UNE TÉLÉ À NOUS
Pour défendre notre histoire

     
   
 

Le régime a toujours attaché une grande importance aux symboles. Voilà pourquoi un ancien combattant a été privé de sa Légion d'honneur à titre rétroactif !

C'est en effet la folle histoire qui est arrivée à Jean-François Collin, un monsieur de 73 ans. Cet ancien sous-lieutenant avait été nommé chevalier de la Légion d'honneur avec traitement, dans la promotion du 5 mai 2011 réservée aux militaires et anciens militaires, au titre de mutilé de la guerre d'Algérie.
Surprise : le régime vient de lui retirer cette décoration en invoquant l'article R96 du code de la Légion d'honneur, qui stipule que «des peines disciplinaires peuvent être prises contre tout légionnaire qui aura commis un acte contraire à l'honneur». Une mesure extrêmement rare, prononcée contre des légionnaires condamnés pour droit commun.
Mais, pour le gouvernement, le vieux soldat a commis bien pire qu'un crime : il s'est battu pour défendre l'honneur d'un pays que François Hollande vient encore de traîner dans la boue en allant lécher les bottes du régime d'Alger !

Le système règle des comptes

Que reproche-t-on à ce Français exemplaire ? A peine rétabli d'une grave blessure, Jean-François Collin avait rejoint l'OAS métro à Paris. Et, aujourd'hui encore, il préside l'Association de défense des intérêts moraux des anciens détenus (Adimad) ayant combattu dans les rangs de l'Organisation de l'armée secrète.

A peine nommé, Jean-François Collin s'est retrouvé dans le collimateur de la FNACA (Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie), association proche du PC qui a pu le torpiller grâce au retour de la gauche au pouvoir.
Ces tristes individus se sont «indignés» de cette nomination et ils ont ajouté que cette distinction est insupportable pour leur association.

Sommaire

- Le mot du Président Lettre ouverte à un Président normal Par Jean-Marie Avelin.
- Colonisation Injuste et brutal ? Par Alain Algudo.
- Tissu d'illusions Ravages Par Geneviève de Ternant.
- Légitime requête Quand la chancelière donne une leçon au ministre ! Par Eliane Sallaberry.
- 17 octobre 1961 Mensonge d'État Par Bernard Lugan.
- Décadence spirituelle Le meurtre des départements français d'Algérie Par Georges Dillinger FOCUS.
- La colonisation du Maghreb par les Arabes et par les Turcs Par Anne Cazal.
- Quand le Chef d'Etat crache sur la France Par VERITAS.
- La complicité du gaullisme et du communisme Par Docteur Pierre Cattin.
- Courrier des lecteurs
- Trois prestigieuses protestations Chronique
- La guerre des idées Par Anne Cazal
- Au Grand Chancelier de la Légion d'Honneur Par Anne Cazal.


 

Interrogé sur son exclusion, Collin ne s'en étonne pas et rappelle le discours qu'il avait prononcé devant la stèle de l'Adimad à Marignane après avoir reçu sa décoration d'un ex-membre de l'OAS : «J'avais dédié ma croix de chevalier à tous les combattants de l'OAS qui sont morts les armes à la main ou ont été fusillés par le plus grand traître de l'histoire de France, le général de Gaulle. Et j'avais ajouté: "Ce sont eux, aujourd'hui, qui devraient être honorés à ma place !" » Jean-François Colin avait conclu en disant qu'il n'arborerait jamais cette croix tant qu'il y aurait « un gaulliste ou un ami du FLN à l'Elysée» : autant dire qu'avec François Hollande, il n'était pas près de la porter...
Voici la version de cette affaire la plus proche des faits. Où l'avez-vous lue? Presque nulle part. En dehors de la presse patriotique, aucun grand titre n'a expliqué les raisons de cette exclusion scandaleuse. En revanche, dans des organes plus militants on a pu lire :

« Ce septuagénaire est un sinistre in­dividu, ancien membre de l'OAS qui a commis de nombreux crimes en Algérie entre 1961 et 1962.»

Autre exemple : début janvier 2013, Isa­belle Gougenheim, directrice de l'Etablissement cinématographique des Armées, a été débarquée. Que lui reproche-t-on? Le nouveau ministre n'aime pas les films honnêtes qu'elle a produits sur les Harkis ou sur les femmes dans la guerre d'Algérie.

Des médias qui nous maltraitent

Les cas de Jean-François Collin et de Isa­belle Gougenheim sont exemplaires du traitement partial et partiel de tout ce qui touche à l'histoire de France en général et à la guerre d'Algérie en particulier. Ce traitement inique atteint son paroxysme dans le média qui touche le plus grand nombre de Français : la télévision.

À une époque où la télévision est devenue la principale source d'information de nos compatriotes, on paye chaque jour le fait de ne pas avoir un canal qui rétablisse l'équilibre, redonne la priorité à notre histoire, renforce notre identité.


Une nouvelle télé pour libérer nos écrans et nos esprits


La bonne nouvelle de ce début d'année est que cette télévision « à nous » est en route. Grâce à une révolution technologique venue des Etats-Unis, il est désormais bien plus facile et moins onéreux de créer une télévision tout en échappant au carcan administratif français.

Cette télévision en cours de lancement s'appelle «Notre antenne». Il s'agit d'un projet collectif rassemblant les différentes familles de pensée attachées à la défense de la France et de notre civilisation.
Des hommes aussi différents que Jean Raspail, François Bluche, Renaud Camus, Christian Millau, Roger Holeindre, Pierre Descaves, Yvan Blot ou Jean-Yves Le Gallou ont mis leurs énergies en commun pour que cette télé voie le jour en 2013.

Pour réussir, le projet a besoin du soutien de tous les patriotes.

Afin d'apporter sa pierre à l'édifice, il suffit d'appeler le 0661029923 pour recevoir un dossier complet sur cette extraordinaire aventure collective qui va marquer l'année 2013. ■

Notre antenne 4 rue des Moulins 35600 Redon projetnotreantenne@gmail.com - tel : 06.61.02.99. 23


IN La lettre de VERITAS N° 165 JANVIER FEVRIER 2013.


ADHESION ET ABONNEMENT :
ABONNEMENT à « LA LETTRE DE VERITAS » : 24 €
ADHESION : Simple : 16 € □ - Soutien : 26 € et + □ - Bienfaiteur 46 € et
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Merci d'effectuer votre règlement avant la fin mars 2013.
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