Projet de film avec l’ouvrage d’Anne Cazal « le ravin rouge »
 
     
 
       
 

« LE RAVIN ROUGE »
En 2012, cela fera 50 ans que nous avons quitté notre Algérie.
Nous avons tous la nostalgie de notre terre natale et nos souvenirs sont encore vifs. Beaucoup d'associations tentent de mener une bataille mémorielle difficile.
Mais aujourd'hui nos cheveux blanchissent et notre devoir est de nous battre encore afin que notre belle oeuvre accomplie la bas ne tombe pas dans l'oubli et que certaines vérités ne soient pas enterrées avec nous.
C'est en fait un devoir pour nous, un devoir envers nos morts qui se sont battus pour une Algérie aimée, un devoir envers nos enfants et nos petits enfants... L'association « DROIT de MEMOIRE » -Président Pierre Barisain -, soutient le projet de lancement d'un film tiré d'un très beau livre de la journaliste Anne Cazal « LE RAVIN ROUGE».

 
       

Tout est dit dans ce livre. Une histoire vécue, de l'arrivée des premiers pionniers jusqu'aux tragédies que nous avons connues sans oublier la vérité souvent cachée des relations entre les diverses communautés.
En participant à la production de ce film vous accomplirez un geste de générosité naturelle.
Selon vos moyens, vous pouvez adresser un chèque de 10 euros (minimum) ou plus à l'ordre de l'association « DROIT de MEMOIRE »-Le Ravin Rouge- Une association, (ou une entreprise), peut grouper des fonds et remplir un seul bulletin de participation.


Autre possibilité



En participant à la production de ce film, vous pourrez aussi réaliser une économie d'impôt, I.R. (Impôt sur les Revenus), voire supprimer votre I.S.E (Impôt Sur la Fortune), en plus d'un geste de générosité naturelle.
La Société de Production du film : Action Côte d'Azur Production One, est éligible à la loi TEPA (loi sur la souscription au capital de PME),. http://www.action-prod.com/
Pour ceux d'entré vous qui le souhaitent vous pouvez investir votre ISF -participation minimale :
5 000 euros répartie sur 2 ans maximum- Vous bénéficiez alors, sous condition,
d'une réduction d'impôt de 67,5 % du montant versé par la souscription directe au capital de A.C.A.P. OneS.A.S.(1)
De même, pour ceux d'entre vous qui souhaitent investir leur Ï.R .ils pourront, sous condition, bénéficier d'une réduction d'impôt de 25 % du montant versé par la souscription directe au capital de A.C.A.P. One S.A.S. (1)
Pour cela vous pouvez vous adresser directement à la société de Production A.C.A.P, 1830 Avenue des Templiers, l'Horizon, 06140 - Vence- contact@action-prod.com , N° de téléphone à composer pour laisser un message et être rappelé : 04 93 58 78 93.
Vous serez informé de vos possibilités et vous pourrez bénéficier d'un accompagnement complet sur les démarches à suivre.
(1) sous réserve du vote de la Loi de Finances 2011).


Merci de bien vouloir retourner votre Bon de Participation au film « Le Ravin Rouge » à l'Association Droit de Mémoire, Maryse Gillmann, 21 Quai Louis Gillet, 69004 LYON, avant le 31 Janvier 2011.
Le Président, de Droit de Mémoire Pierre Barisain Monrose .
Voir aussi le blog de M. Ximenes : http://realifilmpn.com.over-blog.fr/


BON de PARTICIPATION


NOM ..........................................................................................................................................
Adresse .......................................................................................................................................
Prénom .......................................................................................................................................
Tel : ............................................................................................................................................
ASSOCIATION (ou Entreprise) .................................................................................................
……………………………………............E-Mail……….………………….............................

- Droit de mémoire - 21, Quai Gillet. 69004 Lyon Tel : 04 78 39 86 49 • Fax : 04 78 39 6.49


 

Charger le bon de participation au format PDF
Projet de film Le Ravin rouge

 

Projet de film avec l’ouvrage d’Anne Cazal « le ravin rouge»

Sté de production : http://communiques-presse.com/acap-one-societe-de-production-audiovisuelle-reduction-impot-sur-la-fortune/09/05/2009/
L’action se passe à Ben-Chicao, un village d'Algérie, Situé au sud de l'Atlas, à une centaine de kilomètre d'Alger, à 20 km de Médéa ( http://regardsurmedea.blogspot.com/2009/02/ben-chicao.html)
Le Ravin Rouge d'Anne Cazal, ce livre destiné à devenir un film si la Société ACAPone parvient à collecter suffisamment de fonds pour lancer le projet, voici un résumé rédigé par Anne Cazal elle-même et commenté par Boualem Sansal.
ANNE CAZAL - LE RAVIN ROUGE -

Roman historique

Tous les lecteurs du Ravin Rouge se sont attachés aux personnages qui traversent ce récit car ils sont profondément authentiques : ils ont vécu, ils ont existé, ils ont connu la joie et aussi le malheur. Nombreux sont les lecteurs, qui ont écrit à l’auteur, croyant les avoir rencontrés, aux quatre coins de la province française d’Algérie.
« Même si l’on a une certaine pudeur à les évoquer, on ne peut s’empêcher d’avoir pour eux de l’attention et même de l’amitié » a écrit Jeannine de la Hogue, préfacière de l’ouvrage.
Adrien de Courtenay, le héros de ce roman, est un être de chair et de sang, mais il est aussi un mythe, un exemple, une sorte de prototype de ceux qui sont venus en Algérie par nécessité, et qui se sont attachés au pays au point de s’identifier à lui, d’en devenir le symbole, d’en devenir, comme dans le récit d’Anne Cazal, la mémoire.
La démarche de ce récit, de ce témoignage, écrit avec passion, mais aussi avec respect pour les acteurs, races, religions, milieux sociaux, confondus dans la plus grande tourmente de leur vie, est une arme pacifique mais absolument efficace, et le Ravin Rouge le prouve à ses lecteurs, depuis bientôt seize ans...
Les Pieds Noirs sont orphelins de leur terre. Ils l’ont pleurée avec désespoir. Certains l’ont fait avec violence, d’autres ont transformé leur désespoir en nostalgie, Anne Cazal a essayé de le faire ressentir par l’écriture car rien n’est pire que de se sentir incompris, parfois injustement jugé, et, bien souvent mal aimé.
Anne Cazal a simplement écrit la vie là-bas, et sous sa ferveur et sa plume, se sont fait soudain comprendre des lecteurs les peines, les difficultés et les drames humains vécus.
Le héros de ce récit, venu en Algérie à la suite d’un deuil, d’un désarroi, y trouva, grâce à son travail et à sa ténacité une certaine réussite matérielle. Il y fut aidé par un camarade de guerre, Kader Kouïder habitant la mechta voisine, puis par la femme dont il tomba amoureux, institutrice dans le bled, Elise Cortès.
Les lecteurs ressentent tous, à travers les peines et les drames dont la vie du héros et de sa famille seront accablés, un fil conducteur : foi et espoir.
La personnalité de cet homme exceptionnel marque fortement tout le récit, qui se décompose en trois parties : les heures bleues, les heures grises et les heures noires… Et si ces heures noires sont tragiques, elles montrent malheureusement la réalité des derniers temps de l’Algérie française avant l’exil douloureux.
Ainsi s’exprime le dernier témoin : « Et brusquement, trente ans après la déchirure, l’homme blessé s’était remis à marcher sur la route d’Imphy, la vraie vie s’était enfin découverte, éclaircie, et le clavier avait crépité sans relâche. Il n’avait plus compté les jours. Il était dans un autre monde, dans une illusion du monde, poétique, joyeuse, sentimentale, dramatique, lugubre et sale, mais cette illusion était aussi l’immuable vérité.
Elle était là, enfin, sa vie à contrario, la seule qui vaille vraiment la peine d’être vécue ! Ils étaient tous là, autour de lui ! Le Ravin Rouge s’illuminait encore des rayons du couchant, la brise colportait encore les senteurs embaumées des fleurs de montagne, sa famille pouvait encore s’endormir dans la paix… »
Quel beau roman que le Ravin Rouge ! On sent qu’il a été écrit avec le coeur ! Ses lecteurs se sont attachés aux personnages qui traversent le récit car ils sont profondément authentiques : ils ont vécu, ils ont existé, ils ont connu la joie, et aussi le malheur. Nombreux sont les lecteurs, qui ont écrit à l’auteur, croyant les avoir rencontrés, aux quatre coins de la province française d’Algérie.
« Même si l’on a une certaine pudeur à les évoquer, on ne peut s’empêcher d’avoir pour eux de l’attention et même de l’amitié » a écrit Jeannine de la Hogue, préfacière de l’ouvrage.
Adrien de Courtenay, le héros de ce roman, est un être de chair et de sang, mais il est aussi un mythe, un exemple, une sorte de prototype de ceux qui sont venus en Algérie par nécessité, et qui se sont attachés au pays au point de s’identifier à lui, d’en devenir le symbole, d’en devenir, comme dans le récit d’Anne Cazal, la mémoire.
La démarche de ce récit, de ce témoignage, écrit avec passion, mais aussi avec respect pour les acteurs, races, religions, milieux sociaux, confondus dans la plus grande tourmente de leur vie, est une arme pacifique mais absolument efficace, et le Ravin Rouge le prouve à ses lecteurs, depuis bientôt seize ans...
Les Pieds Noirs sont orphelins de leur terre. Ils l’ont pleurée avec désespoir. Certains l’ont fait avec violence, d’autres ont transformé leur désespoir en nostalgie, l’auteur a essayé de le faire ressentir par l’écriture car rien n’est pire que de se sentir incompris, parfois injustement jugé, et, bien souvent mal aimé.
Elle a simplement écrit la vie là-bas, et sous sa ferveur et sa plume, se sont fait soudain comprendre des lecteurs les peines, les difficultés et les drames humains vécus.
Le héros de ce récit, venu en Algérie à la suite d’un deuil, d’un désarroi, y trouva, grâce à son travail et à sa ténacité une certaine réussite matérielle. Il y fut aidé par un camarade de guerre, Kader Kouïder habitant la mechta voisine, puis par la femme dont il tomba amoureux, institutrice dans le bled, Elise Cortès. Puis vint le temps des turbulences où tous furent emportés par le vent dit … de l’Histoire
Les lecteurs ont, tous, qu’ils fassent partie des exilés de l’Algérie Française ou qu’ils ne l’aient pas connue, à travers les peines et les drames dont la vie du héros et de sa famille seront accablés, un fil conducteur : foi et espoir.
Anne CAZAL et Boualem SANSAL