Anne Hidalgo (PS) candidate à la Mairie de Paris.
L’héritière désignée de Bertrand Delanoë elle est capable de se montrer "dure, voire brutale".
Son bilan ? "Quasi nul". En revanche, elle réussit le remplacement du maire après son agression par un déséquilibré.

Candidate aux élections municipales à Paris, 2014 Anne Hidalgo (PS), représentante de François Le Normal (FLN). Première adjointe au Maire de Paris, Bertrand Delanoë chargée de l’urbanisme et de l’architecture.
Une attitude constante contre les Français d'Algérie.
Vote en 2004 contre les Rapatriés d'Algérie avec une Place du 19 mars 1962 , vote pour un Algérien favorable au FLN Maurice Audin en 2004. Vote en 2006 pour pour une place Émir Abd-El Kader. Vote en 2007 pour le carrefour Jacques de Bollardière qui avait été le seul à condamner ouvertement la pratique de la torture pendant la guerre d’Algérie sans se soucier des victimes PN du FLN. Vote en 2011 pour une plaque pour les FLN victimes du 17 octobre 1961. Vote en 2011 pour une stèle au cimetière du Père-Lachaise
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« Place du 19 mars 1962 »
       
 
 

Bertrand Delanoë, maire de Paris, et Michèle Blumenthal, maire du 12e arrondissement, inauguraient le 20 avril 2004 la « Place du 19 mars 1962 », date anniversaire du cessez-le-feu en Algérie, à l'angle de l'avenue Daumesnil et de la rue Legraverend. Ce lieu a volontairement été choisi dans le 12e arrondissement, où se trouve la Gare de Lyon, d’où des milliers de jeunes français partirent pour rejoindre Marseille, lieu d’embarquement pour l’Algérie.
Un oubli volontaire des victimes civiles et militaires, et des Harkis de l' après cessez le feu.

     
 
 
     
Inauguration de la Place Maurice Audin
 
 

Inauguration Place Maurice Audin mercredi 26 mai 2004

Il est normal que le traître Delanoë honore des Français qui combattaient leur pays.
Pour lui  l’occasion d’un  baptême d’une place Paris au nom de Maurice Audin, il militait au Parti Communiste Algérien interdit et, comme le reconnaît Pierre Vidal-Naquet le 27 novembre 1997 dans L’Evènement du jeudi, il participa à des actions clandestines au cours de la bataille d’Alger. Il fut donc au même titre que les “porteurs de valises” coupable de trahison en temps de guerre, puisque guerre il y eut, et vraisemblablement responsable de la mort de militaires Français aux ordres d’un gouvernement démocratique. Un ennemi objectif de la France et glorifié  comme tel depuis longtemps par un autre pays, l’Algérie, qui lui consacrera, à ce titre, une place sur laquelle François Le Normal ira se prosterner le 19 décembre 2012

 
 
Inauguration de la Place de l' Émir Abdelkader
   

Inauguration Place Émir Abdelkader jeudi 17 Novembre 2006

Certains sont ou seront choqués par l’inauguration d’une place au nom de l’émir Abdelkader à Paris. C’est dans la grande tradition française de savoir reconnaître et d’honorer un adversaire de qualité. Dans cette cérémonie, seul le discours du Maire de Paris, « porteur de valises » dans l’âme, était choquant : « Quand j'honore l'Emir Abdelkader, je sais que j'honore un nationaliste qui s'est battu contre la France, qui n'acceptait pas la domination de son peuple par le peuple français. C'est aussi le sens de cette inauguration.(...) « Cette inauguration je la veux avec la gratitude d'un enfant du Maghreb, moi qui ai reçu du Maghreb des leçons de fraternité, d'égalité, maire de Paris je vous dis merci. C'est Paris qui dit merci à l'Emir Abdelkader, qui dit merci au peuple algérien, qui a subi la violence et l'injustice de la colonisation. (...) La colonisation a été d'une violence inouïe en Algérie, une action injuste. »

 
 
   
Inauguration carrefour Jacques de Bollardière
 
Un carrefour Jacques de Bollardière a été inauguré jeudi 29 novembre 2007 par
le maire de Paris. Cet officier supérieur français avait été le seul à condamner ouvertement la pratique de la torture pendant la guerre d’Algérie. A l’époque, sa prise de position publique lui avait valu soixante jours d’arrêt. Il écrit à ce sujet : « Je pense avec respect infini à ceux de mes frères, arabes ou français, qui sont morts comme le Christ, aux mains de leurs semblables, flagellés, défigurés par le mépris des hommes ». Par la suite rien pour les victimes Françaises de la torture du FLN après le cessez le feu du 19 mars 1962.
Inauguration plaque 17 octobre 1961 face à la préfecture de Police
     
Mercredi 17 octobre 2011 au matin Bertrand Delanoët inaugure une plaque dédiée aux "Algériens tués le 17 octobre 1961". Les vifs débats qui ont accompagné sa rédaction témoignent de la multiplicité des mémoires de la guerre d'Algérie. Le maire de Paris ne prononce aucun discours en inaugurant la plaque . Le lieu retenu témoigne déjà de la difficulté de l'exercice : l'objet sera scellé sur le pont Saint-Michel, non du côté du 5e arrondissement, dont le maire (RPR) est Jean Tiberi, mais dans le 4e, chez la socialiste Dominique Bertinotti. L'endroit, à l'angle du quai du Marché-Neuf, fait précisément face à la préfecture de police. "Nous ne sommes ni des historiens ni des procureurs", déclare-t-il. C'est donc entouré des seuls membres de l'exécutif parisien et d'élus des groupes socialistes, communistes qu'il inaugure la plaque. L'embarras du ministre M. Vaillant est sans doute lié à l'attitude des syndicats de policiers, qui voient d'un mauvais oeil l'hommage rendu aux victimes du 17 octobre 1961, en oubliant volontairement les policiers victimes du FLN.
" L'évocation d'une période particulièrement douloureuse de notre Histoire ne peut avoir pour conséquence que d'éloigner la police nationale des Français". Un autre syndicat de son côté, estime que le maire devrait
" faire de même pour tous les policiers (...) assassinés par les fellaghas.
 
 
     
Une stèle en hommage aux victimes de l'OAS
 
               
 


 

Maire de Paris, Bertrand Delanoë, un habitué de nos distinctions et sa comparse Anne Hildago

A son initiative, le Conseil de Paris a en effet décidé, de manière unanime, la pose d'une stèle en hommage aux victimes de l'OAS au cimetière du Père Lachaise à Paris le mercredi 5 octobre 2011.
Symboliquement, Bertrand Delanoë a tenu à ce que le vote des élus ait lieu le jour anniversaire de la manifestation de Charonne, le 8 février 1962.
Cette stèle qui comportera le texte suivant aura une surface de 2 mètres sur 0,30: « 1961-1962, en hommage à toutes les victimes de l'OAS en Algérie et en France.
Civils, militaires, magistrats, fonctionnaires, élus, défenseurs des institutions et des valeurs de la République ». Nul ne sera surpris d'apprendre que cette initiative lamentable aura été prise sous la pression d'une association groupusculaire, proche du parti communiste, l'ANPROMEVO, association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l'OAS, présidée par Jean-François Gavoury, fils

 

du commissaire anti-OAS du même nom.
Pour ces défenseurs de la liberté, il va de soi que ne saurait être érigée, au Père Lachaise, une stèle en hommage à tous les morts de la guerre d'Algérie.
Chacun se doute bien que le massacre de 100000 harkis et Pieds-Noirs après le 19 mars 1962 notamment, n'est bien évidemment, en rien, de la responsabilité du FLN.
C'est une vision de l'histoire que l'on pouvait imaginer révolue mais il faut bien reconnaître que la France abrite encore quelques-uns des derniers staliniens.

Les membres comité soutien d'Anne Hidalgo, candidate socialiste à la mairie de Paris
         
Le comité de soutien est un passage obligé d'une campagne politique. Il s'agit de montrer que tel ou tel candidat a des soutiens nombreux, appréciés du public, respectés. Le comité, à Anne Hildago la comparse de Bertrand Delanoë est dirigé par le mathématicien lauréat de la médaille Fields Cédric Villani compte de nombreux falsos . Il y a ceux dont l'engagement à gauche est connu, parfois de longue date : Jean-Pierre Bacri, ou encore... Julie Gayet, la concubine N° 3 .
Et puis il y a ceux dont la présence sur la liste peut surprendre.
On y croise notamment le chanteur Enrico Macias, qui soutenait le candidat UMP en 2007 et 2012, Nicolas Sarkozy. On y trouve aussi le couple Serge et Beate Klarsfeld, dont le fils Arno a été candidat UMP à Paris. On y trouve en fin Alexandre Adler, un autre soutien de Nicolas Sarkozy en 2007.
     

Enrico Macias