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Un parfum d'oued MERDA sur arte tout le monde à la plage
   
    Les réactions


En regardant hier soir à 20h15 sur Arte un reportage sur les plages d'Alger. Qu'elle a été ma surprise d'entendre la commentatrice que la plage de Bab bel oued  du temps des Français il y avait un endroit pour les PN et un autre pour les autres. Je ne savais pas qu'il y avait un apartheid sur les plages à cette époque. Pourtant si je me souviens à Oran ou Alger, je n'ai jamais vu des zones réservées aux pieds noirs .
Où peut aller la désinformation c'est vraiment incroyable. Dans qu'elle état était la plage, les gosses qui barbotent dans les vagues au milieu de détritus. Un estivant allongé sur sa serviette et à 1,50 m d'un tas d'ordures. Ils n'ont pas honte de montrer ces images de désolation et dans quel état était les bains Padovani.
Par contre le commentaire sur Alger future grande métropole où l'on va construire la plus grande mosquée du monde après celle de Médine financée par l'Arabie Séoudite. On préfère construire des mosquées au lieu de donner du pain au million de malheureux. (Quel est le rapport avec la plage ? seule l'incompétente Marie Christine Gambart peut répondre à la question)

   
   
Est-ce que ce reportage ne peut être assimilé à de la diffamation et de la discrimination raciale envers les Rapatriés d'Algérie ? - Par la société de production System TV dirigée par Daniel Renouf et qui est la propriété du parfumeur Bernard Arnault (Dior)
 
 
Non il n'y avait pas de plages réservés aux Pieds-noirs à Alger, c'est tout simplement de la calomnie. J'ai envoyé un message sur Arte et je n'ai pas eu de réponse. (Le menteur Jêrome Clément ne répond jamais, comme BoBo il ne s'adresse jamais au peuple )
 
C'est vraiment malheureux d'être toujours obligé de se justifier ! J'ai toujours pensé qu'un journaliste vérifiait ses preuves avant publication, mais s'il y a du BHL plus rien ne m'étonne (BHL Bernard Henri Levy le falso né à Béni-Saf en Algérie)
 
Je viens de voir votre émission et je vous exprime mon indignation concernant cette émission calomnieuse vis-à-vis de la communauté Pieds-noirs.
4. Alger / Algérie
Sur les plages de la baie d'Alger, l'une des plus belles au monde, des femmes voilées de la tête aux pieds plongent avec grâce. Les garçons et les filles sont séparés. Les anciens se souviennent des filles pieds-noirs qui se prélassaient sur le sable quand l'Algérie était encore française et que les Arabes étaient interdits de plage.

Lors du reportage :

Ce reportage, sur Arté, montre un Algérien, d’un certain âge, présenté avec admiration par la commentatrice comme ayant combattu la France pour obtenir l’indépendance de l’Algérie.
Dans sa présentation, celle-ci a poursuivi son commentaire en affirmant : « Sous l’Algérie Française, les plages étaient divisées en deux : une partie était réservée aux Pieds Noirs et une autre aux musulmans ». Puis elle a enchaîné en disant qu'« Albert Camus lui-même adorait flâner sur les plages réservées aux Pieds Noirs ».
Il n’y a jamais eu de plages interdites aux arabes, ou réservées aux Pieds-Noirs en Algérie avant 1962.
Je vous demanderais donc, en qualité de professionnel, de rectifier cette erreur grotesque et non innocente de la part de votre journaliste.( Pseudo journaliste recrutée à l'assedic il s'agit de Sarah Carpentier)
 
 
 
Je confirme! En tout point réaliste.
Les Algériens n'aimaient pas se baigner, les Algériennes ne trempaient que les chevilles et il n'y en avait pas beaucoup. Par contre ils ou elles ne refusaient pas de boire à la gargoulette des Pieds Noirs.
Pour l'épisode des interdictions qui sont apparues avec le débarquement, il y a bien eu des plages fermées aux civils car elles étaient réservées aux troupes américaines et ceux-ci se baignaient tout nus. J'en ai été malgrès mon jeune âge à l'époque le témoin occulaire à la Tejera.
Ceci dit, il n'est pas acceptable dans ce siècle de la communication et de la médiatisation qu'un reportage faisant apparaitre une mise en cause grave telle que celle-ci relevant de la calomnie et plus de l'incitation à la haine raciale n'ai pas eu un traitement propre à vérifier la véracité des propos. mais bon, ARTE n'est pas une référence.
 

D'abord il faut restituer l'époque :
1/ Les plages n'étaient accessibles, d'une façon régulière, qu'aux gens vivant a proximité ou venant séjourner près du littoral...
2/ les moyens de locomotion ne comprenaient pas une grande quantité de véhicules automobiles donc il y avait " limitation technique " pour les gens vivant à l'intérieur des terres.
3/ A l'époque, et encore aujourd'hui, il y a bien une culture autochtone qui ne voit pas d'un trop bon oeil les ébats sur les plages et encore moins dans l'eau de mer.

 
 

J'approuve et je signe, il n y a jamais eu de ségrégation  raciale en Algérie. A l'époque quand mon père nous emmenait a la plage de Sidi Ferruch, ou a Miramar on côtoyait les Pieds Noirs sans aucun problème. Je tiens à préciser qu'on habitait la casbah et que mes frères ont fait le lycée Bugeaud (Emir Abelkader) et l'école normale de la Bouzareah. (1953 et 1959). Ce qui n’a pas empêché ma famille de combattre pour un Algérie indépendante.
J'aurais aimé que cette Algérie soit indépendante avec tous ses enfants (de toutes confessions).
Cependant, je tiens à préciser que quand j'étais à l'école maternelle en 1958 (Rampe Vallée), Européens et Algériens étaient dans la même classe mais étaient séparés, chacun ses deux rangées.
http://piedsnoirs.viabloga.com/news/quand-va-t-on-cesser-de-brocarder-les-pieds-noirs