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Une information judiciaire est ouverte le jeudi 2 mars 2006 à l'encontre du président PS de la région Languedoc-Roussillon pour "injures à caractère racial". Il avait traité des harkis de "sous-hommes". Le PS est au 1er rang des insulteurs contre la communauté des Harkis et Rapatriés d'Algérie et devient complice en saississant une obscure Commission des conflits pour un bel enterrement de cette affaire
 
 

- (1) C'est le PS avec Jean Marc Eyrault qui avait dirigé la manoeuvre contre l'art.4.à la grande joie du parti FLN en Algérie.
- (2) Le PS c'est bien le parti politique qui est contre les Harkis et les Rapatriés d'Algérie , François Hollande, envisage de se rendre en Algérie avant l'été. L'affaire Frêche à propos des Harkis, étant sans doute une raison supplémentaire d'accomplir un tel "geste" précise un proche du premier secrétaire. La date du voyage n'est pas encore fixée sans doute pour partager les thèses de l'Algérie sur les Harkis comme Georges Frêche.


Le procureur général de Montpellier a demandé jeudi 2 mars 2006 l'ouverture d'une information judiciaire pour "injures à caractère racial" à l'encontre du président PS de la région Languedoc-Roussillon Georges Frêche, a-t-on appris de source judiciaire.
Cette information judiciaire "sera ouverte le jeudi 2 mars 2006 et un juge d'instruction désigné probablement vendredi matin", a précisé le procureur de la République, Jean Philippe. "Nous avons reçu une plainte d'un harki et le parquet a pris l'initiative d'engager des poursuites", a-t-il encore indiqué.


"Epaules larges"


Georges Frêche avait indiqué mercredi 1 mars 2006 à Montpellier qu'il avait "les épaules larges" et qu'il ne se sentait pas "ébranlé" par les attaques dont il est l'objet, après avoir traité des harkis de "sous-hommes".
"Pour me taper dessus, il y en a (des personnes, ndlr), surtout pour des raisons politiques", a-t-il commenté, ajoutant: "il me faut plus que cela pour m'ébranler (...), j'ai les épaules larges".
"J'ai toujours été scandaleux car je dis la vérité", a-t-il poursuivi, jugeant par ailleurs qu'il "n'y a plus de liberté de la presse" et que les journalistes sont, pour beaucoup, "sympathiques" mais "aux ordres".


Hollande fait semblant de licencier Georges Frêche en saississant une obscure Commission des conflits pour un bel enterrement de l'affaire


Georges Frêche intervenait mercredi 1er mars 2006 en tant que président de Montpellier Agglomération.
Le premier secrétaire du PS, François Hollande complice de Georges Frêche fait semblant de suspendre Georges Frêche des instances nationales du Parti socialiste il a aussi déclaré qu'il saisissait la commission nationale des conflits, seule habilitée à prendre des sanctions à son égard.
Georges Frêche a considéré mardi 28 février 2006 qu'il n'était pas suspendu des instances nationales du PS mais indiqué que simplement, il n'irait pas aux réunions du bureau national jusqu'à ce que la commission des conflits du parti statue sur son cas.