Journée de la honte 19 mars 2017 à Coudekerque-Branche avec un carton d’invitation aux couleurs du FLN de la mairie.
19 mars 2017 : non à la commémoration de la honte et du déshonneur du maire  David Bailleul !

David Bailleul maire de Coudekerque Branche
 

Faut-il comprendre un homme qui fait si peu mystère de ses préférences qu’il n’hésite pas à laisser, je dis bien laisser, les faux Français pour y hisser le drapeau algérien sur l’invitation pour la cérémonie du 19 mars 2017 mais pour l’y déployer en lieu et place du drapeau français ?
Je ne saurais trop engager les Patriotes de  Coudekerque-Branche de bouder cette cérémonie  pour  victimes françaises de la journée nationale d'hommage aux "Morts pour la France" pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie.
Pour les 103000 victimes de l’après le 19 mars 1962 nos amis Harkis et Français d’Algérie, la cérémonie de la FNACA de Coudekerque-Branche est bien dans la ligne d’extrême gauche de cette association, sans aucune reconnaissance pour les victimes françaises.

   
La proximité de la FNACA et du Parti communiste français perdure bien après la guerre d'Algérie, notamment chez les dirigeants de la Fédération qui sont souvent d'anciens membres du Parti communiste et par les actions qui sont menées auprès des différents gouvernements.
Ainsi, Maurice Sicart, secrétaire général de la Fédération, est un militant actif du Parti communiste, Serge Peronnet, trésorier national depuis octobre 1979, est membre du Comité départemental (Nord) de l'Union des Jeunesses Communistes en 1957 et Fondateur du Cercle des U.J.C.F. des Aciéries de Dunkerque. Guy Ramis, secrétaire national juridique et social, est un syndicaliste très actif, Robert Pelletier, administrateur du journal de la FNACA L'Ancien d’Algérie est également issu du Parti communiste français. En 1962, il est désigné comme « Représentant de la France au Congrès Mondial de la Paix à Moscou. Michel Sabourdy, rédacteur en chef, est un militant actif du Parti communiste français. Il est successivement membre du Comité de soutien à Jacques Duclos, Secrétaire de la cellule P.Jettin à Coutras, en 1969 et Trésorier de la Section communiste de Coutras en 1970. Il est depuis 1970 rédacteur en chef du mensuel L'Ancien d’Algérie.
   
Jacques Judas de la FNACA de Coudekerque - Branche
 
 
     
 

En Algérie la célébration du 19 mars 1962,  c’est la journée de la Victoire le jour qui a vu la Révolution  du peuple algérien et de perpétuer le message des martyrs de la Révolution.

 
     
 

Il y a cinquante-cinq ans, un million de Français d’Algérie subissait en effet un exode dramatique et plus de 100 000 harkis et 3000 pieds noirs étaient assassinés par le FLN dans l’indifférence générale, pour la plupart après ce “cessez-le-feu” du 19 mars 1962.


En décidant d’accomplir cette démarche, le maire David Bailleul  a choisi délibérément de tourner le dos à une partie de ses compatriotes et d’afficher son mépris pour les drames de dizaines de milliers de victimes: appelés du contingent, militaires engagés, pieds noirs victimes d’enlèvements et d’assassinats, notamment lors des terribles journées du 26 mars 1962 à Alger et du 5 juillet 1962 à Oran, et, bien sûr, harkis massacrés dans d’indescriptibles conditions.


En prenant le parti d’honorer à cette date funeste le souvenir des civils et militaires français disparus lors de la guerre d’Algérie, David Bailleul  a choisi aussi de sacrifier la vérité historique, car chacun sait que le “cessez-le-feu” du 19 mars 1962 n’a jamais été respecté et que, loin d’avoir marqué la fin de la guerre, il symbolise, bien au contraire, le début du déchaînement des violences contre les Français d’Algérie.
Comment ne pas rappeler, en effet, que 80 % des victimes civiles françaises de la guerre d’Algérie ont été assassinées par le FLN après les accords d’Évian?


En affichant son soutien à la seule date du 19 mars, rejetée par la quasi-totalité des associations d’anciens combattants et par l’ensemble des associations de Français d’Algérie, harkies et pieds-noires confondues, le maire de Coudekerque-Branche David Bailleul a en outre fait le choix de la provocation avec son carton d'invitation avec le drapeau des fellaghas.


Enfin, en commémorant le 19 mars 1962,  le maire de Coudekerque-Branche David Bailleul, en plus de jeter le voile noir de l’oubli sur les souffrances d’une partie de ses compatriotes, poursuit sa démarche de repentance vis-à-vis de l’Algérie, qui célèbre le 19 mars comme une victoire et exige que ne soit reconnue qu’une seule catégorie de victimes.

Toutes les souffrances doivent être respectées et tous les drames reconnus.