Les registres d’État Civil, que ce soit ceux des mairies ou ceux des greffes des tribunaux, sont tous restés en Algérie. Il eût pourtant été facile de procéder à un partage. Soit.
Suite à des accords conclus entre l’État français et l’État algérien, le prêt à la France des registres des greffes des tribunaux a permis, dans les années 70 , un microfilmage des trois cinquièmes de ces registres.
Ces microfilms se trouvent à Nantes, ce qui nous permet de nous adresser au Ministère des Affaires étrangères lorsque nous voulons obtenir des actes d’ État Civil.
Malheureusement, les registres en question ayant regagné l’Algérie avant achèvement du travail, les deux autres cinquièmes de ces registres n’ont pu être microfilmés. |