Le Président de la République, François Hollande, vient de reconnaître la responsabilité de la France dans la répression de la manifestation organisée par le FLN à Paris le 17 octobre 1961.
Mais le Président de la République ne peut avoir une approche partielle et partiale de la guerre d’Algérie.
Toutes les souffrances et tous les drames
doivent être reconnus.
Comment concevoir, en effet, que ce qui est bon pour les manifestants algériens du FLN ne le serait pas pour les victimes Pieds-Noirs assassinées le 26 mars 1962 rue d’Isly, à Alger, de même que pour les milliers de disparus Pieds-Noirs enlevés, notamment le 5 juillet 1962, à Oran et assassinés par le FLN sans que la France ne réagisse ?
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