Les
outrances et les dérapages du président algérien
Bouteflika sont devenus sans limite.
A ces outrances, le président Bouteflika allie désormais
le cynisme le plus absolu qui le conduit, après avoir
insulté une nouvelle fois notre pays, à goûter
aux bienfaits de sa médecine et qui plus est de sa
médecine militaire au Val de Grâce.
La France ne peut accepter sans réagir cette situation
et doit exiger des excuses de celui qui tient depuis plus
de deux ans maintenant un discours de haine.
Le président Chirac doit clairement prendre conscience
du fait que le traité d’amitié franco-algérien
n’a désormais plus aucun sens.
Cet acte fondamental entre les deux pays ne pourra intervenir
que lorsque les partisans de la revanche auront cédé,
à Alger, la place et que l’Algérie aura
également reconnu sa part d’ombre avec le massacre
des Harkis et des Pieds-Noirs.
Thierry Rolando Président national
Association culturelle des Français d’Afrique
du Nord
B.P. 213 – 11102 Narbonne Cedex