La FNACA comme le FLN le Parti Communiste le Parti Socialiste est contre le changement du nom de la rue du 19 mars 1962 à Béziers.

     
 
Le maire de Béziers Robert Ménard souhaite rebaptiser la rue du "19 mars 1962", date des accords d'Evian.
Le changement de nom de cette rue proche du quartier de la Devèze, celui où Robert Ménard, né à Oran en Algérie, s'était installé avec ses parents à son arrivée à Béziers, il sera présenté lors du prochain conseil municipal, le 11 décembre 2014.

" Moi, je ne fête pas les défaites. D'ailleurs, il n'y a pas de gare du 19 mars, mais il y a la gare d'Austerlitz. Le 19 mars, c'est une insulte aux soldats du contingent, aux harkis et aux Français d'Algérie "
 
 
     
   

Pour les anciens combattants, et notamment ceux de la Fédération Nationale des Anciens combattant d'Algérie, Maroc, Tunisie (Fnaca), c'est pourtant bien cette date qui marque la fin des combats en Algérie (sic) un gros mensonge des Fnakistes. " J'avale mal la couleuvre", lance le président du comité biterrois de la Fnaca, Jean-Pierre Labeur, abasourdi. "Ça ne fait pas plaisir tout ça ! C'est se foutre du monde", assène de son côté le président départemental de la Fnaca, Michel Martel.
Le Maraussanais prévient : "Nous avons, dans quelques jours, une réunion départementale. On va en discuter et prendre des décisions". Michel Martel n'exclut pas "l'organisation d'une manifestation" si le conseil municipal de Béziers entérine sa décision. Car le 19 mars 1962 est emblématique pour tous ceux qui ont eu vingt ans dans les Aurès.
Cette date marque, au lendemain de la signature des accords d'Évian, la fin des combats en Algérie. (victimes françaises après le 19 mars 1962 : civils 1302, militaires 87, Harkis 70000. (Cf. étude de Jean Claude Rosso qui s'arrête au 31 décembre 1962 et nous savons qu'il eût des enlèvements et des assassinats jusqu'en 1964.)

   
 
   
 
 
   
     

Une municipalité précédente avait cru bon, comme d’innombrables communes de France, de donner à l’une des artères de la ville le nom de « rue du 19-Mars-1962 », en souvenir des accords d’Évian, qui mirent officiellement fin à huit années d’insurrection puis de guerre en Algérie.

Or, il est absurde que des milliers de plaques bleues commémorent ce jour dans notre pays, et ceci pour deux raisons déterminantes.
Autant il est légitime qu’un Algérien, et fier de l’être, célèbre la fin de la colonisation et la victoire diplomatique qui a débouché sur l’indépendance de son pays, autant, quoi que l’on pense des événements d’alors, de leur conclusion et de ses suites, il est anormal qu’un Français se réjouisse de la défaite politique qui a mis fin à cent trente ans de souveraineté et de présence françaises de l’autre côté de la Méditerranée.

 
 
     

Mais, surtout, on ne devrait pas oublier que ces accords qui prétendaient mettre fin aux hostilités ont marqué le début d’une période de massacres et de l’exode de plus d’un million d’hommes et de femmes, français par l’origine ou par le choix du cœur et du sang.

Le souvenir du 19 mars 1962 n’est ni apaisant ni fédérateur ni réconciliateur pour un pied-noir, pour un harki ou pour un patriote français.

         

Pour certains, notamment les milieux gaullistes de l’UMP, il est impensable de donner le nom d’un « putschiste » à une rue.
Les falsos de l’UMP s’abstiennent avec un vote contre les français d’Algérie : Mme Agnès JULLIAN,  M. Daniel PAREDES, Mme Catherine VANDROY, M. Pascal RESPLANDY, Mme Nathalie BOISJOT, Mme Monique VALAIZE.

L’opposition municipale est elle aussi vent debout contre ce projet.

« Juridiquement, il a le droit de faire ça. Mais il s’agit d’une faute politique et morale. Le rôle du maire n’est pas de dresser les uns contre les autres. Il ne faut pas réécrire l’histoire au profit de la frange la plus radicale des partisans de l’Algérie française », a déploré, dans les colonnes de Libération, Jean-Michel du Plaa, président du groupe PS au conseil municipal. « Il ne peut pas effacer le souvenir des appelés pour qui cette date est importante, car elle signe la fin des hostilités, le moment où ils pouvaient rentrer chez eux », va-t-il ajouté.

Pour le falso de Jean-Michel du Plaa "les fnakistes pouvaient rentrer chez eux "rien pour les victimes de l'après 19 mars dégage !

Bien entendu, à aucun moment il ne précise que la FNACA est une association à tendance de gauche, qu’elle a longtemps était proche du Parti Communiste.

Le choix de la FNACA de commémorer le 19 mars comme la fin de la guerre d’Algérie est contesté par la plupart des associations d’anciens combattants, à commencer par l’Union Nationale des Combattants ou encore l’Union Nationale des Parachutistes.

La grosse presse peut bien continuer d'aboyer. Comme le disait Robert Ménard : « J'inaugurerai  la rue Hélie Denoix de Saint Marc ou Hélie de Saint Marc le 19 mars et, ce jour- là, les drapeaux  seront en berne dans la ville de Béziers. »

Le 19 mars 1962 marque tellement bien la fin des combats en Algérie que, quelques jours après cette date, l’Armée Française va bombarder le quartier européen de Bab el Oued à Alger.

Une semaine après le 19 mars, ce sont plus d’une soixantaine de Pieds Noirs qui tomberont sous les balles des militaires français dans la rue d’Isly.

Cinq mois après le 19 mars, des centaines de Pieds Noirs seront massacrés par le FLN à Oran, les militaires français témoins des tueries recevront des ordres leur interdisant d’intervenir.

       

Puis finalement les FNAKISTES Michel Martel & Pierre Labeur écrivent à Robert Ménard

Michel Martel, président départemental de la Fnaca et Jean-Pierre Labeur, président du comité biterrois poursuivent : "Nous n'ignorons pas le drame des rapatriés qui ont dû quitter la terre où ils étaient nés, ni celui des harkis restés sur le sol Algérien, mais nous ne pouvons ignorer qu'après le cessez-le-feu, les attentats et la politique de la terre brûlée pratiquée par l'OAS (Organisation armée secrète) n'a pas favorisé le rapprochement entre les communautés. Aussi, débaptiser une rue pour lui donner le nom d'un commandant “putschiste” est une insulte aux 30 000 soldats tombés en Afrique du Nord mais aussi aux 2 millions d'appelés et de rappelés qui ont servi la France avec fidélité dans des lieux inconnus et hostiles".

Avec un oubli volontaire des militaires disparus, après le 19 mars 1962 et les harkis sans doute de dangereux activistes !

     
 
 
     
     

Les FNAKISTES de Paris soutiennent leurs camarades de Béziers

« La FNACA de Paris et ses 4.500 adhérents s’élèvent contre la provocation que constitue la décision prise par la mairie de Béziers de débaptiser le rue 19 mars 1962, de cette ville. Cette date marque la fin de la guerre d’Algérie, devenue depuis le 6 décembre 2012 et votée par l’assemblée nationale, la journée nationale du Souvenir et de Recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats de Tunisie et du Maroc. »

Et sans oublier les fellaghas « Aujourd'hui, 60 ans après le début de la Guerre d'Algérie, l'heure est à la transmission de cette mémoire mais aussi à la réconciliation pour une mémoire partagée qui n'oublie rien ni personne, seul gage de paix et d'amitié. »

 
 
     
       
   
 

Le FLN au secours de la FNACA

 

FLN : « Pendant qu'à Paris on donne des noms d'Algériens à des rues ou à des places, Robert Ménard, maire de Béziers, soutenu par le FN, veut rayer de l'Histoire la date du 19 Mars 1962 en débaptisant la rue qui rappelle cet armistice et en remplaçant son nom par celui d'un assassin de l'OAS. C'est ainsi que certains tentent de réécrire l'Histoire.
C'est la raison pour laquelle il faut rester vigilant pour que les souffrances infligées aux peuples du tiers-monde ne se transforment en missions civilisatrices. »

Voir plus loin les mêmes propos que dans la pétition du Mouvement de la paix du professeur Raymond CUBELLS.

   
     

En décidant de rebaptiser la rue du 19-Mars-1962 rue du Commandant- Hélie-Denoix- de-Saint-Marc, le maire de Béziers s'est attiré les foudres de la gauche.
Mais surtout le soutien des rapatriés.


Conseil municipal du 11 décembre

Le 11 décembre 2014, seule une poignée d'opposants s'était rassemblée devant la mairie.
Et si, à l'intérieur, tous les élus de gauche ont voté contre, deux des cinq élus UMP, dont son ex-adversaire des municipales Élie Aboud, ont même soutenu l'initiative.

Les débats se déroulant dans un climat (presque) totalement apaisé...

Ré p u b l i q u e F r a n ç a i s e
V I LL E d e B E Z I E R S
D é pa rt e m e n t d e l ' H é r a u lt
S é an c e d u C o n s e i l Mu n i c i pa l d u
1 1 d é c e m b r e 2 0 14

Le Conseil adopte à l'unanimité
OBJET : 20 - AMENAGEMENT URBAIN - Changement de dénomination de voie

Mesdames, Messieurs,
En 1979, des voies ouvertes à la circulation ont été dénommées par délibération du 12 novembre 1979. Ce fut le cas pour la rue du 19 mars 1962.
Il a été décidé de rebaptiser la rue du 19 mars 1962 « Rue du Commandant Denoix de Saint Marc » à compter du 19 mars 2015.
Bien évidemment, les services de la Poste ainsi que les riverains seront tenus informés. Cette affaire a été présentée en Commission des finances, de l'administration générale, du commerce et de l'artisanat, des travaux, de l'urbanisme, de l'environnement et du foncier.
Après examen, il vous est proposé :
- d'adopter la dénomination de voie présentée ci-dessus,
- d'autoriser Monsieur le Maire ou l'élu(e) délégué(e) à signer tout acte ou document relatif à cette affaire.
Votants : 49 Pour : 39 Contre : 5 Abstentions : 5
Le Conseil adopte à la majorité

 
 
       
   
 

C'est peu dire, pourtant, que les élus et associations proches du PS et du PC ainsi que la presse de gauche n'avaient cessé, les jours précédents, d'attiser la polémique. « C'est une provocation de plus de la part de ce va-t-en-guerre des mémoires qu'est devenu Ménard», tempêtait ainsi dans  l'Humanité le président de l'Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de  l'OAS.

   

Pour Aimé Couquet le nostalgique de Staline le « 19 mars c’est la fin de la guerre d'Algérie » en oubliant les militaires, les harkis victimes du FLN ainsi que les civils après le 19mars 1962.

       
     

Les FNAKISTES s’organisent.

- Moissac – 25 janvier 2015  La FNACA met donc à l'étude la constitution de cars pour aller déposer des gerbes sur les lieux et manifester ainsi son attachement à l'appellation de cette voie. La décision dépend du président national.

Dans l’organe des FNAKISTES, l'ancien d'Algérie 

« Le temps qui passe nous éloigne de ces événements douloureux et la mémoire collective faiblit. Les nostalgiques de l'OAS, encore actifs, en profitent pour avancer leurs pions afin de tenter de faire oublier que le Cessez-le-feu du 19 Mars en d'Algérie » & « Il nous appartient de ne pas laisser insulter l'Histoire par ceux qui rêvent de la réécrire à leur manière ! »
Michel Sabourdy

 
 
     
       
   

La décision municipale de débaptiser la rue du 19-Mars-1962 pour la renommer Commandant-Hélie-de-Saint-Marc a du mal à passer. Un recours “en excès de pouvoir” visant le maire a été enregistré, le mardi 24février 2014, par le tribunal administratif de Montpellier.Le recours “en excès de pouvoir” qui vise Robert Ménard a été initié par le conseiller municipal communiste d'opposition, Aimé Couquet mais également au nom de David Garcia, de l'Arac (association d'anciens combattants), le Collectif biterrois pour l'appel des 100, le mouvement pour la paix et l'association “Les amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs compagnons”. "C'est un recours sur le fond, explique Aimé Couquet. Le tribunal administratif ne l'examinera que dans deux à trois mois".

 
 
 
 
   
       
     

Une manifestation nationale le 14 mars 2014

Si la contre-offensive à la délibération municipale passera par le tribunal administratif, la contestation s’exprimera, également, dans la rue.
En effet, le 19 février, un appel à une manifestation d’ampleur nationale a été lancé par de nombreuses associations, des partis politiques, des syndicats.
Décidés à "sauver le nom de la rue du 19-Mars-1962 et afin de manifester contre les nostalgiques de l’OAS et du colonialisme", les opposants se retrouveront le 14 mars, dès 14 h, rue du 19-Mars-1962.
Un rendez-vous qui ne doit rien au hasard puisque ce jour-là et à la même heure, le premier magistrat biterrois débaptisera la fameuse rue.

 
 
     
         
 

Une pétition
est mise en ligne
par le mouvement de la paix de Béziers

 
 

Un examen attentif du serveur, et des adresses I…, permet de voir que bien souvent une même personne vote plusieurs fois.

Le professeur Raymond Cubells organise le déchainement des passions et des insultes envers un mort.


Constat Maître Albertini (247 163 – 49 EFG.AB.) du 4 mars 2015

#201
«  Ménard en glorifiant un tueur de l'OAS veut par là même régler un compte lui le fils d'un membre de l'OAS, il cherche à se venger de ceux qui ont préféré la paix dans la justice à la perpétuation de la violence coloniale »

Dans la pétition en question, de nombreux commentaires salissent la mémoire d'un mort, le Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc, fait Grand Croix de la Légion d'Honneur par le Président de la République Nicolas Sarkozy. Ainsi, le commentaire #201, mais ce n'est qu'un exemple parmi d'autres, qualifie le Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc de "tueur de l'OAS" alors que cette personnalité n'a jamais été membre de cette organisation.

En France, l'injure ou la diffamation à la mémoire des morts constitue un délit.
Vous engagez donc votre responsabilité pénale en tant que support de cette pétition, tout comme le fait son initiateur Monsieur Raymond Cubells.

Le chef du parti communiste envoi un courrier à Jean-Marc Todeschini, Secrétaire d'Etat aux anciens combattants et à la Mémoire.

Monsieur le Secrétaire d’Etat,

« Je me permets d’attirer votre attention sur l’intention du maire de la ville de Béziers de rebaptiser la rue du 19 mars 1962, date marquant l’entrée en vigueur du cessez-le-feu en Algérie, en rue du commandant Hélie Denoix de Saint Marc » & « Il constitue en outre un acte d’apologie de la colonisation qui a, notamment en Algérie, eu pour conséquence des crimes de masse, ce qui ne peut que choquer profondément l’ensemble de nos concitoyens et nuire aux relations entre le peuple français et les peuples issus des anciennes colonies. »
Pour toutes ces raisons, je vous serais reconnaissant, Monsieur le Secrétaire d’Etat, de m’indiquer quelles sont les mesures d’ores et déjà mises en œuvre ou envisagées par le Gouvernement pour faire obstacle à la réalisation de ce projet irresponsable et juridiquement contestable.  ……………/……………………etc….

Dans un courrier en date du 26 février 2015, vous vous indignez auprès de Monsieur le Secrétaire d'Etat aux Anciens combattants de la décision du maire de Béziers de rebaptiser la rue du 19 mars 1962, rue du Commandant Hélie Denoix de Saint Marc.
Vous ne retenez de cette grande figure de notre Histoire, Grand-Croix de la Légion d'Honneur, que sa participation au putsch des généraux en avril 1961 et vous vous  gardez bien d'évoquer son passé de Résistant, dès février 1941, et de déporté au  cours de la seconde guerre mondiale, à une époque où le parti communiste, dont vous  êtes secrétaire national, soutenait le régime nazi en défendant le pacte germano-soviétique, à une époque toujours où l'ancien premier secrétaire du PCF, Georges Marchais, partait comme travailleur volontaire dans les usines d'armement allemandes Messerschmitt.

Un peu de pudeur Monsieur le Sénateur !

Un peu de pudeur également Monsieur l'ancien directeur de publication de L'Humanité, vous dont le journal étalait en première page sa douleur suite au décès de Staline, l'un des plus grands criminels de toute l'Histoire.

Vous reprochez à Hélie Denoix de Saint Marc sa proximité avec l'OAS (responsable de 2600 morts) alors que, dernier des Mohicans d'une idéologie moribonde, vous feignez d'oublier que cette même idéologie fut responsable au XXème siècle de plus de 120 millions de morts !

Et pour en revenir à l'Algérie, vous n'ignorez sans doute pas que les prémices de la guerre remontent à 1945 avec le soulèvement d'indépendantistes à Sétif. 

Soulèvement qui  fut violemment condamné par... L'Humanité !

L'Humanité qui écrivit qu'il fallait "châtier impitoyablement les fauteurs de troubles". Vous n'ignorez sans doute pas que l'un des artisans de la répression fut un certain Charles Tillon... ministre communiste de l'Air  du gouvernement Charles de Gaulle (du 10 septembre 1944 au 21 novembre 1945) !

Tout comme vous n'ignorez sans doute pas que des milices furent créées pour mater la rébellion des indépendantistes, milices créées par... le parti communiste algérien !

Alors de grâce, Monsieur le Sénateur, avant de parler de "crimes de masse" comme vous le faites dans votre courrier, balayez devant votre porte ! En ce qui concerne les crimes de masse, l'idéologie communiste surpasse, et de loin, toutes les autres.

 
 
     
 
Charles Tillon
 
     

Les associations d’extrémistes de gauche à manifester le 14 mars à Béziers:

- Les Anciens Appelés en Algérie et leurs Amis contre la Guerre (4acg)
•Association Nationale pour la Protection de la Mémoire des Victimes de l’OAS
(ANPROMEVO)
•Association Nationale des Pieds Noirs Progressistes et leurs Amis (ANPNPA)
•Les Amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs
Compagnons, Memorial 98, Au nom de la mémoire
•Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP)
•Sortir du colonialisme
•Comité Vérité et Justice pour Charonne
•Les Amis de Tirésias
•Le collectif biterrois de l'Appel des 100 et du Mouvement de la paix
•Association Biterroise France Algérie (ABFA)
•Réseau Citoyen Solidaire de Béziers RCSB, composé de:
•l'Association Biterroise contre le Racisme, ABCR
•La CIMADE
•l'Association France Palestine Solidarité, AFPS
•Boycott, Désinvestissement, Sanction, BDS France Béziers
•La Ligue des Droits de l'Homme, LDH
•ATTAC
•Osez Le Féminisme, OLF34 Section Béziers
•UCH Jean MOULIN
•Comité Humanitaire Biterrois, CHB
•CAPJPO Coordination des Appels pour une Paix Juste au Proche Orient
Les partis politiques:
•Parti communiste
•le Mouvement des Jeunes Communistes
•Ensemble
•Parti Socialiste
•Europe Ecologie les Verts


Pour ces raisons le changement du nom de la rue du 19 mars 1962 le 14 mars 2015

à Béziers revêt une importance majeure.


De nombreuses délégations de d’Avignon, Hyères, Marseille, Aix-en-Provence, Perpignan, Valence, Mont-de-Marsan, du Gers, Toulouse, Pau, Carcassonne, Montpellier, Nice, Narbonne et Béziers, sont annoncées.

Cette mobilisation ne doit pas faiblir et doit être amplifiée. C’est la raison pour laquelle nous comptons sur chacun d’entre vous pour mobiliser parents et proches afin que cette manifestation en hommage à Hélie Denoix de Saint-Marc soit un succès.