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Un
Harki est installé depuis le 17 février 2006 devant
le siège du Parti socialiste à Paris il demande "des
sanctions" à l'encontre de Georges Frêche, auteur
de propos mettant en cause des membres de cette communauté
de Rapatriés d'Algérie.
Avec deux ou trois autres compagnons qui mènent avec lui
"une grève de la faim", Abdelkrim
Klech, président du "Collectif Justice pour les harkis
et leurs familles", refuse de se contenter de la décision
du PS, qui fait semblant de suspendre le président de la
région Languedoc-Roussillon de ses instances nationales.
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