Parti socialiste français va engager vaste
campagne contre la loi des Rapatriés du 23 février
2005
La vice-présidente de l’Assemblée
nationale française, Hélène Mignon
du parti socialiste français est pour abroger la loi du
23 février 2005 et indique que son parti engagera une vaste
campagne pour son abrogation, et en particulier sur notamment
l’article incriminé «Les programmes scolaires
reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence
française outre-mer, notamment en Afrique du Nord, et accordent
à l'histoire et aux sacrifices des combattants et aux sacrifices
des combattants de l'armée française issus de ces
territoires la place éminente à laquelle ils ont
droit.»
Les parlementaires de gauche et d"extrême gauche ont
été nombreux à dénoncer la loi . Citons
le sénateur du Parti communiste français (PCF) du
Rhône et vice-président du Sénat, Guy Fischer,
qui a indiqué que son groupe préparait une proposition
de loi visant à supprimer l’article contesté
et à «interdire toute apologie des crimes de l’OAS».
Dans les contestataires habituels et professionnels plusieurs
associations et syndicats français, dont la Ligue des droits
de l’Homme, le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié
des peuples, la Fédération des syndicats unitaires
(FSU), l’association des amis de Max Marchand et de ses
compagnons, ainsi que le président de la région
Provence-Alpes-Côte d’Azur, Michel Vauzelle,
le collectif des historiens contre la loi du 23 février
2005 et plusieurs organisations syndicales ont condamné
la loi du 23 février 2005.