Edouard Baldo candidat PS aux élections municipales Aix - en Provence reçoit Aurélie Filippetti la copine de Benjamin Stora.

 
       

A l'occasion du centième anniversaire de naissance du regretté Albert Camus 7 novembre 2013, une exposition était  prévue à Aix-en-Provence pour lui rendre hommage,  puisque le fonds Camus s'y trouve entreposé.
Dans un premier temps Benjamin Stora comme commissaire politique de l’exposition, puis Michel Onfray..., puis autre chose.
Programmée en 2009, elle a été annulée au printemps 2012 puis remise sur le chantier au cours de l'été 2013.

 

Il y a bien longtemps qu'Albert Camus n'est plus traité comme « ce philosophe pour classes terminales » que la condescendance et la bêtise lui jetaient à la réputation, à la gloire. Il est devenu l'une des rares personnalités indiscutables de notre monde intellectuel et politique, de notre littérature, tant chez lui le coeur, l'esprit, le sens moral, le style, le génie, la compréhension de l'humain et la rectitude chaleureuse et argumentée des convictions ont su, en s'accordant, composer une oeuvre, nourrir une pratique de vie et apporter leurs lumières éclatantes à des débats fondamentaux historiques, politiques et philosophiques.
On ne l'a jamais vu ni entendu venir au soutien de la mort des autres et la manière exemplaire et lucide dont il a signé le recours en grâce pour Robert Brasillach fait partie de la légende de ces temps sombres et odieux où seuls une âme d'acier et un caractère d'exception pouvaient sauver de la peur, de la lâcheté ou de l'indifférence.
Le Commissaire politique initialement pressenti pour mener à bien cette entreprise de mémoire et de fidélité était Benjamin Stora qu'il n'est plus nécessaire de présenter, tant on le qualifie sans cesse, dans les médias, de «spécialiste de l'Algérie» alors qu'il n'est que celui «d'une vision d’extrême  gauche de l'Algérie française puis du FLN et de l'Algérie indépendante».

A l'évidence, pour Albert Camus et à Aix-en-Provence, il s'agissait d'un très mauvais choix.

D'ailleurs, Catherine Camus en a convenu puisqu'elle lui a retiré son crédit et qu'ainsi Michel Onfray a assumé un temps la relève.

Benjamin Stora, au lieu d'accepter cette mise à l'écart, s'est accroché et grâce à ses multiples soutiens politiques des socialistes d’Aix comme Edouard Baldo a fini par persuader que son départ constituait une faute de son remplacement.
D'autant plus que la ministre sectaire de la culture Aurélie Filippetti clairement laissé entendre dans le même  temps que l'aide financière de ses services serait annulée à cause de l'éviction de Benjamin Stora, ce qu'Onfray a justement dénoncé : « La subvention n'est donc pas pour le projet Camus mais pour un commissaire politique d'exposition Benjamin Stora ».

 

       
 

Edouard Baldo avec Aurélie Filippetti la contreversée ministre de la culture qui ne donne des subventions qu'a son ami Benjamin Stora pas pour l'exposition de notre regretté compatriote Albert Camus, une honte !

       

Les Français d’Algérie dans cette affaire.


La presse de l’oligarchie, donne beaucoup d’approximations en prétendant une pression des Français d’Algérie dans cette affaire.
Je me souviens avoir annoncé  l’exclusion de l’historien officiel de l’exposition Camus, au regretté président du CAR René Andrés le 12 mai 2012 à 16 heures, il n’était pas au courant, comme tous les Rapatriés d’Algérie malgré  la lettre d’information quotidienne qu’ils reçoivent.


Français d'Algérie ignorent l'existence d'un colloque sur Camus à Aix
avec comme commissaire politique benjamin stora


"Que Catherine Camus [fille et ayant-droit de l'écrivain] souhaite une exposition en hommage à son père, très bien. Mais qu'on ait pu choisir Benjamin Stora pour l'organiser, c'est une aberration", estime Jean-François Collin, s'exprimant, il y tient, "à titre personnel". Michel Onfray, qu'il n'a "pas lu encore", lui semble un "homme plus mesuré" et le choisir comme commissaire indique "un progrès très net", se félicite notre interlocuteur.

Président de l'Adimad, une association d'aide aux "anciens détenus de l'Algérie française" – c'est-à-dire, principalement, aux partisans de l'OAS, emprisonnés après la tentative de putsch en Algérie, au printemps 1961 –, Jean-François Collin assure n'avoir jamais été averti de ce projet d'exposition.
Pas plus que ne l'ont été les autres associations de pieds-noirs, qui ont leurs bureaux –- dans la Maison du Maréchal-Juin, inaugurée, en 1992, par le maire de l'époque, le socialiste Jean-François Picheral.

Cependant, ajoute le président de l'Adimad, "si jamais Maryse Joissains m'avait demandé mon avis, je lui aurai dit que Benjamin Stora, cet Israélite de Constantine, historien autoproclamé de la guerre d'Algérie et qui soutient les thèses du FLN, est vomi par la communauté des Français d'Algérie".


Les complices


" Les élus sont victimes du fantasme d'un vote communautaire. Et tous font le dos rond ", fulmine, à Paris, le falso-socialiste Georges Morin, lui-même natif d'Algérie et président de l'association Coup de soleil. " Le vote pied-noir n'existe pas", renchérit, à Marseille, un autre natif d'Algérie, l'historien Jean-Jacques Jordi, dont une Histoire des pieds-noirs (Armand Colin) doit être publiée cet automne.

" C'est grâce à la lecture de Camus, qui nous disait de ne pas écouter les voix de la haine, qu'on a tenu le coup. Il dénonçait l'iniquité du système colonial et, en même temps, il était des nôtres", se souvient Georges Morin, qui fut lycéen à Constantine, pendant la guerre d'Algérie. "

En virant Stora de l'exposition d'Aix, on vire ce Camus-là, avec ses doutes qui fâchent", assure-t-il.

Le falso - président de Coup de soleil a signé, à l'instar d'historiens, parmi lesquels Jim House, Mohammed Harbi un ancien fellagha qui se réfugie en France en 1965, pour fuir le FLN et Gilbert Meynier un historien d’extrême gauche, une motion de soutien à Benjamin Stora, dont l'éviction constitue, estiment-ils, "un acte grave de censure".

 
Quelques liens :
- Les députés (PS) du 13 votent en décembre 2013 une loi contre les Français d'Algérie et les Harkis. -
- Le député Jean Daviot Ciot PS d'Aix en provence vote une loi contre les Rapatriés d'Algérie et les Harkis -
- Le député jean David Ciot utilise sa réserve parlementaire pour une subvention d'une pièce de théâtre pro - FLN