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Nice - Pendant la cérémonie du souvenir des victimes et des disparus du 5 juillet 1962 à Oran l'assistance composé de Français d'Algérie ont comme un seul homme, tourné le dos au monument aux morts et aux représentants du Maire de Nice et de sa complice Agnès Rampal.
 
           

DOS TOURNE

C'est ainsi que les pieds-noirs rassemblés au monument du square Alsace-Lorraine à Nice ont exprimé leur mécontentement, lors de la cérémonie de commémoration du massacre d’Oran le 5 juillet 1962.
Au moment où le représentant de la Ville de Nice déposait une gerbe, ils ont, comme un seul homme, tourné le dos au monument et entonné le Chant des Africains. Un mouvement qui visait à protester une nouvelle fois contre l'installation, le 18 juin dernier, de la statue de De Gaulle à la place de la Libération.
   
   
     
     

Estrosi avec ses complices pendant l'inauguration de la statue de De Gaulle le 18 juin 2011 à Nice.
Parmi les complices : Jean-Michel Drevet, préfet, Eric Ciotti, député, président du conseil général, Rudy Salles, Marland-Militello, députés, Patrick Allemand, 1er vice-président du conseil régional, Benoît Kandel, 1er adjoint au maire.