Guerre d’Algérie : Daniel Goldberg (PS) demande à François Le Normal (FLN) de reconnaître la responsabilité de la France dans les massacres du 8 mai 1945 et d’octobre 1961.
   
       
 
 

Le 28 juin 2012 le sectaire Daniel Goldberg envoyé courrier suivant à
François Hollande.

A quelques jours du cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie, je souhaite attirer votre attention sur la nécessité de franchir une nouvelle étape dans les relations entre nos deux pays.

En octobre 2009, puis en octobre 2011, j'ai interpellé en vain votre prédécesseur afin qu'il accomplisse certains des gestes attendus depuis si longtemps des deux côtés de la Méditerranée.
Aujourd'hui, la France pourrait saisir l'occasion de ce cinquantenaire pour s'exprimer enfin clairement sur certains des événements les plus douloureux de notre passé commun afin que nous progressions dans la voie d'une réconciliation encore inachevée.

Il s'agit en premier lieu de revenir sur les violences commises lors de la répression des manifestations du 8 mai 1945 qui se sont déroulées dans les villes de Sétif, Guelma et Kherrata.
Les manifestants avaient pour beaucoup combattu dans les troupes françaises qui ont notamment libéré la France et l'Italie. Ils souhaitaient que les principes démocratiques qui ont uni les Alliés contre le nazisme débouchent sur la fin du régime colonial autoritaire.

Ces manifestations dégénérèrent en émeutes entraînant la mort de 102 Européens. La répression qui les a suivies a été d'une violence impitoyable, engageant l'aviation et la marine de notre armée. En quelques semaines, de 8 000 à 10 000 Algériens sont tués, voire même 45 000 selon la mémoire collective algérienne.

Ce n'est qu'au mois de mai 2005 qu'un représentant officiel de notre pays, l'Ambassadeur de France en Algérie, qualifie pour la première fois ces événements en employant les mots de « massacre » et de « tragédie inexcusable ».
Il faut aujourd'hui aller plus loin par la voie d'une reconnaissance officielle par la France de sa responsabilité dans ce drame.

Une expression de notre pays est aussi attendue au sujet de la manifestation pacifique du 17 octobre 1961 et des violences qui l'ont suivie.
Plusieurs villes, notamment en Seine-Saint-Denis où demeurent encore de nombreux témoins de cet événement, ont choisi de commémorer la mémoire des victimes. Chaque année, les mêmes mots nous reviennent, prononcés notamment par celles et ceux qui ont vécu ces heures sombres de notre histoire nationale. Chaque année, l'émotion est grande parmi les familles qui ont vécu ces violences, encore plus parmi celles qui ont perdu l'un ou l'autre de leurs proches, dont le corps n'a parfois même jamais été retrouvé.
Cet événement a longtemps été refoulé de la mémoire nationale, y compris de la mémoire populaire, la manifestation dite « de Charonne » du 8 février 1962 captant toute la lumière des heurts violents qu'a connus cette période en métropole et renvoyant dans l'amnésie collective les faits d'octobre 1961.

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Source : http://danielgoldberg2012.fr/category/international/
   
 
 
 

NON À LA REPENTANCE !
50 ans après la fin tragique de l'Algérie Française, les Français ne doivent pas en oublier le bilan :
- une année française victorieuse sur le plan militaire mais une défaite politique du fait du gouvernement gaulliste.
- les départements français d'Algérie arrachés au territoire national.
- les musulmans fidèles à la France livrés aux bourreaux du FLN : nul ne connaît le nombre exact de harkis massacrés à quelques dizaines de milliers près
- un million de Français d'Algérie spoliés et exilés
- les innombrables disparus abandonnés aux mains du FLN par le gouvernement français
- les nombreux massacrés, en particulier ceux du 5 juillet 1962 à Oran, dans l'indifférence générale
- une Algérie livrée à un parti unique et vouée depuis 1962 à la dictature, à la guerre civile et à l'échec économique.
Maintenant, le gouvernement algérien et ses complices français veulent obtenir de la France une repentance totalement injustifiée.
Les Français d'Algérie refusent cette repentance et affirme sa fidélité au souvenir de ceux qui ont sacrifié leur libellé et leur vie pour l'Algérie Française et pour la grandeur de la France.
 
 
         
 
 

Nous proposons au député qu'il demande à François Le Normal de faire repentance pour les crimes de François Mitterrand.
Vite les élections de 2017 pour se débarrasser des mabouls comme Daniel Goldberg et les complices habituels et autres comparses.

 
         
 
Dernière modification le 3 août 2012