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La désinformation sur France Télévisions
avec la diffusion d'un documentaire sur la bataille d'Alger
 
   
   

Le 3 novembre 2003 avait lieu la diffusion de "Mots croisés" un programme de la chaîne TV France 2, la présentatrice  une certaine Arlette Chabot l'incompétente de vouloir traiter en 1h45 de 3 sujets : Le voile islamique, La tragédie des Harkis, et Les massacres d'Oran du 5 juillet 62 organisés par le FLN. L'incapable se voit ravir la parole par une invitée, Zohra DRIFF
Puis toujours sur France 2 c'était La Bataille d'Alger 11 janvier 2007 un documentaire Réalisé par Yves Boisset. Produit par
Compagnie des Phares et Balises Avec la participation de France 2.
Les principaux témoins intervenant dans le film :
Yacef Saadi, chef de la Zone Autonome d'Alger
Abd-El-Kader Guerroudj, ancien communiste, responsable FLN.
Danielle Minne, militante FLN professeur Mirail Toulouse,  poseuse de bombe de l'otomatic
Djamila Bouazza, militante FLN, poseuse de bombe du Coq Hardi

En 2004 des associations de Rapatriés d'Algérie demandent au député Christian Kert membre du conseil d'administration de France Télévision d'intervenir pour plus de justice dans l'injustice sur la guerre d'Algérie, et surtout du traitement des Rapatriés , des Harkis , sur les chaînes du service publiques Radio et TV.
 
 
         
   
Djouas Akrour, militante FLN, poseuse de bombe stade municipal.
Zohra DRIFF  sénateur poseuse de bombe du milk Bar
Jacqueline Guerroudj, militante FLN, aide poseuse de bombes pour l’usine  gaz du Hamma à Alger.
Germaine Tillion, ancienne résistante.

Inutile de vous brosser la conclusion du documentaire : « De gentilles poseuses de bombes victimes des méchants militaires, les tortionnaires ». les victimes sont ignorées. Mais ce n'est pas mon propos, mon propos va s’adresser à Christian Kert membre du conseil d'administration de France Télévisions. Monsieur le député un certain nombres d’associations de Rapatriés vous ont écrit, et vous ont demandé d’intervenir sans aucune réponse à ce jour (18 janvier 2007) au sujet de la bataille d’Alger & France Télévisions.
 
Rapatrié interrogeant Christian Kert.
         
 
LA REPONSE DU DEPUTE KERT
 
LA REPONSE DU RAPATRIE ALGERIE
 
Vous vous en prenez aux services de l’audiovisuel, je crois
que pendant les débats de l’article 4, on à peu près tout dit
sur la repentance, et je crois que l’on a bien vu combien les
journalistes ne nous suivaient pas.
On n’a pas l’opinion des journalistes pour nous et je crois
que singulièrement sur une ou deux chaînes que je pense, il
y a beaucoup plus de journalistes y compris à la radio de
gauche que de droite, cela ne vous a pas sûrement
échappé, et moi je suis allé vous le savez bien, je suis allé
sur quelques tribunes de télé et j’ai entendu de tout sur le
fait que les députés pouvaient défendre le monde rapatrié
et que c’était une page qu’il fallait tourner.
Aujourd’hui que souhaiteriez vous que nous fassions
lorsque des producteurs et des journalistes décident de
faire une émission sur l’Algérie. Si nous devions nous en
mêler, et contrairement à ce que vous semblez penser, je
me suis effectivement ému auprès du conseil
d’administration de France télévisions, de ce que parfois,
souvent même la vérité était travestie.
Pour le reste la liberté d’expression doit être respectée ce
que nous faisons, cela n’exclut pas que nous nous
insurgions.
Que souhaiteriez vous que nous fassions, nous sombrons
immédiatement dans l’idée de la censure c’est a dire que si
un conseil d’administration décidait de dire à des
journalistes , ce  n’est ça qu’il faut faire, il faut faire tout
autre chose, nous avons droit immédiatement à la
culpabilité et à l’offense faite à la liberté d’expression et ce
que je ne cesse de dire si vous écoutez mes propos depuis
quelques années, que je cesse de dire que c’est à nous de
prendre les choses en main, c’est de faire en sorte qu’à
travers la fondation de la mémoire qui doit être crée à
Marseille, à travers la formation nationale, il faut qu’on
veille, que l’on écrive une bonne fois pour toute l’histoire
telle qu’elle s’est racontée , car vous faites allusion à deux
ou trois productions récentes, cela fait des années et des
années que je cesse de dire, avec Maryse Joissains à
l’assemblée nationale , et des sénateurs avec nous, qu’on
raconte l’histoire , sous vos yeux telle qu’elle ne s’est pas
déroulée. Et moi je m’insurge contre cela. Le groupe des
rapatriés à l’assemblée nationale que je préside, auquel
appartient Maryse Joissains.
Le groupe s’est insurgé publiquement, comme vous avez
l’air de l’ignorer, c’est dommage, c’est très bien que vous
lisiez les actes de l’assemblée nationale et pas que vous
regardiez la télévision.
Je pense que ce que nous insistons c’est qu’on crée enfin
cette fondation nationale, et tout à l’heure un de nous a
abordé le problème des disparus, c’est vrai il y a quelque
chose à faire, si vous parlez à des français métropolitains
qui n’ont pas vécu en Algérie, ils ne comprennent rien à
l’histoire des disparus, ils ne comprennent rien à l’histoire
de la rue d’Isly, ils comprennent encore moins ce qui s’est
passé pour la communauté Harkis, nous avons donc un vrai
travail, un vrai travail de mémoire, mais cela passe par
nous, vous avez raison de nous interpeller, nous les
politiques , mais cela passe par l’ensemble de la
communauté, et je crois que le jour où on aura enfin fondé
cette fondation, et je crois le jour où il y aura effectivement
ce site mémorial avec salles de réunions, bibliothèques etc.
A Marseille lorsque ces deux institutions seront crées, il
serait la vraiment très coupable de notre part de ne pas
exiger que la vérité soit écrite,  décrite, filmée s’il le faut.
Pour le reste la liberté d’expression doit être respectée ce
que nous faisons, cela n’exclut pas que nous nous
insurgions.
Nous le faisons à l’assemblée nationale, les sénateurs nous
ont rejoints, je crois que le combat continue et je pense que
cela serait dommage que vous vous en preniez aux
quelques parlementaires qui sont d’une fidélité extrême à la
communauté Rapatrié, on a plutôt besoin de vous.
Vous savez à l’assemblée nationale, moi je suis né à salon
de Provence et à l’assemblée nationale à force de me
battre pour les Rapatriés tout le monde est persuadé que je
suis né à Alger, et ils se demandent tous pourquoi je fais
ça, je fais ça, parce que moi , j’étais enfant lorsque vous
étés arrivés, les événements dont tu parles président, moi
j’étais enfant, lorsque tu parles de ça, mais j’ai vu arriver
une communauté d’une fraternité extraordinaire, et moi mes
parents, ont fait partie des celles et de ceux, qui ont tenté
de vous accueillir dans des conditions correctes et j’espère
plus fraternelles que certains autres.

Aix en Provence 18 janvier 2007





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Désinformation sur chaînes publiques Radio & TV
Merci pour votre aide auprès des conseils d'administration même si cela ne débouche sur aucun résultat, de nombreux députés de UMPS manifestent contre les programmes des journalistes idéologues et incompétents, le faire savoir c'est encore mieux de votre part.
Loi du 23 février 2005.
Le projet de loi sur les "Français Rapatriés"
déçoit les Rapatriés et les Harkis.
| lire|


Peut-on en finir avec la souffrance des familles de harkis de Rapatriés par le vote d'une loi ? Avec le projet de loi "portant reconnaissance de la nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés". Un mauvais devoir qui sera modifié , raturé par Jacques Chirac avec l'aide du complice des basses oeuvres Jean-Louis Debré. Le 25 janvier 2006, en exigeant l’abrogation de l’article 4, le président de la République jacques Chirac bafoue les droits du parlement et marque une nouvelle étape d’une repentance qui n’ose pas dire son nom.
Fusillade du 26 mars 1962 à Alger & Massacre des européens d'Algérie le 5 juillet 1962 à Oran
Accuser les Rapatriés de ne pas faire connaître au grand public les turpitudes du gouvernement du général de Gaulle pour le 26 mars, lui qui aussi empêche l'intervention de l'armée le 5 juillet 1962 à Oran , c'est très fort.
Demander aux Rapatriés d'Algérie de rapporter ces terribles événements sur les chaînes de Radio et de télévision, c'est un la plus grande plaisanterie de l'année 2007.
Les Rapatriés d'Algérie ne peuvent pas accéder aux médias Radio et TV et surtout ceux de votre employeur France Télévisions.
D'autre part entre 1962 et 1981 sous le pouvoir Gaulliste l'accés sur les médias Radio et TV, était cadenassé pour les Rapatriés d'Algérie, alors, la fusillade de la rue d'Isly et les massacres d'Oran c'était un secret d'état !.
Les journalistes idéologues des chaînes publiques évoquent ces terribles événements que pour mieux vous porter des coups avec les blessures des Rapatriés d'Algérie, à force de rien faire cela vous porte tord.
Le 16 janvier 2007 Hamalaoui Mekachera déclare à l'assemblée natioanale : " Dans le cadre de la cérémonie nationale du 5 décembre 2006, une plaque a été inaugurée par le Premier ministre, en présence du ministre de la défense et du ministre délégué aux anciens combattants, quai Branly, près du mémorial national de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie, pour rappeler la souffrance des familles confrontées aux violences, aux massacres ou aux disparitions. (aucune participation du ministre de la république pour faire comprendre et connaitre les terribles événements du 26 mars 1962 et 5 juillet 1962 , vous continuez le camouflage)
S'agissant de la cérémonie associative du ravivage de la flamme, qui devait avoir lieu le 5 juillet dernier à l'Arc de Triomphe, elle a fait l'objet d'un arrêté d'interdiction du préfet de police de Paris afin de préserver l'ordre, la sécurité et la tranquillité publique, compte tenu des risques de troubles annoncés.
Pour le massacre du 5 juillet 1962 à Oran, le fait d'en parler c'est succeptible de porter un grave trouble à la sécurité publique le 5 juillet 2006 ! ..
Le Mémorial de Marseille


C'est plutôt une bonne idée de la loi du 23 février 2005.
Mais une bataille sourde existe pour la prise du pouvoir de cet organisme par les historiens " falso révisionnistes".
Un mémorial contre le colonialisme, contre les Français d'Algérie, contre la torture par les soldats, les appelés du contingent, sans doute.
Le projet aboutira-il ? c'est la question que nous posons, le 15 novembre 2006 le projet de mémorial national de la France d'outre-mer à Marseille, qui devait être livré en 2007, est ajourné par Jean-Claude Gaudin. Les travaux devaient commencer en octobre 2005 , le terrain est à ce jour toujours un terrain vague, les pages Internet de ce projet, ont disparues du site de la Mairie de Marseille.

Départ d'un élu pendant l'intervention
du Rapatrié d'Algérie
Pendant l'intervention de notre compatriote, un élu de l'UMP, il s'agit Bruno GENZANA quitte la salle, il est sans doute d'accord avec les théories de Yves Boisset : « Que reste-t-il aujourd’hui de la bataille d’Alger... Une défaite de l’honneur et de l’éthique qui révéla au grand jour la pratique de la torture par l’armée française. Une défaite qui servit de ferment à la mobilisation du peuple algérien contre « l’occupant français ».
 
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