Pendant la cérémonie nauséabonde du 19 Mars à Valence - d’Agen , Jean-Michel Baylet constate l’absence d’une association d’anciens combattants, il propose d’en parler au ministre délégué aux bobards et à l’association d’anciens combattants la FNACA.

 
     
 
 

Célébration du 19-Mars, hier à Valence-d'Agen, organisé par le comité cantonal de la Fnaca, son président le FNAKISTE Claude Médale.
« Les absents ont toujours tort, se devait de rappeler Jean-Michel Baylet, au moment d'évoquer l'absence des portes drapeaux d'une association d'anciens combattants. Je suis choqué de cette absence. Une instruction d'une Fédération nationale aurait demandé à ses adhérents de ne pas prendre part au 19-Mars (la Fédération André-Maginot pour la nommer, NDLR), j'en parlerai au ministre délégué aux Anciens Combattants, Kader Arif
Et le président de la communauté de communes des Deux-Rives d'argumenter son courroux : " Quand on a combattu, à quelque endroit ce soit et à quelque période ce soit, on se doit de conserver chevillée au cœur la fraternité des frères d'armes " .

Sans doute agacé par sa récente mise en examen il oublie volontairement que depuis le 5 décembre 2002 les associations de FNAKISTES ne participaient pas aux cérémonies de la journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc du 5 décembre chaque année.

Depuis cette date du 5 décembre nous n’avons pas trouvé un délateur pour  signaler à un ministre les absents.

Sans doute après sa mise en examen il oublie les précisions de Kader Arif dans le courrier Picard du 16 avril 2013 : « Je suis toujours à la recherche d’une mémoire apaisée, avec le souci de la cohésion nationale. Le vote au Sénat a vu la reconnaissance du 19 mars comme journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc. Il existait déjà la date du 5 décembre, qui n’a pas été supprimée. Il faut là éviter la concurrence des mémoires, ou leur confrontation. Mon message est toujours un message de tolérance, de respect et de fraternité »