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Nicolas
Sarkozy et Hamlaoui Mekachera, cèdent
à la provocation du Parti Communiste, et décident d'interdire,
sous prétexte de troubles à l'ordre public le ravivage
de la flamme du tombeau du soldat inconnu le 5 juillet 2006. |
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Le
5 juillet 1962, deux jours après l'indépendance de
l'Algérie, c'est une véritable chasse aux Français
qui était déclenchée à Oran par le FLN.
A ce jour, on ne sait toujours pas ce que sont devenus des centaines
de civils disparus, le temps est venu de savoir la réalité
des faits, car il ne saurait y avoir de traité avec l'Algérie
sans que le gouvernement algérien n'accepte l'ouverture de
ses archives sur cette période et que la France recherche
les responsables du pouvoir de l’époque et les responsables
de l’armée française.
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La vérité
fait peur; c’est pourquoi tant de gens la cachent. Le 5 juillet
1962 à Oran la foule musulmane armée, poignards dissimulés
sous les voiles des fatmas, arriva en masse des quartiers arabes
vers les quartiers européens au petit matin.
Ce fut le déferlement d’une haine raciste sans précédent
contre les Blancs, les Européens. Les témoignages
sont édifiants : « On égorgea, on tua au revolver
ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant
tout ce qui bougeait. On pénétra dans les restaurants,
les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec
des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant
des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer
des vivants avec les dents…Les auxiliaires de l’armée
algérienne, les A.T.O., emmenaient les Européens prisonniers
par longs cortèges vers le commissariat central où
ils étaient battus et tués, ou vers le Petit Lac,
ou vers la Ville Nouvelle»…
L’immonde général Katz, symbole à jamais
de l’infamie la plus ignoble et de la lâcheté
la plus torve, avait donné l’ordre aux 18000 soldats
français présents à Oran de rester l’arme
au pied, ignoblement impassibles au génocide atroce perpétré
sous leurs yeux contre leurs propres compatriotes…
Pendant ce temps, le répugnant Bouteflika vient cracher au
visage de la France sa haine de la « colonisation »,
lui, le fellagha tortionnaire, avocat des violeurs, des égorgeurs,
des assassins d’Oran. |
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Le 5 juin 2006 l’association
des anciens élèves du lycée Lamoricière
obtenait de Monsieur le Général de Corps d'Armée
Jean Combette, Président du Comité de la Flamme le
ravivage de la flamme pour le 5 juillet 2006.
« La Flamme sous l'Arc de Triomphe » ou comité
de « la Flamme » a été fondée le
2 novembre 1923. Elle a été reconnue d'utilité
publique le 10 novembre 1949, elle regroupe 760 associations d'anciens
combattants.
Elle a pour but de faire raviver quotidiennement, au crépuscule,
la Flamme sur la tombe du Soldat Inconnu et plus généralement
d'entretenir sa mémoire, c'est-à-dire la mémoire
de tous les combattants français tombés au champ d'honneur.
Le général Jean Combette a réussi à
insuffler un esprit nouveau au comité de la Flamme, dans
le sens d'une conception beaucoup plus universelle de l'acte de
ravivage. Cet élargissement à l'ensemble de la communauté
de citoyens de la possibilité d'accomplir ce geste de mémoire.
Le MRAP et son président, Mouloud AOUNIT, la Ligue des Droits
de l'Homme et le journal l'Humanité, à travers une
de ses journalistes, Madame Moussaoui , nostalgiques du stalinisme
et membre du PC, ont monté une véritable campagne
de désinformation, prétextant que l'OAS téléguidait
ce ravivage!
Il était clair qu'il s'agissait en réalité
de continuer à cacher le véritable génocide
qu'ont subi les Français d'Algérie et pas seulement
ce 5 juillet 1962 à Oran (nous pensons à nos disparus
et victimes, y compris après le 19 mars, aux Harkis après
l'Indépendance ). Génocide programmé dès
1954 par le FLN ami de Monsieur Mouloud Aounit et de Madame Moussaoui. |
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Des CRS attentent
les participants pour empêcher le ravivage de la flamme du
tombeau du soldat inconnu.
Une association de Rapatriés d'Algérie et deux associations
d'anciens combattants. |
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Le Mardi 4 juillet, Monsieur
Henri d'Abzac, Chef de cabinet du Préfet de Paris, sous les
ordres de Nicolas Monsieur SARKOZY (1),
signifiait à l’association de Rapatriés d’Algérie
que la cérémonie de la Flamme était interdite.
En soirée du 4 juillet 2006, Monsieur Gilles de La Caussade,
Chef de Cabinet de Monsieur Mekachera, (2)
confirme à l’association de Rapatriés
d’Algérie que le ministre interdisait la cérémonie. |
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Un fils
de disparu m'expliquait dans la foule qui attendait près de
l'étoile à Paris : " Je ne trouve pas normal qu’on
veuille m’assassiner aussi et qu’il n’y ait pas
de place dans l’opinion pour la souffrance des familles des
victimes du 5 juillet à Oran."
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Alors que le Comité de la Flamme avait donné
son accord pour un ravivage de la flamme sous l’Arc de triomphe
le 5 juillet 2006 pour honorer les victimes civiles et militaire de
la Tragédie d'Oran du 5 juillet 1962, deux ministres du gouvernement
Nicolas Sarkozy et Hamlaoui Mekachera, cèdent à la provocation
du Parti Communiste, et décident d'interdire, sous prétexte
de troubles à l'ordre public.
Nous déplorons ici cette décision qui donne satisfaction
au Parti Communiste et aux nostagiques du F.L.N dans sa
volonté d'occulter la mémoire des civils - hommes,
femmes et enfants- qui ont été les victimes innocentes
du FLN il y a près de 45 ans.
JLG
1) Une lettre signée de Monsieur MEKACHERA,
datée du 5 juillet indiquant que les Anciens du Lycée
Lamoricière étaient "susceptibles de créer
des troubles à l'ordre public" (mensonge et forfaiture)
et demandant en conséquence au Préfet d'interdire
notre dépôt de gerbe.
2) Un arrêté N° 2006-206658, daté
du même jour, signé du Préfet Pierre MUTZ, sous
les ordres de M. Nicolas SARKOZY, interdisant la manifestation pour
les mêmes raisons.
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