saluer ce soir le travail remarquable de Benjamin Stora et de Linda Amiri, commissaires de l’exposition. »
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« Beaucoup d’objets et d’oeuvres présentés dans cette exposition, et rassemblés par les deux commissaires accompagnés par Hédia Yelles- Chaouche au sein de l’équipe de la Cité, n’ont jamais été montrés au public. Ils nous racontent, entre conflits nationalistes et répression policière, le difficile quotidien des Algériens en France, qui continuent cependant de s’insérer dans la société de consommation qui se profile alors en métropole, et de vivre un exil rythmé par une vie culturelle et intellectuelle intense. »
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Nous sommes à quelques jours du 17 octobre, sombre épisode de l’histoire de France, que le Président de la République, François Hollande, avant son élection, avait souhaité commémorer l’an dernier à l’occasion d’un triste cinquantième anniversaire. Il était d’autant plus important pour moi, au nom d’un gouvernement attentif à tous les aspects de l’histoire de notre pays, d’être ici ce soir.

Un vote pour Edouard Baldo, c’est un vote pour Hollande et toute sa repentance, pour la reconnaissance du 19 mars, un vote pour Edouard Baldo c’est un vote pour Benjamin Stora.