Le Cercle Algérianiste appelle au respect de la loi du 23 février 2005 et met en garde le Gouvernement contre une mise à l’écart des Pieds Noirs et des Harkis.

 
     
     
 



 
     
     
 
La loi du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation en faveur des Français d’Algérie rapatriés a été adoptée par le Parlement et
l’abrogation de son article 4 a été rejetée, le 29 novembre dernier, par l’Assemblée Nationale.
Selon un sondage CSA, 64 % des Français approuvent, en outre, l’intégration des aspects positifs de la colonisation dans l’enseignement.
Aujourd’hui, sous la pression de lobbys extrémistes et de certains universitaires idéologues qui prônent une vision hémiplégique de l’histoire, l’abrogation de la loi du 23 février 2005 est réclamée.
Le Président de la République vient, en partie, de faire droit à cette exigence en confiant au Président de l’Assemblée Nationale, Jean-Louis DEBRÉ, une mission d’information pluraliste pour arrêter l’avenir de cette loi.
La Fédération Nationale des Cercles Algérianistes s’étonne que la loi ne se fasse plus au Parlement mais qu’elle soit soumise à la pression de minorités qui défendent une approche communautariste de l’histoire.
Elle met en garde, enfin, le Gouvernement contre la tentation de mettre à l’écart du débat et des consultations à venir la communauté Pied Noir et Harkie pour plaire aux tenants du politiquement correct..


Thierry ROLANDO
Président National
du Cercle Algérianiste