De nouveaux les élus socialistes s'en prennent à un fils de Harki Monsieur Mohamed Bellebou.
Après frêche et ses insultes contre les Harkis , le deuxiéme personnage de l'état Jean Pierre Bel qui avait fait condamner Mohamed Bellebou à  2 ans de prison ferme pour l'avoir séquestré, sous la menace d’une « bombe » factice, pendant une heure !
Maintenant les complices de Jean Pierre Bel Roland Courteau et Marcel Rainaud s'y mettent aussi .

 

Tout cela a débuté avec le vote le 8 novembre 2012 au Sénat d'une loi scélérate fruit de 11 ans de rancunes du soldat Alain Néri.


Pendant 11 ans le sénateur de Beauregard-l'Évêque qui est le principal avocat de la date du 19 mars 1962 pour la commémoration officielle de la fin de la guerre d'Algérie continue "sa guerre" pour son orgueil personnel de paraitre dans l'histoire celui qui aura réussi de fêter une défaite
Le choix de cette date est controversé : pour les opposants, « le cessez-le-feu imposé par les “accords d’Évian” n’a été respecté que du côté français et les exactions du FLN contre la population civile et contre les militaires français se sont intensifiées »
Il organise une pseudo commission d'enquête factice où il reçoit ses amis de gauche, la FNACA et l'ARAC qui soutiennent le choix de cette date mais il oublie volontairement d'autres associations et toutes les associations de Français rapatriés harkis et pieds-noirs, anciens combattants (plus d'une centaine d'associations) qui ont témoigné leur opposition à l'officialisation du 19 mars comme date commémorative.


Comment de pas comprendre la révolte de Mohamed Bellebou , se sont les harkis qui ont payés le plus grand tribut du pseudo cessez le feu du 19 mars 1962


 

Mohamed Bellebou a été entendu par le SRPJ de Perpignan le 13 novembre 2012


Mohamed Bellebou aurait tenu des propos menaçants à l’égard des sénateurs qui ont voté ce texte. Dont Roland Courteau


Propos publiés sur Facebook


Des propos tenus en cercle privé, d’abord, mais aussi sur Facebook. Sur le réseau social, Mohamed Bellebou écrit ainsi, le 8 novembre, jour du vote au Sénat : " Tous ce soir, allumons une bougie, un cierge, avec une prière pour qu’ils crèvent, eux et leurs familles, ces chiens qui ont voté, torturé, et qui continuent à nous faire très mal, qu’ils aillent en enfer, ya Rahbi ! Mon Dieu, faites en sorte en cette veillée de les faire tous payer et sous huitaine " (*).


Entendu au commissariat de Carcassonne


Selon nos sources, les propos initiaux auraient été jugés suffisamment explicites pour que le parquet de Carcassonne saisisse le SRPJ de Perpignan. Samedi, une équipe est ainsi venue dans l’Aude pour interpeller Mohamed Bellebou, conduit et entendu, dans la foulée, au commissariat de Carcassonne.


Défendu par Louis Aliot


Mohamed Bellebou, qui était assisté, lors de son audition, par Me Louis Aliot, avocat au barreau de Perpignan et, à la ville, compagnon de Marine Le Pen, a rapidement recouvré la liberté.


Un discours habituellement très critique


De fait, les explications apportées à ses propos conduiraient à en relativiser la portée, comme le caractère menaçant. "Il est dans son discours habituel, très critique, avec des mots parfois excessifs", indique une source proche du dossier.
Au final, la procédure pourrait se solder par un simple rappel à la loi.

Une première victime de la loi du 19 mars de la haine et de la division


Propos de Roland Courteau pendant les débats au Sénat le 8 novembre 2012 révoltants

M. Roland Courteau. Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, plus de 20 000 communes commémorent le 19 mars 1962 en France. C'est un cas que je crois presque unique dans notre histoire mémorielle républicaine. Remplir le devoir de mémoire est une demande venue d'abord de la population et des témoins ; elle a été exprimée par les communes, socle premier de nos institutions, qui sont très nombreuses aujourd'hui à avoir une rue ou une place portant pour nom cette date.
Il est grand temps que la République établisse une date commémorative afin que ce soit la Nation tout entière qui s'unisse désormais dans un même devoir de mémoire. Il est plus que temps que « parler de l'Algérie » cesse de nous diviser, et au contraire nous unisse.
Il est vrai qu'une difficulté à « faire mémoire » s'est attachée à la guerre d'Algérie, du fait de l'épreuve douloureuse que celle-ci a représentée non seulement pour les militaires et les appelés du contingent, mais aussi pour les Français d'Algérie et les harkis.
Je rappelle cependant que deux millions de soldats, dont une majorité d'appelés, ont traversé la Méditerranée entre 1955 et 1962. Or, il y a un principe, exprimé à l'origine par Georges Clemenceau, qui guide notre devoir mémoriel républicain : ceux qui ont combattu, qui ont été blessés, qui sont morts pour avoir fait leur devoir en répondant à l'appel de la République « ont des droits sur nous ».
Oui, les grands rendez-vous mémoriels sont l'occasion de rappeler les sacrifices consentis par le monde combattant. Pour tous les conflits, ce sont les soldats qui fondent le socle du devoir mémoriel de la République, mais sans exclure pour autant les autres victimes, notamment civiles, qui ont aussi droit à réparation.
C'est bien à ces soldats et à ces appelés qui avaient franchi la Méditerranée que s'adressait le cessez-le-feu, décidé par la République, du 19 mars 1962. Il signifiait que la République n'était plus engagée, à travers eux, dans les combats et que la France n'était plus en guerre.
Cette guerre a coûté la vie à plus de 25 000 militaires, majoritairement appelés ou rappelés du contingent.
Non, ce n'est pas la date abracadabrantesque et arbitraire du 5 décembre qui peut constituer le rendez-vous mémoriel avec eux : ce jour est celui de la saint Gérald, et rien d'autre !
Oui, nous considérons que seule la reconnaissance du cessez-le-feu officiel du 19 mars 1962, approuvé à l'époque par plus de 90 % des Français par référendum, est à même de marquer solennellement la reconnaissance qui est due à ceux dont la loyauté à l'égard de la République n'a pas fait défaut.
Certes, il y a eu ensuite la tragédie des harkis, tache sombre sur notre histoire, mais n'oublions pas qu'il y a eu aussi, après le 19 mars, des Français d'Algérie tués, massacrés. Toutefois, il faut voir dans le 19 mars une date républicaine qui doit rappeler à tous les Français le devoir de justice et de vérité que la Nation entreprend de respecter à l'égard des errements de la colonisation ainsi que des conséquences de la guerre et des combats qui en ont été le prolongement.
Notre rôle ici est de rappeler que le 19 mars est le jour où la République a fait un choix pour toute la Nation en ouvrant une autre séquence de son destin collectif.
Oui, il peut y avoir eu dans la mémoire des uns et des autres des guerres d'Algérie, mais il y a eu un drame algérien pour toute la République et pour tous ses enfants.
C'est pourquoi la République a le devoir aujourd'hui de rassembler ses enfants, et c'est l'objet de la proposition de loi que nous examinons.


Enfin, la date du 19 mars est aussi un pont entre les différentes mémoires.
Elle nous renvoie à notre devoir de construire une relation équilibrée, apaisée et exigeante avec la République algérienne.


La date du 19 mars nous fournit donc la possibilité de partir du singulier de l'événement, du particulier des vécus et des histoires personnelles, pour rendre justice à la collectivité, pour elle-même et aux yeux de tous.
Chaque fois que la République réussit cette démarche de synthèse, la Nation se trouve grandie. Elle tirera donc de ce moment collectif de commémoration que peut constituer le 19 mars ce qui la fortifiera pour son avenir. (Applaudissements sur les travées du groupe socialiste, du groupe CRC et du groupe écologiste, ainsi que sur certaines travées du RDSE.)

Depuis le 8 novembre 2012, nous recevons de nombreux propos injurieux contre les sénateurs que nous ne reproduisons pas, il suffit d'écrire directement aux sénateurs de la honte .
 

Les Sénateurs de la Honte


Nicolas Alfonsi

Laurence Cohen

Claude Haut

Isabelle Pasquet

Jacqueline Alquier

Yvon Collin

Edmond Hervé

Jean-Marc Pastor

Michèle André

Gérard Collomb

Odette Herviaux

Georges Patient

Serge Andreoni

Pierre-Yves Collombat

Alain Houpert

François Patriat

Kalliopi Ango Ela

Jacques Cornano

Robert Hue

Daniel Percheron

Maurice Antiste

Roland Courteau

Pierre Jarlier

Jean-Claude Peyronnet

Jean-Étienne Antoinette

Cécile Cukierman

Claude Jeannerot

Bernard Piras

Alain Anziani

Ronan Dantec

Philippe Kaltenbach

Jean-Vincent Placé

Aline Archimbaud

Yves Daudigny

Ronan Kerdraon

Jean-Pierre Plancade

Éliane Assassi

Marc Daunis

Bariza Khiari

Roland Povinelli

David Assouline

Annie David

Virginie Klès

Gisèle Printz

Bertrand Auban

Michel Delebarre

Yves Krattinger

Marcel Rainaud

Dominique Bailly

Jean-Pierre Demerliat

Georges Labazée

Daniel Raoul

Delphine Bataille

Michelle Demessine

Joël Labbé

François Rebsamen

Jean-Michel Baylet

Christiane Demontès

Françoise Laborde

Daniel Reiner

Marie-France Beaufils

Jean Desessard

Serge Larcher

Jean-Claude Requier

Esther Benbassa

Félix Desplan

Pierre Laurent

Alain Richard

Claude Bérit-Débat

Évelyne Didier

Françoise Laurent-Perrigot

Roland Ries

Pierre Bernard-Reymond

Claude Dilain

Gérard Le Cam

Gilbert Roger

Michel Berson

Claude Domeizel

Jean-Yves Leconte

Yves Rome

Jacques Berthou

Odette Duriez

Jacky Le Menn

Laurence Rossignol

Alain Bertrand

Josette Durrieu

Claudine Lepage

Bernard Saugey

Jean Besson

Vincent Eblé

Jean-Claude Leroy

Patricia Schillinger

Michel Billout

Jean-Paul Emorine

Michel Le Scouarnec

Mireille Schurch

Marie-Christine Blandin

Philippe Esnol

Alain Le Vern

Jean-Pierre Sueur

Maryvonne Blondin

Frédérique Espagnac

Marie-Noëlle Lienemann

Simon Sutour

Éric Bocquet

Alain Fauconnier

Hélène Lipietz

Catherine Tasca

Nicole Bonnefoy

Christian Favier

Jeanny Lorgeoux

Michel Teston

Yannick Botrel

Jean-Luc Fichet

Jean-Jacques Lozach

René Teulade

Corinne Bouchoux

Jean-Jacques Filleul

Roger Madec

Jean-Marc Todeschini

Christian Bourquin

Guy Fischer

Philippe Madrelle

Robert Tropeano

Martial Bourquin

François Fortassin

Jacques-Bernard Magner

Richard Tuheiava

Bernadette Bourzai

Thierry Foucaud

François Marc

André Vairetto

Michel Boutant

Alain Fouché

Marc Massion

Raymond Vall

Jean-Pierre Caffet

Jean-Claude Frécon

Stéphane Mazars

André Vallini

Pierre Camani

André Gattolin

Rachel Mazuir

René Vandierendonck

Claire-Lise Campion

Catherine Génisson

Michelle Meunier

Yannick Vaugrenard

Jean-Louis Carrère

Jean Germain

Jacques Mézard

Paul Vergès

Françoise Cartron

Samia Ghali

Danielle Michel

Michel Vergoz

Luc Carvounas

Dominique Gillot

Jean-Pierre Michel

Jean-Pierre Vial

Bernard Cazeau

Jacques Gillot

Gérard Miquel

Maurice Vincent

Yves Chastan

Jean-Pierre Godefroy

Jean-Jacques Mirassou

Dominique Watrin

Alain Chatillon

Brigitte Gonthier-Maurin

Thani Mohamed Soilihi

Richard Yung

Jean-Pierre Chevènement

Gaëtan Gorce

Robert Navarro

Jacques Chiron

Jean-Noël Guérini

Alain Néri

Karine Claireaux

Didier Guillaume

Renée Nicoux