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                  La    désinformation autour de la culture des pieds-noirs   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Présent    n° 6212 du 15 novembre 2006   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  La Désinformation autour de la culture des    pieds-noirs    | 
                 
               
             
            
              
                
                  Au rang des    « sujets » frappés par la désinformation, les pieds-noirs sont    particulièrement touchés comme le rappelle Pierre Dimech dans un ouvrage lumineux    de la série « La désinformation autour de... » : La Désinformation autour de la culture des    pieds-noirs (Atelier Fol'Fer). Il écrit    :   | 
                 
               
             
            
              
                
                  ― Qu'on ne s'y trompe pas: la désinformation    autour de la culture des pieds-noirs est un des éléments de la désinformation    autour de la guerre d' Algérie laquelle, si l'on en croit l'effrontée et    rageuse thèse du FLN, reprise et adoptée bien sûr par ses éventuels    complices, aurait duré de 1832 à 1962.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Français d'    Algérie (et un sort est fait au terme « pied-noir » sous lequel les Français    d'Algérie ne se sont jamais désignés), d'origine maltaise, impliqué dans le    combat exemplaire du Cercle algérianiste (dont il fut le président national    naguère), nul mieux que Pierre Dimech ne pouvait se livrer à une telle étude.    La première du genre à ma connaissance et dans la continuité de son précédent    essai qui fait désormais autorité, Pieds-noirs    et cous-rouges (Editions de Paris).   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Dire que    Pierre Dimech n'ignore rien et qu 'il sait tout de la culture de ce peuple «    pied-noir » forgé au cours des années, constitué de populations venues du    pourtour de la Méditerranée – mais pas exclusivement – serait encore peu    dire. Il parle de cette communauté avec cœur, avec le cœur mais aussi – et ce    n 'est pas toujours aussi évident que ça dans notre turbulente communauté    avec une fiévreuse intelligence.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  S’étant d'    abord attaché à délimiter les limites terminologiques du sujet, Pierre Dimech    dissèque les fondements de la désinformation puis se livre à une analyse    précise du phénomène : à travers les médias, au cinéma, dans le monde des    livres (avec les plus belles pages jamais écrites sur Jean Brune), etc.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Il faut    lire ce livre – concis, nerveux, passionné – qui traite de la vie littéraire    et artistique en Algérie avant 1962 et retrace le combat culturel des    pieds-noirs en métropole après 1962.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Pied-noir ? De ce surnom ironique et réducteur, les    Européens d'Algérie firent un drapeau. Un drapeau identitaire en aval de    l'identité française qu'ils avaient crue leur et pour laquelle ils avaient    tout donné. En débarquant sur les quais de Marseille, ils eurent de quoi    douter, rappelle Pierre Dimech.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Que vous    soyez « Français de France » ou « Français de la Plus Grande France », vous    devez lire ce livre qui n ' est ni passéiste ni nostalgérique mais porteur    d'une grande – d'une haute – réflexion sur un peuple à qui l'on a volé sa    terre natale et qu'on voudrait, de surcroît, amputer de son histoire et de    son identité.   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Le Libre    Journal n° 392, 18 novembre 06   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  On demeure    étonné, en découvrant le livre de Pierre Dimech, qu’il ait fallu attendre si    longtemps pour que l’édition se penche sur le cas le plus flagrant, le plus    obscène, le plus maléfique de désinformation qu’ait connu notre Histoire de    France.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Par quel    aveuglement les métropolitains ont-ils pu avaler les mensonges ahurissants,    les fables idiotes, les accusations infamantes déversés sur le peuple des    Pieds-noirs ? La chose reste un mystère.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Dimech    aligne les exemples.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  C’est cette    dame pied-noire de la troisième génération qui, arrivant en métropole, en    1930 est accueillie par ce cri de stupeur : Mais vous n’êtes pas noire ? ! »   | 
                 
               
             
            
              
                
                  C’est la    négation obstinée de la culture « pied-noire » considérée comme un vague    folklore plutôt vulgaire par le système dominant.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  C’est le    travail de trucage patient qui, à travers la chanson et le cinéma, a fini par    imposer l’idée que la diaspora juive et la diaspora pied-noire n’étaient    qu’une seule et même chose.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  C’est l’ensevelissement    dans un linceul de silence des grands écrivains comme Jean Brune, des belles    et nobles plumes comme Georges Laffly.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  C’est    l’absence de tout travail sérieux sur le sujet pourtant fascinant du langage    en usage en Algérie. C’est en somme le génocide intellectuel et spirituel qui    a suivi l’exil imposé à une population entière.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Ceux qui    connaissent l’œuvre de Pierre Dimech retrouveront dans ce petit livre vif et    riche, les traits de sérieux, d’austérité et de réserve qui font la grandeur    de son auteur et qui sont si peu conformes, justement, à l’image désinformée    du Pied-noir comme ultra-méridional agité, bavard, bruyant et ramenard.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  France    Horizon. Le Cri du Rapatrié, n°    474-475 de sept-oct. 2006   | 
                 
               
             
            
              
                
                  La Désinformation autour de la culture des pieds-noirs    | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Une des    conséquences imprévues de l’Expédition d’Alger, menée en 1830 par les troupes    du Roi Charles X, fut l’amorce d’un mouvement de populations venues d’un peu    partout, de France et des pays méditerranéens, qui aboutit en quelques    petites décennies à l’émergence d’un peuplement nouveau issu de leur fusion :    les Français d’Algérie, qui se verraient, dans les soubresauts de la fin de    l’aventure algérienne de la France, attribuer le sobriquet de « pieds-noirs    ».   | 
                 
               
             
            
              
                
                  A propos de    ces « pieds-noirs », on peut dire, près d’un demi-siècle après leur exode,    que la désinformation fait rage. Plus que jamais. Et ce, sur le plan    historique mais aussi sur le plan culturel. A seule fin de corriger un    certain nombre de clichés réducteurs comme d’a-priori sarcastiques et    dévalorisants. Pour ne pas qu’après leur avoir ôté leur terre natale, on les    prive de surcroît de leur histoire et de leur identité.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Faits & Documents, n° 226, 1er au 15 décembre 2006   | 
                 
               
             
            
              
                
                  A L’Etoile du Berger (c/o Atelier Fol’Fer, 11 rue des Récollets, 75010 Paris et www.atelierfolfer.com, Pierre Dimech signe La Désinformation    autour de la culture des pieds-noirs   | 
                 
               
             
            
              
                
                  (bibliographie) avec    d’intéressants chapitres comme Le    Personnage du pied-noir au cinéma, Un cas emblématique : le silence autour de Jean Brune ou    L’Etouffement de l’expression des pieds-noirs dans le monde des livres.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Minute, n° 2285, mercredi 6 décembre 2006   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Pierre    Dimech, chantre bien connu de    l’algérianisme, nous propose de réfléchir sur « la désinformation autour de la culture des pieds-noirs ». C’est essentiellement pour une réhabilitation    du personnage de Jean Brune, ancien condisciple d’Albert Camus au lycée, qu’entend œuvrer ici Pierre Dimech. Qui se souvient de    son œuvre monumentale, Cette haine qui ressemble à    l’amour, roman paru à La Table    ronde en 1961 ? Hélas pour lui, «    Jean Brune était un homme libre, un homme au rire homérique ». Les tenants actuels de la Softidéologie ne    pourront jamais le reconnaître comme un des leurs, car « les idéologues, eux, ne rient pas »…   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Rivarol, n° 2791 du 22 décembre 2006   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  La    désinformation autour de la culture des pieds-noirs   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Dans ce    livre, très documenté, l'auteur réagit contre les media qui, un demi-siècle    plus tard, donnent une vision caricaturale des Européens d'Algérie, qu'ils    voient à travers Roger Hanin, Enrico Macias ou Alexandre Arcady. Un folklore    caricatural et réducteur alors que, comme le prouve Pierre Dimech, au XIXe et    au XXe siècle, s'épanouit outre-Méditetranée une importante culture    littéraire et artistique avec – pour ne considérer que la littérature – Louis    Bertrand, Musette (créateur du gavroche algérois Cagayous), Robert Randau,    Edmond Brua, Gabriel Audisio, Jean Brune (dont le souvenir reste si vivant    chez ses amis) ou Albert Camus. Mais seul ce dernier a pu franchir (non sans    y laisser des plumes) l'ostracisme des gendelettres parisiens.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Pierre    Dimech se bat pour conserver le souvenir de cette culture que les Cercles    algérianistes essaient d'entretenir mais à laquelle il a manqué « le nombre    et le temps ». Une bibliographie succincte mais précise clôt son ouvrage.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Qui    pourrait être complété par une étude approfondie des calomnies qui ont fait    des « Pieds noirs », avant comme après 1954, des boucs émissaires commodes à    travers les mythes du gros colon prédateur ou du verre d'eau vendu aux    appelés. « Ces gens-là » comme disait un certain général. De ce mépris, il    reste encore quelque chose.   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Rizières    & Djebels, n° 132 – Janvier 2007   | 
                 
               
             
            
              
                
                  La    Désinformation autour de la culture des pieds-noirs de Pierre Dimech   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Près d’un demi-siècle après leur exode, plus que    jamais tant sur le plan historique que sur le plan culturel, la    désinformation fait rage. Merci à Pierre qui refuse qu’après nous avoir ôté    notre terre natale, on nous prive de surcroît de notre histoire et de notre    identité.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  http://oran1962.free.fr/vient-de-paraître.htm    | 
                 
               
             
            
              
                
                  Site de Geneviève de Ternant et Hervé    Cuesta   | 
                 
               
             
            
              
                
                  La désinformation autour de la culture des    pieds-noirs   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Cette collection, dirigée par Benoît Mancheron, a pour but    d'informer les lecteurs sur la redoutable entreprise de désinformation dont    tous les Français sont les jouets : Six ouvrages déjà publiés, cinq autres en    préparation, voila un bilan probablement non exhaustif du bourrage de crâne    voulu, organisé, perpétré dans le but de faire des hommes du XXI° siècle des    décérébrés totaux.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Pour en venir au remarquable livre de Pierre Dimech, c'est, en    une centaine de pages, tel est le challenge, l'exposé en trois grands    chapitres de la désinformation concernant la culture des pieds-noirs pour    aboutir à nier jusqu'à son existence : Les fondements de la désinformation    historique et politique et leurs importantes conséquences dans le rôle de    l'enseignement et des Eglises ;l'analyse de la déformation systématique du    pied-noir et l'étouffement de ses manifestations dans les livres, le cinéma    et toutes les composantes culturelles des média. L'auteur propose enfin    l'antidote de la désinformation par l'exemple et par la volonté du combat    avant et après 1962. Merveilleux courage et lucidité font un livre nécessaire    que l'auteur conclue ainsi : « Contre cette hydre aux mille réseaux, au    financement illimité, aux appuis et complices en embuscade aux postes    stratégiques de notre société, nous nous battons et continuerons à nous    battre à mains nues, jusqu'à notre dernier souffle. Et même au-delà. »   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Le dernier livre de Pierre Dimech    | 
                 
               
             
            
              
                
                  Une des conséquences imprévues de l'Expédition d'Alger, menée en    1830 par les troupes du Roi Charles X, fut l'amorce d'un mouvement de    populations venues d'un peu partout, de France et des pays méditerranéens,    qui aboutit en quelques petites décennies à l'émergence d'un peuplement    nouveau issu de leur fusion : les Français d'Algérie, qui se verraient, dans    les soubresauts de la fin de l'aventure algérienne de la France, attribuer le    sobriquet de « pieds-noirs ».   | 
                 
               
             
            
              
                
                  À propos de ces « pieds-noirs », on peut dire, près d'un    demi-siècle après leur exode, que la désinformation fait rage. Plus que    jamais. Et ce, sur le plan historique mais aussi sur le plan culturel. C'est    de ce dernier point qu'il est question dans ce petitouvrage. À seule fin de    corriger un certain nombre de clichés réducteurs comme d'a priori sarcastiques et dévalorisants. Pour ne pas qu'après leur avoir    ôté leur terre natale, on les prive de surcroît de leur histoire et de leur    identité.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  La Lettre    de l’Indépendance, n° 36, février 2007   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Qu’avez-vous lu ce mois-ci ?    | 
                 
               
             
            
              
                
                  … Péroncel-Hugoz ? La désinformation    autour de la culture des pieds-noirs de Pierre Dimech (…). Les pieds-noirs,    ces « Nouveaux Romains » (A. Camus), généralisèrent, la première fois dans    l’Histoire, le terme d’« Européens », pour désigner collectivement les    peuples du Vieux Continent, originaires d’une douzaine de pays, et qui aux    XIXe et XXe siècles, colonisèrent, c’est-à-dire, mirent en valeur, l’Afrique    du Nord. En 100 ans, ils triplèrent la population berbéro-arabe qui stagnait    depuis des siècles (pendant ce temps les Anglo-Saxons exterminaient    Amérindiens, Maoris et Aborigènes d’Australie),   | 
                 
               
             
            
              
                
                  guérirent localement    tuberculose, malaria, pelade et maladies vénériennes, décuplèrent les terres    arables et les réserves d’eau. Malgré ce labeur, ils créèrent en même temps    une littérature (l’« algérianisme », illustré entre autres par Randau,    Pomier, Eberhardt, Camus, Sénac, Robert du Dictionnaire, etc.), une peinture, une architecture. Pour récompenser la    formidable créativité de ces Européens attelés au noble projet de ressusciter    outre-Méditerranée l’impact latin sans pour autant éradiquer ou léser    l’islam, on les accuse aujourd’hui de tous les maux (jusqu’à un hypothétique    « génocide »...) et on folklorise leur culture quand on ne s’en moque pas.    D’origine franco-maltaise, l’avocat Pierre Dimech, en quelques dizaines de    pages, sabre cette ingratitude, remet les choses en place, trace le portrait    de grandes figures culturelles pieds-noirs oubliées, dont la moindre ne fut    pas le romancier Jean Brune (1912-1973) dont on devrait relire les 700 pages    du toujours actuel Cette haine qui ressemble à l’amour (Table ronde, 1961 ; Atlantis, 1990), sur l’éternel    psychodrame franco-maghrébin....   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Mémoire Vive (CDHA), janvier 2007   | 
                 
               
             
            
              
                
                  La    désinformation autour de la culture des pieds-noirs   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  « Arme des    manipulateurs d’opinion, la désinformation a parmi ses cibles privilégiées le    domaine inépuisable de la colonisation française. » A partir de ce constat    déplorable, pour tous les honnêtes gens du moins, Pierre Dimech s’est penché,    avec grande pertinence, sur l’aspect culturel de ces inductions récurrentes.    Il en décrit d’abord les fondements historiques et politiques qui utilisent    les clichés les plus réducteurs, ou carrément, les plus faux. Analysant    ensuite les domaines d’intervention des désinformateurs, médias en tous    genres, l’auteur évoque le cas « exemplaire » de Jean Brune et le silence    fait autour de ce personnage et de son œuvre. Cette partie du livre, sur cet    « archétype du français d’Algérie » est particulièrement « éclairante ».   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Dans la    dernière partie, l’auteur se propose de « relever le défi de la    désinformation » ; les dynamiques expressions artistiques et littéraires en    Algérie française sont rappelées. Elles feront mieux comprendre l’actuel    combat « culturel » des pieds-noirs.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  « La    désinformation est une maladie contagieuse et il arrive trop souvent que ceux    qui en sont victimes en deviennent à leur tout des propagateurs », déplore    Pierre Dimech. Gageons que son ouvrage, dont on recommandera la lecture et la    diffusion, accomplira son rôle d’urgente et d’indispensable salubrité.   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  La Lettre    de Veritas, n° 110, 15 février 2007   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  La    Désinformation autour de la culture des pieds-noirs   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Cette collection, dirigée par Benoît Mancheron,    a pour but d'informer les lecteurs sur la redoutable entreprise de    désinformation dont tous les Français sont les jouets : six ouvrages déjà    publiés, cinq autres en préparation, voilà un bilan probablement non    exhaustif du bourrage de crâne voulu, organisé, perpétré dans le but de    faire, des hommes du XXIe siècle des décérébraux totaux.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Pour en revenir au remarquable livre de Pierre    Dimech, c'est, en une centaine de pages, tel est le challenge, l'exposé en    trois grands chapitres, de la désinformation concernant la culture des    pieds-noirs pour aboutir jusqu'à nier son existence ;   | 
                 
               
             
            
              
                
                  1) Les    fondements de la désinformation historique et politique et leurs importantes    conséquences dans le rôle de l'enseignement et des Eglises.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  2)    L'analyse de la désinformation systématique du pied-noir et l'étouffement de    ses manifestations dans les livres, le cinéma et toutes les composantes    culturelles des médias.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  3)    L'antidote de la désinformation par l'exemple et par la volonté du combat,    avant et après 1962.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  « La désinformation,    qui est devenue l'arme ordinaire des manipulateurs d'opinion peu soucieux de    s'exposer à débattre à armes égales, a, parmi ses cibles privilégiées, le    domaine inépuisable de la colonisation française.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  « Cette    désinformation s'est singulièrement manifestée à partir des années 90, après    avoir été, plus ou moins, «dormante» pendant les trente années précédentes.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  « Cela a    commencé avec le déclenchement concerté de la fameuse campagne sur «la    torture», qui a gagné, de proche en proche, tous les épisodes de l'Histoire    de France outre-mer, en sautant, comme un feu de forêt jusqu'aux Antilles    avec la question de l'esclavage, et ne laissant aucun matériau combustible,    comme aujourd'hui avec ce qui entoure le film Indigènes (on dit bien «qui entoure»,    car ce qui porte la marque de la désinformation, c'est bien l'exploitation    mensongère du film et non le film lui-même).   | 
                 
               
             
            
              
                
                  « A cet    égard, ‘la guerre d'Algérie», que Georges Dillinger appelle, avec justesse,    «la guerre civile d'Algérie», a été, et reste, un terrain d'élection, un    véritable gisement aurifère pour tous les chercheurs de traces de méfaits qui    auraient été commis pendant 132 ans (car, au passage, on a réussi ce tour de    force de faire remonter cette guerre qui a éclaté en 1954 à... 1830) par ‘la France    d'avant». »   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Le    merveilleux courage et la profonde lucidité de l'auteur font un livre    nécessaire qu'il conclut ainsi : « Contre cette hydre aux mille réseaux, au    financement illimité, aux appuis et complices en embuscade aux postes    stratégiques de notre société, nous nous battons et continuerons à nous    battre à mains nues, jusqu'à notre dernier souffle. Et même au-delà. »   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  L’Algérianiste, n° 117, mars 2007   | 
                 
               
             
            
              
                
                  La désinformation autour de la culture des    pieds-noirs.    | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Dans cette    collection axée sur la désinformation, il était normal et nécessaire qu'un    titre traite de « la désinformation autour de    la culture des pieds-noirs ». Pierre    Dimech en analyse les fondements et les formes.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Fondements ? Sur le plan historique, le    personnel politique, comme l'administration parisienne, a le plus souvent    montré méfiance, sinon répulsion à l'égard des Français d'Algérie.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  L'intelligentsia marxiste, alliée pour la    circonstance aux milieux gaullistes, a poussé au maximum durant les dernières    années de l' Algérie française, ce mélange de crainte et d'aversion.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Formes ?    L'amalgame et le silence sont les armes des adversaires de la culture    pied-noire ; amalgame ? Toute l'expression culturelle devient méprisable    folklore ; exemple de silence, celui manifesté vis-à-vis de notre    littérature: l'œuvre de Jean Brune – et plus particulièrement son livre Cette haine qui ressemble à l'amour malgré ses qualités littéraires et la justesse    de ses analyses a été sciemment ignoré. Et cela continue envers les auteurs    contemporains. Pierre Dimech met aussi le doigt sur les clichés sarcastiques    complaisamment répétés. Dans cet essai bien charpenté et bien argumenté,    l'ancien président du Cercle algérianiste fait œuvre de justice en dénonçant    ces atteintes à l'identité pied-noire et en rétablissant non pas « notre    vérité », mais la vérité historique tout simplement.   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Rizières    & Djebels, n° 132 de janvier 2007   | 
                 
               
             
            
              
                
                  A lire et à offrir, quelques excellents livres à    vos amis…    | 
                 
               
             
            
              
                
                  La    Désinformation autour de la culture des pieds-noirs de Pierre Dimech   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Près d’un    demi siècle après leur exode, plus que jamais tant sur le plan historique que    sur le plan culturel, la désinformation fait rage. Merci à Pierre qui refuse    qu’après nous avoir ôté notre terre natale, on nous prive de surcroît de    notre histoire et de notre identité…   | 
                 
               
             
            
            
            
              
                
                  La    Désinformation autour de la culture des pieds-noirs de Pierre Dimech   | 
                 
               
             
            
              
                
                  On demeure    étonné, en découvrant le livre de Pierre Dimech, qu’il ait fallu attendre si    longtemps pour que l’édition se penche sur le cas le plus flagrant, le plus    obscène, le plus maléfique de désinformation qu’ait connu notre Histoire de    France.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Par quel    aveuglement les métropolitains ont-ils pu avaler les mensonges ahurissants,    les fables idiotes, les accusations infamantes déversés sur le peuple des    Pieds-noirs ? La chose reste un mystère.   | 
                 
               
             
            
              
                
                  Dimech    aligne les exemples.   | 
                 
               
             
            
            
              
                
                  Ceux qui connaissent l’œuvre de Pierre Dimech    retrouveront dans ce petit livre vif et riche, les traits de sérieux,    d’austérité et de réserve qui font la grandeur de son auteur et qui sont si    peu conformes, justement, à l’image désinformée du Pied-noir comme    ultra-méridional agité, bavard, bruyant et ramenard.   | 
                 
               
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