L'employé de bureau Bernard Émié sous les instructions des deux falsos François le normal (FLN) et du repentant Jean Marc Todeschini remet les archives des Français d'Algérie au FLN, les réunions se poursuivent à Alger.
Le cercle Algérianiste devant l'incapacité de Jean Marc Todeschini à tenir son portefeuille et son profond mépris pour les PN  mépris partagé par nous contre cet incapable, cette association de Français d'Algérie expédie un courrier à Valls

 
     
 

Monsieur le Premier ministre,

Perpignan le 8 juillet 2016

Monsieur Manuel VALLS Premier ministre Hôtel Matignon 57 Rue de Varenne 75007 PARIS

La France, dans le cadre de sa politique de dialogue avec l’Algérie, vient de remettre à l’État algérien, une partie des archives couvrant la période de la guerre d’Algérie, qu’elle détenait.
Ce ne sont pas moins, semble-t-il, de vingt-deux volumes de documents diplomatiques français, partie intégrante de l’Histoire de France et des Français d’Algérie, dont s’est ainsi dépossédé notre pays.

Aucune information n’a été cependant donnée, sur le contenu réel de ces archives, dont la restitution peut porter préjudice, tant aux soldats de l’armée française, qu’aux Français d’Algérie et aux Harkis, quand on connaît l’attitude revancharde de nombre de dirigeants algériens.

Quelles garanties, Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous apporter aux citoyens français sur ce point ?

Cette démarche de la France nous amène également à vous poser officiellement la question de savoir, ce qu’au titre de la réciprocité, s’est engagé à restituer le gouvernement algérien, comme archives?

En effet, voilà plus de cinquante-quatre ans qu’un tiers des actes de l’état civil des Français d’Algérie attend toujours d’être microfilmé, alors même que ces documents appartiennent au patrimoine affectif et familial des Français d’Algérie.

La France a-t-elle cédé une nouvelle fois aux exigences du gouvernement algérien, en sacrifiant les intérêts des populations européennes d’Algérie qui attendent, pour pouvoir reconstituer leur histoire, leur parcours professionnel et tout simplement leur vie, que le gouvernement algérien veuille bien restituer ce qui leur appartient ?

C’est à toutes ces questions, Monsieur le Premier ministre, que nous aimerions obtenir un certain nombre de réponses, car la politique de dialogue que vous entendez mener avec l’Algérie ne peut se faire dans l’opacité, au détriment des Français d’Algérie.

De même, il nous semble indispensable que vous puissiez nous éclairer sur les résultats de vos négociations, pour permettre enfin que le sort de milliers de disparus européens enlevés et assassinés par le FLN, ne soit pas laissé dans l’ombre pour céder au politiquement correct.

Cela doit être une exigence du gouvernement français, car la vérité historique doit concerner tous les drames et toutes les souffrances.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Premier ministre, l’expression de ma considération.

Thierry Rolando

Président national du Cercle algérianiste

 

Remise de documents de 1954-1962 aux Archives algériennes

L’ambassadeur Bernard EMIE, haut représentant de la République française en Algérie, a remis, le 21 juin 2016 , à M. Abdelmajid Chikhi, directeur des Archives nationales d’Algérie, vingt-deux volumes de copies de documents diplomatiques français couvrant la période de 1954 à 1962.

Ces doubles mettent en perspective des événements qui se sont déroulés pendant la guerre d’Algérie et se rapportent aux développements de la politique étrangère de la France à cette époque.

Cette remise s’inscrit dans le cadre du dialogue apaisé et confiant engagé avec l’Algérie sur la question des Archives, dialogue initié à la suite de la visite d’Etat du Président de la République François Hollande en Algérie en décembre 2012.

Un groupe de travail bilatéral a en effet été mis en place et s’est déjà réuni à six reprises sous la coprésidence des deux directeurs nationaux des archives en France et en Algérie. Une prochaine session de travail est prévue du 19 au 21 juillet en Algérie.

ambassadeur de France en Algérie Bernard Émié son nom restera entaché par sa repentance permanente tout d'abord à Sétif et depuis plusieurs mois avec les réunions pour la remise des archives qui appartiennent aux Français d'Algérie, il est aussi honteux que Christine Albanel, deux falsos.