le 26 octobre 2016 Christophe Castaner signe pour une proposition de loi relative à la reconnaissance du massacre des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris, repentant comme Emmanuel macron il refuse de signer tous les propositions de lois pour les victimes françaises en Algérie http://www.babelouedstory.com/thema_les/disparus/2081/2081.html Anne Laurence Petel approuve propos de Macron sur le génocide de la France en Algérie refuse de signer tous les propositions de lois en faveur des victimes françaises en Algérie approuve la reconnaissance de la responsabilité de l'état dans la mort du traître Maurice Audin refuse d'assister à Aix en Provence aux cérémonies en mémoire des victimes Françaises du 26 mars 1962 à Alger et 5 juillet 1962 à Oran approuve propos Macron compare «la guerre d’Algérie» à la Shoah

 

Aix-en-Provence, dernier espoir de LREM

Dans les instances dirigeantes du parti présidentiel, les regards sont braqués vers Aix-en-Provence qui représente éventuellement une des rares conquêtes possibles pour LREM, alors que ses chances de victoire pour ces municipales sont plus que maigres sur le plan national.
Rien n’est joué toutefois. La députée LREM Anne-Laurence Petel n’est arrivée qu’en seconde position lors du premier tour, avec 20,45 % des voix.


Les Français d’Algérie recommandent de voter contre Anne Laurence Petel , qui n'a de cesse de  faire acte de repentance vers l’Algérie , refus de voter toutes les propositions de loi pour les victimes Françaises du FLN, refuse depuis 2017 d’assister à Aix en Provence aux cérémonies pour les victimes du 26 mars 1962 à Alger et 5 juillet 1962 à Oran.

La parlementaire est venue fragiliser, sans forcément faire vaciller, la maire sortante LR Maryse Joissains-Masini, qui est arrivée en tête avec 30,28 % des voix. Un troisième challenger, en la personne de Marc Pena, candidat DVG, s’est de son côté qualifié pour le second tour avec 15,88 % des voix.
Des alliances ont bien tenté d’aboutir pour contrer la toute-puissance de Maryse Joissains, notamment entre Anne-Laurence Petel et son suppléant l’Assemblée nationale, le candidat EELV Dominique Sassoon qui l'a fait cocue en se présentant contre elle , arrivé en quatrième position. En vain. « Mon suppléant était ouvert à cette fusion, mais pas les cadres nationaux du parti LREM étaient contre cette alliance de cocus, soupire la députée. Je regrette cette attitude. »

 
 
 
   
             
 

Quand Castaner lâche la police


Après s'être mis à dos les policiers et les gendarmes, le ministre de l'Intérieur est sous le feu des critiques de ses troupes, avec qui la confiance est rompue.
La proposition a fait bondir au sein même du ministère de l'Intérieur et à l'Élysée. Nous sommes le mardi 9 juin 2020. Au lendemain de sa conférence de presse ayant scellé son divorce avec la police et la gendarmerie, qu'il a sermonnées en les accusant maladroitement de présomption de racisme, le chez  Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFM TV. il est prêt à mettre un genou à terre, Il est censé signifier une demande d'excuse pour les Noirs tués par des policiers blancs. Le ministre n'hésite pas : « Je crois que la politique est faite de symbole. Et si ce symbole-là était utile pour vaincre le racisme, je serais parfaitement à l'aise de le faire. » Une fois encore, sa phrase ne passera pas dans les rangs des policiers et des gendarmes « Peut-être a-t-il répondu un peu vite, sans doute sensible à l'émotion provoquée par la mort de George Floyd », réagit sans trop y croire un préfet. Sauf qu'en réalité, Christophe Castaner a réellement envisagé de poser un tel acte, et pas n'importe comment. Le “premier flic de France” a évoqué ouvertement son souhait d'organiser une mise en scène dans la cour de l'hôtel de Beauvau, au cours de laquelle des policiers et des gendarmes, sur la base du volontariat, viendraient pour s'agenouiller avec lui, en immortalisant l'événement sur les réseaux sociaux. Abasourdis, plusieurs hauts fonctionnaires n'ont su que répondre face à « une mise en scène grotesque et humiliante ». Puis, nous l'avons appris, le même Christophe Castaner a évoqué son projet à l'Élysée, en provoquant le même malaise. « Comment “Casta” a-t-il pu imaginer s'agenouiller devant le ministère de l'Intérieur avec des policiers et des gendarmes ?
C'est de la folie ! », peste un proche d'Emmanuel Macron.

     
   
 
   
 
 
             
 

La candidate LREM Anne Laurence Petel qui est aussi député vote la loi Avia  des atteintes à la liberté d’expression et de communication «qui ne sont pas adaptées, nécessaires et proportionnées »cela promet pour les libertés à Aix – en -Provence

 
 

Atteinte à la liberté d’expression
– Le Conseil constitutionnel
censure la loi Avia –

C’est une gifle magistrale que viennent d’infliger les Sages de la rue de Montpensier aux petits censeurs et apprentis dictateurs LREM et supplétifs. Loin de céder à la pression ambiante et à cette espèce d’hystérie « antiraciste », le Conseil constitutionnel a en effet censuré jeudi 18 juin 2020 la fameuse loi Avia qui, sous couvert de lutte contre les « propos haineux » sur internet, menaçait de réduire à néant la liberté d’expression.


Laetitia Avia, la députée LREM à l’origine de cette proposition de loi stalinienne, qui s’est illustrée en mordant à l’épaule un chauffeur de taxi en 2017 et fait elle-même l’objet d’accusations de racisme, de sexisme, d’homophobie et de harcèlement au travail de la part d’anciens collaborateurs, ne décolère plus.

 


Pensez : alors que cette enragée de lutte « antiraciste » voyait déjà tous les adversaires du système, à commencer par ceux de la droite nationale, subitement privés de parole, sa proposition de loi a, dès son article 1, été jugée non conforme à la Constitution par les Sages, ce qui a infligé un coup d’arrêt à l’ensemble du texte !
Dénonçant la procédure prévue par ce premier article, qui détaille la manière dont les plateformes doivent retirer d’une part les contenus illégaux (apologies du terrorisme et de la pédopornographie) et d’autre part ceux « à caractère haineux ou sexuel », le Conseil a en effet réaffirmé que la Constitution « permet au législateur de réprimer les abus » de la liberté d’expression, en soulignant que cette atteinte doit se faire de manière « adaptée, nécessaire et proportionnée » aux objectifs poursuivis.


« Le gouvernement se heurte à l’Etat de droit »
Une obligation que ne respectait pas la loi Avia.


Notamment en ce qui concerne les contenus dits « haineux ou à caractère sexuel » mis en ligne : en imposant le retrait du contenu par l’opérateur « dès lors qu’une personne lui a signalé un contenu illicite en précisant son identité, la localisation de ce contenu et les motifs légaux pour lesquels il est manifestement illicite », cette proposition de loi, ont en effet estimé les Sages, « n’est pas subordonnée à l’intervention préalable d’un juge ni soumise à aucune autre condition ».

Ainsi, ont-ils observé, appartient-il « à l’opérateur d’examiner tous les contenus qui lui sont signalés, aussi nombreux soient-ils, afin de ne pas risquer d’être sanctionné pénalement ».


Une disposition non conforme à la Constitution, dont le Conseil a jugé qu’elle aboutirait, en l’état actuel de la loi, à des retraits de contenus « a priori », « injustifiés », et donc à une « atteinte » disproportionnée à la liberté d’expression.