IL FAUT SAUVER LE SOLDAT "PRESENT " !!

Le Journal qui est, au-delà des analyses différentes que l'on peut faire de telle ou telle situation (heureusement d'ailleurs, sinon nous serions nous-mêmes des zélateurs d'une Pensée Unique !, LE SEUL représentant QUOTIDIEN de la Civilisation dont nous sommes les derniers spécimens, est EN DANGER DE MORT IMMINENTE. Vous en devinez les causes. Si on laisse faire, par indifférence ou vilain "règlement de compte", nous nous serons tués nous-mêmes en tant que Gens Debout et Libres. Et on n'aura plus qu'à raser les murs, dans l'ombre des chacals, pour avoir laissé assassiner le seul organe de Presse qui, depuis 20 ans, jour après jour, aura avec bravoure, combattu pour notre Cause, notamment celle de la Mémoire de l'Algérie française et de tout l'empire français.

Mais, ce ne sera qu'un cauchemar dont votre sens du Combat va bientôt nous réveiller ! Adressez-nous vos souscriptions et celles de vos proches, à l'ordre de PRESENT. Nous les réunirons en une liste intitulée

" LES PIEDS-NOIRS ET LEURS AMIS RECONNAISSANTS "
et ferons suivre au journal.
OUI, ENSEMBLE NOUS SAUVERONS LE SOLDAT " PRESENT" !

Pierre DIMECH

Pour des renseignements complémentaires écrire à l'AMEF : Association Mémoire Empire Français

PS : nous tenons à votre disposition, sur demande, le "cahier central" du n°5320 de PRESENT du mardi 6 mai 2003 exposant la situation sous les signatures d'Alain Sanders, Jean Cochet, Caroline Parmentier, Olivier Figuéras, Jeanne Smits, Franck Delétraz.

Présent (SARL) 5 r Amboise - 75002 PARIS 02

Maintenant ou jamais.

Nous avons eu l'occasion de l'écrire : on peut n'être d'accord avec Présent qu'à 60, 70 ou 80 %. Et nous ne serions pas un vieux peuple gaulois s'il en allait autrement. Mais la question que l'on doit se poser - et que doivent se poser les lecteurs parfois " irrités " de savoir s'il existe un autre journal, et même un autre média, avec lequel ils pourraient hic et nunc, toujours, immanquablement, être d'accord à 100 %..

L'important, c'est d'être d'accord sur l'essentiel de ce que défend Présent. Et qui est ramassé dans la formule "Dieu, Famille, Patrie ". Est-il un autre, un seul autre, quotidien qui, même de manière approximative, s'approche d'un tel programme ? Non. Vaut bien, vous en conviendrez, de passer outre quelques dissonances, quelques incompréhensions subalternes, quelques querelles dérisoires quand les menaces qui pèsent sur notre pays - sur son être même -n'ont jamais été aussi graves.

Présent existant depuis plus de vingt ans, il en est qui peuvent trouver normal, anecdotique, inutile, l'existence d'un tel journal. Et il y a ceux qui savent, comme le disait Mgr Lefebvre,que " Présent est un miracle quotidien ". Que ceux-là - le noyau dur reconnaissant d'avoir un quotidien de notre " famille politique ", un quotidien de cette trempe - continuent d'être les ambassadeurs de Présent. Contre vents et marées. C'est souvent quand les gens meurent que l'on s aperçoit combien ils manquent, combien ils étaient indispensables, irremplaçables. Et c'est à ce moment qu'on se dit : " Si j'avais su... " Mais il est alors trop tard, hélas.

Aussi une fois encore, une fois de plus, venons-nous solliciter dans un sentiment d'urgence absolue - votre aide. Parce que nous sommes des pauvres. Et des pauvres persécutés. Du côté des pouvoirs publics, des banques, des médias, de la "justice ", de la classe politique, 1'un crie " tue ! " Quand l'autre dit " assomme ! " Quand il s'agit de notre vie qui ressemble de plus en plus à de la survie.

Dans cet environnement hostile, cela fait des années que nous nous battons. Avec l'aide de Dieu. Avec la vôtre aussi. Mais nous en sommes au point de manquer d'air, de nous noyer, de suffoquer. Nous ne pouvons compter sur personne d'autre que vous pour nous envoyer une bouée de sauvetage. Et d'abord parce que nous sommes dans ~ même bateau, à bord d'un Titanic où il n'y a même pas d'orchestre - sinon I'orchestre rouge - dans les coursives.

Cet appel â l'aide - souscrivez, souscrivez, souscrivez - ne s'adresse pas à des hommes et à des femmes ordinaires. Il s'adresse à des hommes et à des femmes debout. A des résistants. A des Français. Il faut qu'il soit entendu. Très vite. Tout de suite. Maintenant. Sinon...Alain Sanders