Elections municipales 2014 tout sauf Nicolas Dupont-Aignan

 
 

Nicolas Dupont-Aignan, est né à Paris , son grand-père a été l’un des premiers aviateurs lors de la Grande Guerre. Son père, chasseur-alpin, a été prisonnier et s’est évadé pendant la Seconde Guerre Mondiale. C’est cet héritage qui a fait naître chez lui une certaine idée de la France il prend fait et cause pour le candidat du gaullisme social : Jacques Chaban-Delmas.
Cette passion pour le félon de de Gaulle ne l’a jamais quitté jusqu'a poser une question écrite au gouvernement contre les français d'Algerie.

Le 26 mars 2010, à 14 h 30, heure précise du déclenchement du massacre de la rue d’Isly (26 mars 1962), avait lieu une cérémonie – due à l’opiniâtreté de Nicole Ferrandis – au monument aux du quai Branly de Paris,où sont inscrits quelques noms des victimes de cette fusillade.
Cette cérémonie suscite la haine de l’Algérie, de la FNACA, du PC, du parti Socialiste, de tous les ex-porteurs de valise, et des Gaullistes complices et parmi eux, Nicolas Dupont-Aignan.

     
 
     

La question écrite de Nicolas Dupont-Aignan


« M. Nicolas Dupont-Aignan appelle l’attention de M. le secrétaire d’État à la défense et aux anciens combattants sur l’émotion suscitée par l’initiative gouvernementale de faire inscrire les noms des victimes civiles du drame de la rue d’Isly à Alger du 26 mars 1962, sur la colonne centrale du mémorial national de la guerre d’Algérie, quai Branly à Paris........../........... Inscrire les noms des victimes de la rue d’Isly serait considéré comme une insulte à l’armée française restée loyale aux institutions républicaines.
Il rappelle que son prédécesseur, lui-même, avait évoqué la fusillade du 26 mars 1962 en insistant sur le fait qu’il s’agissait d’une manifestation interdite, organisée à l’initiative de l’OAS. C’est pourquoi il lui demande de bien vouloir reconsidérer la pose de cette plaque sur le monument commémoratif du quai Branly.»


 

Texte de la réponse
Dès son inauguration le 5 décembre 2002 par le Président de la République, le mémorial national de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie a été dédié aux combattants morts pour la France et aux supplétifs tués après le cessez-le-feu. Le décret n° 2003-925 du 26 septembre 2003 a institué une journée nationale d'hommage aux « morts pour la France » pendant ces conflits, le 5 décembre de chaque année.

La loi n° 2005-158 du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés associe à cet hommage les personnes disparues et les populations civiles victimes de massacres ou d'exactions commis durant la guerre d'Algérie et après le 19 mars 1962 en violation des accords d'Évian, ainsi que les victimes civiles des combats du Maroc et de la Tunisie. La plaque alors apposée à côté de la colonne bleue du mémorial rappelle la volonté du législateur.
La décision prise par le secrétaire d'État à la défense et aux anciens combattants consiste à ce que les noms des civils français, victimes innocentes de la guerre d'Algérie, puissent être affichés sur le monument au lieu de faire l'objet d'une seule mention collective sur cette plaque. Pour qu'elles ne soient pas confondues avec les combattants morts pour la France, leurs noms apparaîtront sur la colonne blanche du monument, les colonnes bleue et rouge restant, comme aujourd'hui, dédiées aux morts pour la France.
La dédicace du mémorial, qui défile sur la colonne blanche, a été complétée en ce sens. L'inscription de noms de victimes civiles innocentes se fera sur demande des familles ou d'associations représentatives, et après instruction par mes services qui s'assureront qu'elles n'étaient des activistes ni du FLN, ni de l'OAS.
C'est dans ce cadre que les noms des victimes de la manifestation qui s'est déroulée le 26 mars 1962 dans la rue d'Isly à Alger ont été inscrits sur la colonne centrale du mémorial.
S'il ne fait aucun doute que ces manifestants algérois ont été manipulés dans le contexte très particulier des événements du moment, les recherches effectuées ont permis d'établir que ces victimes étaient simplement des personnes défilant selon leurs convictions et dans le cadre d'une manifestation qui a tourné à la tragédie.

Près de cinquante ans après, il apparaît utile au travail de réconciliation des mémoires d'écrire les noms des victimes civiles innocentes aux côtés de ceux des morts pour la France, sans mélange ni confusion, afin de parfaire la vocation du mémorial et de répondre pleinement à l'intention du législateur. Cette démarche permettra ainsi de préparer le rendez-vous mémoriel de 2012, pour le 50e anniversaire de la fin de la guerre d'Algérie.
 
Un vote pour Nicolas Dupont-Aignan c'est un vote pour le félon de Gaulle
Le 1er mai 2010 les journaux du FLN en Algérie, le PCF , la FNACA, la LDH, l'ARAC et les associations d' extrême gauche , font la même demande que Nicolas Dupont-Aignan, le refus la suite de la décision du gouvernement français de mettre à la disposition d’associations de Français d'Algérie de la colonne centrale du Mémorial national des Morts pour la France en AFN, quai Branly à Paris pour y faire défiler les noms des victimes civiles participant à une manifestation pacifique à Alger, et qui s'était terminée par une fusillade et 82 morts.
Sans doute Nicolas Dupont-Aignan et toute cette clique ils demandent l'inscription de " toutes les victimes de la guerre d’indépendance de l’Algérie" sur le monument du quai Branly.
- Extraits des articles de journaux - " L’État doit se ressaisir, se détourner de la voie du déshonneur, revenir à ses fondamentaux républicains pour redevenir une référence, en particulier à l’égard des collectivités territoriales : " il doit mettre un terme au désordre mémoriel, à la transgression de la vérité historique et à la division entre Français."
La lettre conclut :" Dans cette perspective, les organisations soussignées exigent que cessent au plus vite toutes les initiatives - nationales et locales - d’inspiration révisionniste, non seulement parce qu’elles interviennent au mépris du droit et affaiblissent le crédit de nos institutions, mais aussi parce que, deux ans avant le grand rendez-vous du cinquantenaire de la fin de la guerre d’Algérie, elles nuisent à la réconciliation des mémoires ainsi qu’à l’apaisement des rapports entre la France et l’Algérie.
Dans un premier temps, le Mémorial national du quai Branly doit retrouver sa vocation d’origine et être remis en l’état où il se trouvait antérieurement à mars 2010
."
   

De retrouver Dominique Jamet dans ce brouhaha du parti politique Debout la République et une chose qui nous attriste, Il en est élu vice-président le 16 novembre 2013.
Il sera à la tête de la liste présentée par ce parti aux élections européennes en Ile-de-France en 2014. Nous le remercions pour son attention constante pour les Français d'Algérie. Mais se marier avec un Falso comme Nicolas Dupont-Aignan avec son attitude ignoble contre les victimes Françaises d'Algérie est regrettable.