Les deux candidats aux législatives 2017 sur la 6è circonscription  du Rhône qui défendent le bilan de François Hollande.
Bruno Bonnell militant du parti nauséabond La République En Marche !
Pour un Macron secrétaire général adjoint de l'Elysée, et puis ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique.
Najat Vallaud-Belkacem, elle est ministre de 2012 à 2017 dans les divers gouvernements de François Le Normal (FLN)

             
 

Bruno Bonnell

 




Najat Vallaud-Belkacem
 

A Villeurbanne, bastion socialiste du Rhône depuis plusieurs décennies, La République en Marche (LREM) vient perturber une élection législative qui semblait devoir bénéficier à Najat Vallaud-Belkacem, la permanente de François Hollande.

La nauséabonde Najat Vallaud-Belkacem & le renégat PN Bruno Bonnell qui reste présent à Toulon pendant les propos d’Emanuel Macron  le 18 février 2017 sans quitter l’estrade.


Rappel des propos Toulon de Macron : - "Je vous ai compris ": Emmanuel Macron a paraphrasé samedi la célèbre phrase du général de Gaulle pendant la guerre d'Algérie pour répondre à la polémique sur ses propos sur la colonisation "crime contre l'humanité", reconnaissant "avoir blessé" de nombreux pieds-noirs.

" Donc je le dis aujourd'hui, à chacun et chacune dans vos conditions, dans vos histoires, dans vos traumatismes, parce que je veux être président, je vous ai compris et je vous aime.  Parce que la République, elle doit aimer chacun! ", A lancé le candidat d'En marche! À la fin de son meeting à Toulon, où il a tenté de clore la polémique.

S'adressant aux rapatriés d'Algérie et aux anciens combattant et victimes de la guerre (1954-1962), M. Macron les a appelés "à ne pas céder à la haine ".
"Cette haine, ce ressentiment que vous pouviez avoir, cette peur et cette frustration, on l'a vu dehors, par les  marchands de la haine les PN qui se trouvent dehors et qui manifestent ", a lancé M. Macron, dont le meeting a été perturbé par une manifestation de pieds-noirs

Début juin 1958, le général de Gaulle, tout juste revenu au pouvoir, avait lancé un retentissant " je vous ai compris " à Alger, dans un discours où il tentait de s'adresser aux militaires français et aux civils pieds-noirs en pleine guerre d'Algérie.

Dans une longue tirade de plusieurs minutes, chargée d'émotion mais surtout très confuse, M. Macron a de nouveau refusé de " revenir" sur ses propos ou de s'excuser ". Mais au lieu de " crimes contre l'humanité ", il a cette fois parlé de "crimes contre l'humain".

"Je ne veux pas revenir sur les haines recuites, mais j'ai en même temps nommé les choses. On ne vous a dit, ou vous n'avez voulu entendre, qu'une partie de la chose". 
"J'ai dit en effet les responsabilités de la France quant à son passé, pas simplement en Algérie, quant à notre passé colonial ". "Et on doit le regarder en face ce passé colonial, et oui, c'est un passé dans lequel il y a des crimes contre l'humain", a-t-il dit.

A l'appel des principales associations de Français d’Algérie, quelque 250 personnes se sont rassemblées près du Zénith de Toulon, aux cris de : « Macron trahison » « Bonnell renégat » .

     
   



MACRON : Les  marchands de la haine les PN qui se trouvent dehors et qui manifestent

 
     

Dans cette circonscription mitoyenne de Lyon, l'ancienne ministre pensait avoir trouvé une terre d'accueil sur mesure.

La députée socialiste sortante, Pascale Crozon, avait en effet décidé de ne pas se représenter et de la désigner comme son héritière. Et le maire de la commune, le socialiste Jean-Paul Bret, était prêt à accueillir à bras grands ouverts l'ex-élue lyonnaise en délicatesse avec le maire, Gérard Collomb.

Depuis près de deux ans, après une ascension fulgurante, l'ex-ministre de François Hollande prépare avec l'appui des socialistes locaux une élection d'abord considérée comme gagnée d'avance et désormais contrariée par la vague des falsos-macronistes
.
Sur cette lancée, LREM a lancé Bruno Bonnell, entrepreneur de 58 ans proche de Gérard Collomb et d'Emmanuel Macron.

Le doute s'installe pour la socialiste depuis la publication d'un sondage Ifop-Fiducial pour Lyon Capitale, Sud radio, et le JDD la donnant Najat Vallaud-Belkacem perdante.

Créditée de 19% au premier tour, elle améliore le score de Benoît Hamon mais arrive loin derrière Bruno Bonnell qui totalise 30% au premier tour et l'emporterait à 60% au second tour selon cette enquête.

Arpentant inlassablement les contours de cette circonscription de 150.000 habitants, Najat Vallaud-Belkacem, peste contre cette concurrence, alors que certains de ses collègues du gouvernement ont bénéficié d'un traitement plus clément avec l'absence de candidat nauséabond de " En Marche ! ".
" Il a été mis sous pression pour venir présenter sa candidature contre la mienne à Villeurbanne ", déplore-t-elle.

    Le chef d'entreprise, figure française de la filière robotique après avoir incarné celle du jeu vidéo, se plonge pour la première fois dans le bain politique.

UN CHEF D'ENTREPRISE ULTRA MACRONISTE

Séduit par la candidature d'Emmanuel Macron, il est très actif dans le département du Rhône, qu'il sillonne au volant d'une camionnette siglée à son effigie dont il a fait son QG mobile, habillé d'un T-shirt de La République en Marche.

"Je ne suis pas un homme politique, je suis un chef d'entreprise", se présente-t-il. " Après avoir fait la campagne présidentielle Macron, je ne voudrais pas qu'il lui manque un siège à l' Assemblée nationale et que ce soit celui-ci ".

Celui qui use des réseaux sociaux pour applaudir chaque pas du nouveau président, diffuse aussi sur YouTube de petites vidéos "maison" qui rappellent ses origines villeurbannaises.


" Rapatrié d'Algérie ( ?), je suis arrivé à Villeurbanne avec ma famille à l'âge de huit ans, j'y ai fait toute ma scolarité et mes études, j'y ai habité pendant de nombreuses années, et j'y ai créé quasiment toute mes entreprises", raconte-t-il.
Najat Vallaud-Bekacem, qui joue la carte du bilan de François Hollande et du PS se présente comme
" la candidate utile ".

"A l'Assemblée je défendrai les valeurs de la gauche, et le passif de François Le Normal (FLN) je soutiendrai ce qui va dans le bon sens dans le programme du gouvernement actuel, mais je saurai m'opposer à tout ce qui consiste à détricoter le droit social et les acquis sociaux", argumente-t-elle.

Elle a reçu la visite de Bernard Cazeneuve venu dire tout le bien qu'il pense de son ancienne collègue : " Une combattante, une militante, une femme engagée, qui, dans l'exercice de la responsabilité gouvernementale, a suscité mon admiration au cours des cinq dernières années ".

Il a aussi salué "le parcours personnel exceptionnel d'une jeune femme issue de ce qu'on appelle la diversité qui a connu les difficultés de la vie dans sa jeunesse"
.
A côté de ce duel, 19 candidats tentent de se faire une place dans cette campagne. Celui de La France insoumise, Laurent Legendre, ingénieur de 34 ans, espère accéder au second tour.
Pour les Républicains, Emmanuelle Haziza, avocate de 32 ans qui se présente pour la seconde fois aux législatives, a bien du mal à faire entendre sa voix.


Les candidats aux législatives 2017 sur la 6è circonscription  du Rhône.

1 - M. Mathieu GOUTTEFANGEAS           DVD
2 - M. Zair MEZIANI        DIV
3 - Mme Emmanuelle HAZIZA   LR
4 - M. François DE VERGNETTE DVG
5 - M. Stéphane PONCET             FN
6 - M. Bruno BONNELL REM (A DEGAGER IMPERATIVENT)
7 - M. Grégoire PRIVOLT              EXG
8 - M. Laurent LEGENDRE            FI
9 - Mme Camille CHAUCHAT      EXG
10 - M. Abdel-Hakim BATACHE                 DVG
11 - M. André DUBOIS DLF
12 - M. Hervé MOREL    DVD
13 - Mme Béatrice VESSILLER    ECO
14 - M. Mathieu SOARES             COM
15 - M. Paul RYCKAERT DIV
16 - M. Christophe INIESTA        DIV
17 - Mme Najat VALLAUD-BELKACEM   SOC (A DEGAGER IMPERATIVEMENT)
18 - M. Christian DADAT               DIV
19 - Mme Claire LAINEZ                EXG

     

La suppléante de Bruno Bonnel le PN renégat


Qui est Chafia Tifra  une socialiste élue à la Mairie de Villeurbanne


Pour le Maire Jean-Paul Bret  maire (PS) de Villeurbanne  vante ainsi l'une de ses colistières, Chafia Tifra (38 ans), ingénieure d'étude rencontrée par le biais d'une association valorisant la culture berbère. La candidate, qui assure ne pas être venue « pour faire du cosmétique », est une ancienne fonctionnaire européenne.

Elle a rejoint le PS lors de la dernière présidentielle et François Le Normal (FLN). « J'ai accepté ensuite d'être sur les listes, parce que je pense que le maire va poser des actes permettant d'atteindre un rééquilibrage vers plus de mixité, dit-elle. Dans ce contexte, ma candidature n'est pas personnelle. Elle doit participer à banaliser la diversité.»


"Je suis née à St Etienne le 18/05/69, fille d'un mineur de fond et d'une mère au foyer.

Mes parents sont nés en Algérie mais se sont mariés en France en 1964.
Mon père est mort il est arrivé en France alors que l'Algérie était Française.


J'ai grandi à Saint-Etienne jusqu'en 1992 Au milieu d'une fratrie de 7 enfants : 2 garçons et 5 filles.
J'ai choisi une filière technique qui m'a conduite à une Maîtrise en Télécoms et Réseaux que j'ai obtenue à Saint-Etienne, puis un DESS Réseaux et Télécoms à Marseille.


J'ai débuté ma carrière dans une société de service à Lyon puis Aix-en-provence, puis j'ai occupé un poste d'ingénieur d'étude au CNRS sur le Campus de la Doua de 1996 à 2000.
J'ai ensuite passé quelques années en qualité de fonctionnaire internationale au Conseil de l'Europe à Strasbourg de 2000 à 2006


Je suis revenue à Villeurbanne en mars 2006 pour travailler dans une société privée belge (TELINDUS) en qualité de Chef de projet et ce jusqu'en 2017 après le rachat par SFR.

Mon engagement citoyen commence en 2006. Je me suis impliquée dans des associations pour ensuite m'engager auprès du maire actuel en qualité d'adjointe au Maire.
Le Maire m'avait confié en délégation Commerce, Jeunesse et Vie Universitaire.


J'ai donc été adjointe au Maire de 2008 à 2014 sur la liste du Parti Socialiste
Depuis 2014, je suis conseillère municipale et conseillère métropolitaine.