CDHA des statuts élaborés par les humanistes et honnêtes gens qui l'ont fondée mais dirigée en violation répétée de ces statuts, par un groupuscule d'affairistes.
     
   
 

OÙ VA VOTRE C.D.H.A.?

Vous aviez l'habitude de recevoir quatre fois par an le bulletin Mémoire Vive : cette périodicité a pu être maintenue par la persévérance d'une toute petite équipe soudée par la volonté de vous rappeler, et plus souvent vous enseigner quelques épisodes de la présence française outre Méditerranée. A la suite de changements intervenus depuis trois ans au sein de notre Conseil d'administration, cette belle ordonnance a volé en éclats. Immédiatement après le renoncement du Président Cénac, quatre éminents Administrateurs ont quitté le Conseil ces défections venant s'ajouter à de précédentes qui avaient déjà amoindri le potentiel historiographique du Centre.
Une volonté de chamboulement gratuite ne répondant à aucune sollicitation de votre part a abouti sous des prétextes et par des immixtions néfastes à la raréfaction de votre bulletin puis à son remplacement par une feuille de chou aussi prétentieuse qu'inutile.

 

A la dernière mouture de cette feuille était joint un état des lieux fait par Monsieur Pérez qui est loin de représenter une synthèse des opinions le plus souvent émises tant par des membres du Conseil d'Administration que par des adhérents fréquentant les locaux d'Aix-en-Provence.
Il est vraisemblable que le susdit état satisfasse une infime minorité du Conseil ainsi que les deux personnes et demie du Bureau constitué à sa dévotion par M. Pérez et auquel il a tenté de m'incorporer sur un strapontin que je me suis empressé de déserter pour ne pas cautionner des violations flagrantes des Statuts de notre Association, accompagnées de grossières dérives comportementales.
Il faut donc que vous sachiez, pour ceux qui l'ignoreraient que le C.D.H.A. est dans l'obligation de fonctionner, sous la tutelle de plusieurs autorités institutionnelles ( Ministres de l'Intérieur et de la Culture Secrétaire d'Etat chargé des Rapatriés ) selon des statuts élaborés par les humanistes qu'ont été ses fondateurs. Ces statuts s'ordonnancent en vingt-six articles dont le septième stipule: " Les membres du Conseil d'Administration sont élus pour quatre ans au scrutin secret par l'Assemblée Générale. Ils sont rééligibles ". Or depuis sept ans que j'ai assisté à toutes les A.G., je n'ai été témoin d'aucune élection ou réélection.
Ce qui signifie que tous les membres de l'actuel C.A. n'ayant pas été investis par le vote d'une A.G. exercent des fonctions en toute irrégularité et précarité, et que vis-à-vis des autorités de tutelle ils sont dans l'illégalité. M. Pérez n'est donc qu'un président précaire ainsi que son précieux bureau, et moi-même un administrateur précaire parmi d'autres tout aussi précaires. Circonstances aggravantes : si mon admission au C.A. avait donné lieu à un semblant de délibération - hors ma présence - d'un C.A. toutes celles intervenues depuis en ont été dispensées. De plus au moins une candidature déclarée n'a jamais été examinée; tandis que sans aucun examen d'un C.A. le " Président " a désigné des personnes parmi ses relations.
Malgré le caractère précaire de ce Conseil d'Administration des décisions pouvant revêtir une extrême gravité sont prises par un bureau hyper concentré, dont ont été exclus les vice-présidents prévus par les statuts. L'une de ces décisions a été le fait du président de son bureau (deux personnes) et d'un seul membre tout aussi usurpateur que tous les autres du C.A. : il s'agit du licenciement de Monsieur Franklin qui a porté le différend devant les prud' hommes ce qui risque de porter un coup fatal aux finances de l'Association.
Et le bureau est allé jusqu'à commettre un faux en écrivant dans le compte rendu de la séance du 6 mars 2008 : "L'incompatibilité ainsi confirmée conduit le CA à prendre acte du licenciement de J.F à la date indiquée ". Ce qui m'a obligé à dénoncer ce faux par écrit auprès de membres du C.A., en ces termes:
- Etant resté jusqu'à l'extrême limite de cette séance (*..)* je porte témoignage que (...) je n'ai à aucun moment été consulté sur ce licenciement. Si ce sont le " Bureau " et quelques obligés qui ont concocté cette issue (...) qu'ils aient la probité de ne pas faire porter le chapeau de leurs combines à tout le C.A. Car le tort porté au C.D.H.A. n'est pas imputable au seul J.F. : il y a d'autres responsabilités qui appellent sanctions ".
M. Pérez me met donc dans l'obligation en vous écrivant que " Durant une longue période nous avons cherché à trouver un compromis " de révéler ce qui suit. Dès les premières escarmouches entre MM. Franklin et Pérez (lorsque les compétences du premier ont été battues en brèche « parfois de façon pas très digne d'une association culturelle, par la volonté du second de régenter tous les domaines y compris ceux où il était et demeure novice peu de temps après l'intronisation frauduleuse de ce dernier le même m'a fait plusieurs fois la confidence suivante : " Il va partir ". La recommandation de modération que j'ai prodiguée depuis à ces deux tempéraments peu enclins à composer a donc été inutile, face à un bureau jeteur d'huile sur le feu.
Peu de temps avant que M. Pérez fort des complicités dont il s'est entouré et auxquelles il insistait pour que je me joigne ne déclenche sa répression vindicative contre M. Franklin, je l'ai mis en garde contre les conséquences désastreuses pour le Centre de son initiative qui ne pouvait que déboucher sur un conflit sans merci reproduisant les affrontements éhontés qu'ont connus le Cerclé Algérianiste et la Maison des Rapatriés de Marseille dans lesquels les politiciens n'ont pas manqué de s'engouffrer. Nous voilà rendus à cette issue néfaste et vouloir en rejeter toute la responsabilité sur M. Franklin relève de l'intoxication.
Nous en sommes arrivés à cette aberration d'une "Association dite Centre de Culture Recherches et Documentation Historique sur l'Algérie " qui ne compte plus un seul historien dans son C.A. et n'est plus administrée selon les statuts élaborés par les humanistes et honnêtes gens qui l'ont fondée mais dirigée en violation répétée de ces statuts, par un groupuscule d'affairistes incultes historiquement selon des méthodes issues de leurs sociétés privées à base de copinage et d'exclusion des non-alignés sur leur doctrine.
Pour vous berner par ses jérémiades sur une prétendue " cabale véhiculant des propos grossièrement mensongers diffamatoires " et des "attaques parfois très violentes que NOUS avons eues à subir " M. Pérez - utilisant un "nous" ambigu dont on ne sait s'il est de Majesté ou s'il implique le C.A. (qu'il cite mais auquel il n'a pas soumis le texte de sa
" mise au point " le bafouant une fois de plus) ou " toute l'équipe qui l'anime la (sic) représente et y travaille " ( et dont on attend avec curiosité qu'il donne la composition car quatre personnes et demie pour représenter le C.D.H.A. est " bouffonesque " ) -M. Pérez donc a disposé des moyens de diffusion du Centre constitués grâce à vos cotisations et l'argent du contribuable via les collectivités publiques.
Pour contrecarrer la tentative d'intoxication tendant à rejeter sur M. Franklin la responsabilité de l'état de décomposition vers lequel fonce le C.D.H.A. je dois puiser dans mes ressources de retraité de la fonction publique. Mais mieux informés c'est vous qui serez juges. Et il faut espérer que vous serez assez nombreux à pouvoir assister à la prochaine A.G. qu'il faudra bien finir par réunir devant laquelle M. Pérez jamais élu ne pourra pas se présenter avec un titre usurpé de " Président " mais à laquelle il devra rendre compte de tous les fiascos de son entreprise de mainmise autocratique sur une Association fondée par des Humanistes.
Bien à vous cordialement sans les sempiternelles grosses flagorneries des " embrouilleurs ".

Jean-Pierre Tasei.

Administrateur précaire du C.D.H.A. Retraité de l'Enseignement supérieur Praticien hospitalo-universitaire

 
 
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